Le compte à rebours semble être lancé pour les députés de la majorité présidentielle. En effet, depuis l’installation de la nouvelle CENI, tous s’investissent pour faire passer leur future candidature. En fait, tous sans exception, ont exprimé leur souhait de se voir réinvestis. Si ce n’est à la chambre basse, ce serait alors dans les conseils régionaux, le but étant de conserver ses divers avantages acquis lors de leur passage à l’Assemblée nationale.
La question, un moment gérée par le président de l’UPR, est désormais du ressort du président de la République. Juste retour des choses à la normale ! En fait, on se rappelle que lors de la dernière élection législative, nombre de candidats avaient été proposés, ou plutôt imposés par lui. Non seulement au niveau de l’UPR mais au aussi au sein de l’ensemble des formations politiques « satellites ».
De sources dignes de foi, le chef de l’Etat a entamé sa réflexion à propos. Déjà persuadé du haut niveau concurrentiel des suffrages, il aurait décidé de relever le niveau des candidatures. Ainsi, tous les députés -qualifiés de « guignols » - qui avaient passé leur temps à « l’applaudir des mains et des pieds », passant à côté de l’essentiel, seraient éliminés de la course.
Faut-il souligner que de l’avis de la quasi-totalité des Mauritaniens, l’Assemblée présente est la moins connue des équipes qui ont investi la chambre basse ; elle a le niveau intellectuel le plus bas de toutes ses devancières.
Avec la participation de l’opposition aux prochains suffrages, le pays pourrait connaître un Parlement relevé. C’est le moindre mal que l’on souhaite aux Mauritaniens.
JOB
source lauthentic.info
La question, un moment gérée par le président de l’UPR, est désormais du ressort du président de la République. Juste retour des choses à la normale ! En fait, on se rappelle que lors de la dernière élection législative, nombre de candidats avaient été proposés, ou plutôt imposés par lui. Non seulement au niveau de l’UPR mais au aussi au sein de l’ensemble des formations politiques « satellites ».
De sources dignes de foi, le chef de l’Etat a entamé sa réflexion à propos. Déjà persuadé du haut niveau concurrentiel des suffrages, il aurait décidé de relever le niveau des candidatures. Ainsi, tous les députés -qualifiés de « guignols » - qui avaient passé leur temps à « l’applaudir des mains et des pieds », passant à côté de l’essentiel, seraient éliminés de la course.
Faut-il souligner que de l’avis de la quasi-totalité des Mauritaniens, l’Assemblée présente est la moins connue des équipes qui ont investi la chambre basse ; elle a le niveau intellectuel le plus bas de toutes ses devancières.
Avec la participation de l’opposition aux prochains suffrages, le pays pourrait connaître un Parlement relevé. C’est le moindre mal que l’on souhaite aux Mauritaniens.
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