Le nom de l’intègre et chevronné ambassadeur de Mauritanie auprès de l’UNESCO, Son Excellence Cheikhna Ould Nenni, a été cité à tort, dans le retentissant et actuel scandale foncier survenu dernièrement au niveau des directions des domaines et du patrimoine de l’Etat d’une part et de l’Habitat d’autre part, et ayant conduit jusqu’à présent au limogeage de 11 hauts fonctionnaires dont des directeurs généraux.
Mais des investigations menées minutieusement sur cette affaire ont très vite permis de démasquer et d’identifier les auteurs de ce leurre et de cette machination malsaine.
En effet, ce sont d’anciennes parties hostiles à l’illustre diplomate et grand homme des médias, qui semblent avoir mis à profit le scandale précité pour revenir à l’assaut après avoir échoué toutes ces dernières années à porter atteinte à l’image du fondateur de l’illustre canard « Nouakchott Info », dans l’espoir de régler leurs sales comptes.
On ne présente pas aux mauritaniens l’ambassadeur Cheikhna Ould Nenni qui n’a aucun lien, minime soit-il avec cette affaire foncière rocambolesque, à part cette malhonnête et ferme volonté de ses adversaires jurés de lui trouver des défauts qu’il n’a pas et dans l’espoir de porter atteinte à son intégrité et sa réussite reconnue par les mauritaniens toutes catégories confondues, qui lui reconnaissent à l’unanimité son patriotisme et ses énormes sacrifices en faveur de l'unité nationale et de la cohésion sociale.
L’homme ne s’est-il pas investi dans le social, en œuvrant inlassablement et à ses propres frais à faire venir régulièrement dans le pays des caravanes médicales pour sillonner la Mauritanie, faire des consultations ou des opérations chirurgicales sur place, distribuer des médicaments …
Ould Nenni a été par ailleurs au rendez-vous de la consécration sur les plans diplomatique et médiatique.
Autant dire qu’il est au-dessus de tout soupçon et que son succès, il l’a obtenu à la sueur de son front et grâce à sa passion pour les études, alors lycéen ou universitaire.
Ayant intégré la vie active à un âge précoce, à 21 ans, l’homme a pu, grâce à sa volonté de fer de réussir à tout prix, acquérir légalement des terrains dans de nombreuses villes du pays, dont certains au cours des années 80 du siècle dernier, notamment dans la capitale économique Nouadhibou, à Atar, à Chinguetti, à Boghé et Tidjikja...
Il est à noter aussi que toutes les parcelles acquises à Son Excellence Ould Nenni ou à ses proches, relèvent d’une lettre “confidentielle" envoyée par l'ancien ministre de l'Equipement et des Transports, Ba Ibrahima Demba, le 11 septembre 2005, au ministre des Finances, l’instruisant d’attribuer des terrains à l’ex conseiller du ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de l’aménagement Dah Ould Diah (2009 - 2019).
Ce qui lève d'une manière qui ne laisse aucune place à la confusion et en dépit des efforts déployés régulièrement par la bande des malfaiteurs et adversaires du chevronné diplomate, tout lien de Ould Nenni avec le scandale foncier de l’heure, sachant par-dessus bord que le statut des terrains précités est légitime, dès lors où ils avaient été acquis sur la base de contrats de vente documentés auprès du bureau de notariat relevant du député Hamdi Ould Hamadi.
Et enfin, nous disons aux ennemis de l'ambassadeur : « Les chiens aboient, la caravane passe ».
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Taqadoum.mr