La justice en remis en liberté mardi après midi, des individus arrêtés après les contestations ayant suivi le scrutin présidentiel du 22 juin 2019. Les candidats de l’opposition ontrejeté la victoire au premier tour de Mohamed Cheikh Ahmed Mohamed Ghazouani, candidat de la majorité, ancien chef d’état major, ex ministre de la défense et compagnon du président en exercice, Mohamed ould Abdel Aziz, depuis une quarantaine d’années.
Parmi les personnalités libérées après une comparution devant le procureur de la République près le tribunal de Nouakchott/Ouest figure notamment Mamadou Tall, un responsable de la Coalition Vivre Ensemble-CVE-mouvance nationaliste noire) ayant soutenu la candidature de Kane Hamidou Baba.
Dans le cadre du traitement de cette crise post électorale, une centaine d’individus parmi lesquels des ressortissants ouest africains, ont été arrêtés il y a une dizaine de jours.
Ainsi, Samba Thiam, leader des Forces Progressistes pour le Changement (FPC-issues des Forces de Libération Africaine de Mauritanie/FLAM) et le journaliste Camara Seydi Moussa restent toujours détenus, notent mardi les observateurs.
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