Les travaux de la session de la plateforme de coopération judiciaire des pays du Sahel, organisée au profit des points focaux et leurs suppléants ont débuté, mercredi à Nouakchott.
La rencontre, qui dure trois jours, vise à renforcer la coordination et la concertation entre les responsables des points focaux dans la plateforme et à passer en revue les domaines de coopération de la justice pénale entre la plateforme et chacun des pays du Sahel, notamment dans le domaine de la remise des criminels et de l'échange des données et expériences.
La réunion discutera également les amendements proposés au niveau de la charte constitutive et du règlement intérieur de la plateforme et de la stratégie relative à son intégration dans le G5 Sahel.
S son mot d’ouverture, le secrétaire général du ministère de la justice, M. Mohamed Ould Cherif Ahmed, a précisé que l’approche sécuritaire adoptée par la Mauritanie en matière de lutte contre le terrorisme, depuis l’accession du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, au pouvoir, a constitué un modèle à suivre pour les pays du monde, notant qu’elle est exhaustive et englobe tous les éléments de nature à démanteler le phénomène dangereux.
Il a ajouté qu’elle met l’accent dans la lutte contre le terrorisme sur le séchage de les ressources l’alimentant et la création des opportunités égales en matière d’emploi, la restauration de la justice sociale, l’équipement de nos forces armées afin de pouvoir affronter avec force et détermination les hostilités terroristes et l’institution d’un arsenal juridique permettant le traitement du phénomène dans un cadre juridique et respectueux des droits humains.
‘’Au regard des défis sécuritaires communs, la Mauritanie, le Niger et le Burkina Faso, ont créé en 2010, avec le soutien du bureau des Nations Unies (ONUDC) concerné par la lutte contre la drogue et le crime, une plateforme de coopération judiciaire dans le domaine pénal pour les pays du Sahel. Ce plateforme constitue le noyau d’un mécanisme de coopération judiciaire efficace ouvert à tous les pays situés dans le même cercle géographique’’, va-t-il conclu.
Pour sa part, la présidente de la section Afrique Sub-Saharienne à l’ONUDC, Mme Elina Rakia Sy Hay, elle a salué le rôle de la Mauritanie dans contre le terrorisme et le crime transfrontalier et appelé les participants à tirer profit des exposés qui leur seront présentés.
Pour sa part, le doyen du forum de coopération judiciaire, M. Maiga Alsumou, il a exhorté les participants à profiter des mécanismes de coopération offerts par la plateforme du Sahel, qu’il soit par les courriers électroniques ou les contacts directs.
Quant à l’ambassadeur de France, SEM. Rabert Moullié, il a salué les efforts de la Mauritanie en matière de lutte contre le terrorisme et le crime organisé et noté que son pays apporte le soutien aux pays du Sahel dans leurs efforts de lutte contre ce phénomène.
Il a ajouté que la lutte contre ce phénomène nécessite davantage de coopération judiciaire et de coordination conjointe entre les pays dans tous les domaines.
source AMI
La rencontre, qui dure trois jours, vise à renforcer la coordination et la concertation entre les responsables des points focaux dans la plateforme et à passer en revue les domaines de coopération de la justice pénale entre la plateforme et chacun des pays du Sahel, notamment dans le domaine de la remise des criminels et de l'échange des données et expériences.
La réunion discutera également les amendements proposés au niveau de la charte constitutive et du règlement intérieur de la plateforme et de la stratégie relative à son intégration dans le G5 Sahel.
S son mot d’ouverture, le secrétaire général du ministère de la justice, M. Mohamed Ould Cherif Ahmed, a précisé que l’approche sécuritaire adoptée par la Mauritanie en matière de lutte contre le terrorisme, depuis l’accession du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, au pouvoir, a constitué un modèle à suivre pour les pays du monde, notant qu’elle est exhaustive et englobe tous les éléments de nature à démanteler le phénomène dangereux.
Il a ajouté qu’elle met l’accent dans la lutte contre le terrorisme sur le séchage de les ressources l’alimentant et la création des opportunités égales en matière d’emploi, la restauration de la justice sociale, l’équipement de nos forces armées afin de pouvoir affronter avec force et détermination les hostilités terroristes et l’institution d’un arsenal juridique permettant le traitement du phénomène dans un cadre juridique et respectueux des droits humains.
‘’Au regard des défis sécuritaires communs, la Mauritanie, le Niger et le Burkina Faso, ont créé en 2010, avec le soutien du bureau des Nations Unies (ONUDC) concerné par la lutte contre la drogue et le crime, une plateforme de coopération judiciaire dans le domaine pénal pour les pays du Sahel. Ce plateforme constitue le noyau d’un mécanisme de coopération judiciaire efficace ouvert à tous les pays situés dans le même cercle géographique’’, va-t-il conclu.
Pour sa part, la présidente de la section Afrique Sub-Saharienne à l’ONUDC, Mme Elina Rakia Sy Hay, elle a salué le rôle de la Mauritanie dans contre le terrorisme et le crime transfrontalier et appelé les participants à tirer profit des exposés qui leur seront présentés.
Pour sa part, le doyen du forum de coopération judiciaire, M. Maiga Alsumou, il a exhorté les participants à profiter des mécanismes de coopération offerts par la plateforme du Sahel, qu’il soit par les courriers électroniques ou les contacts directs.
Quant à l’ambassadeur de France, SEM. Rabert Moullié, il a salué les efforts de la Mauritanie en matière de lutte contre le terrorisme et le crime organisé et noté que son pays apporte le soutien aux pays du Sahel dans leurs efforts de lutte contre ce phénomène.
Il a ajouté que la lutte contre ce phénomène nécessite davantage de coopération judiciaire et de coordination conjointe entre les pays dans tous les domaines.
source AMI