Les prochaines élections législatives et municipales devraient être serrées avec la participation annoncée de, l’ensemble des formations politiques du pays. Tant mieux dès lors où elles permettraient de définir le rapport des forces entre ces dernières !
Les législatives et les municipales de septembre prochain devraient édifier l’opinion sur les véritables rapports de force entre l’ensemble des partis politiques ! C’est ce qui consacrerait lesdits suffrages s’ils sont menés dans la transparence la plus absolue, selon en substance nombre d’analystes politiques.
Une fois n’est pas coutume, ces élections devraient mettre au prise l’ensemble des acteurs politiques : c’est-à-dire, les partis de la majorité présidentielle, les partis de l’opposition dialoguistes et les partis dits de l’opposition radicale. Le ton a été donné il y a quelques jours quand les formations du FNDU ont décidé d’aller à la quête des voix. Depuis, un projet d’accord avec le pouvoir serait en cours d’études qui vise voire assainir et apaiser les relations entre les différents acteurs.
Dans un rassemblement organisé vendredi 1er juin à l’occasion d’un Fitr, le parti islamiste Tawassoul, membre du FNDU, s’est fait le porte voix de celui-ci quand son président a réitéré la participation de ce forum aux échéances à venir appelant à la mise en place des conditions de transparences en vue de garantir la crédibilité des scrutins. Revenant sur les relations entre la majorité présidentielle et l’opposition, il dira : « nous déplorons l’échec des tentatives de dialogues de ces derniers mois entre les différents acteurs de la scène politique du pays. Si le dialogue avait réussi, cela aurait pu contribuer à instaurer un climat d’entente et de sérénité de nature à favoriser la mise en place des conditions de transparence dans l’organisation des élections à venir. » Et d’ajouter, « à Tawassoul, nous avons toujours privilégié la concertation et le consensus autour des questions déterminantes pour la stabilité politique et sociale du pays ; d’où la nécessité de nouvelles concertations pour se mettre d’accord sur l’essentiel en vue d’élections libres et crédibles ».
Même son de cloche au RFD où Ahmed Ould Daddah aurait exprimé son intention de voir son parti participer à ces élections. Les conclusions des dernières assises du parti penchent vers le rejet du boycott prôné par de rares leaders. Depuis lundi, les résultats des travaux ont été soumis à l’appréciation du Bureau exécutif. A moins d’un revirement exceptionnel de situation, le RFD ira aux élections.
Cette participation massive des partis politiques aux suffrages aura ceci de positif, qu’elle édifiera l’opinion sur le poids de chacun des partis politiques. Pour nombre d’observateurs, persuadés de ka transparence des suffrages à venir, il s’agira de peser le poids de chaque formation et voir si ceux qui prétendent détenir une base populaire, en disposent réellement…Allusion aux partis dits « cartables », aux partis dits « casseroles ».
Allusion particulièrement à la formation Arc- en ciel, mais aussi, à El Wiam de Boydiel qui a réussi à faire élire six députés lors des dernières législatives boycottées par l’opposition et qui a récemment usé de son poids pour faire désigner quatre de ses leaders à la CENI. Allusion à quelques partis politiques dits « fantômes », membres de la majorité présidentielle, qui n’ont jamais été capables d’organiser le moindre meeting populaire. Allusion ensuite à l’UFP et à APP de Messaoud Ould Boulkheir que l’on dit « vieux et en perte de vitesse ». Allusion enfin au RFD et aux Islamistes de Tewassoul, l’épreuve devant définir qui des deux formations dispose de la plus grande base de l’opposition radicale et qui triomphera de la fonction de chef de file de l’opposition ?
JOB
source lauthentic.info
Les législatives et les municipales de septembre prochain devraient édifier l’opinion sur les véritables rapports de force entre l’ensemble des partis politiques ! C’est ce qui consacrerait lesdits suffrages s’ils sont menés dans la transparence la plus absolue, selon en substance nombre d’analystes politiques.
Une fois n’est pas coutume, ces élections devraient mettre au prise l’ensemble des acteurs politiques : c’est-à-dire, les partis de la majorité présidentielle, les partis de l’opposition dialoguistes et les partis dits de l’opposition radicale. Le ton a été donné il y a quelques jours quand les formations du FNDU ont décidé d’aller à la quête des voix. Depuis, un projet d’accord avec le pouvoir serait en cours d’études qui vise voire assainir et apaiser les relations entre les différents acteurs.
Dans un rassemblement organisé vendredi 1er juin à l’occasion d’un Fitr, le parti islamiste Tawassoul, membre du FNDU, s’est fait le porte voix de celui-ci quand son président a réitéré la participation de ce forum aux échéances à venir appelant à la mise en place des conditions de transparences en vue de garantir la crédibilité des scrutins. Revenant sur les relations entre la majorité présidentielle et l’opposition, il dira : « nous déplorons l’échec des tentatives de dialogues de ces derniers mois entre les différents acteurs de la scène politique du pays. Si le dialogue avait réussi, cela aurait pu contribuer à instaurer un climat d’entente et de sérénité de nature à favoriser la mise en place des conditions de transparence dans l’organisation des élections à venir. » Et d’ajouter, « à Tawassoul, nous avons toujours privilégié la concertation et le consensus autour des questions déterminantes pour la stabilité politique et sociale du pays ; d’où la nécessité de nouvelles concertations pour se mettre d’accord sur l’essentiel en vue d’élections libres et crédibles ».
Même son de cloche au RFD où Ahmed Ould Daddah aurait exprimé son intention de voir son parti participer à ces élections. Les conclusions des dernières assises du parti penchent vers le rejet du boycott prôné par de rares leaders. Depuis lundi, les résultats des travaux ont été soumis à l’appréciation du Bureau exécutif. A moins d’un revirement exceptionnel de situation, le RFD ira aux élections.
Cette participation massive des partis politiques aux suffrages aura ceci de positif, qu’elle édifiera l’opinion sur le poids de chacun des partis politiques. Pour nombre d’observateurs, persuadés de ka transparence des suffrages à venir, il s’agira de peser le poids de chaque formation et voir si ceux qui prétendent détenir une base populaire, en disposent réellement…Allusion aux partis dits « cartables », aux partis dits « casseroles ».
Allusion particulièrement à la formation Arc- en ciel, mais aussi, à El Wiam de Boydiel qui a réussi à faire élire six députés lors des dernières législatives boycottées par l’opposition et qui a récemment usé de son poids pour faire désigner quatre de ses leaders à la CENI. Allusion à quelques partis politiques dits « fantômes », membres de la majorité présidentielle, qui n’ont jamais été capables d’organiser le moindre meeting populaire. Allusion ensuite à l’UFP et à APP de Messaoud Ould Boulkheir que l’on dit « vieux et en perte de vitesse ». Allusion enfin au RFD et aux Islamistes de Tewassoul, l’épreuve devant définir qui des deux formations dispose de la plus grande base de l’opposition radicale et qui triomphera de la fonction de chef de file de l’opposition ?
JOB
source lauthentic.info