Plusieurs dizaines de jeunes ressortissants de Boutilimit, deuxième ville du Trarza, après Rosso, ont tenu un sit-in, ce jeudi 26 juillet, en début d'après-midi, devant les grilles du palais présidentiel de Nouakchott, pour dénoncer "le calvaire continu" des populations de Boutilimit.
Selon les protestataires, ce calvaire se résume à la continuité des délestages qui ont perturbé la vie des habitants et les activités économiques et commerciales de la ville. D’ailleurs, tous les secteurs publics et privés sont bloqués, précisent-ils.
"C’est le septième jour que Boutilimit est dans le noir et aucune information, ni explication n’ont été fournies aux abonnés sur cette coupure prolongée de la part du chef d’agence qui demeure introuvable" selon le récit des protestataires.
« Ça suffit ! Trouvez une solution urgente et définitive à ce problème ! Limogez l’actuel chef d’agence de la Somelec ! L’électricité avant les élections ! » Tels sont les mots écrits sur les slogans brandis par les manifestants.
Et le porte parole des jeunes venus dévoiler la mauvaise situation dans laquelle, se trouve Boutilimit depuis quelques jours a déclaré à notre reporter qu’ils ont une lettre adressée au président Mr Mohamed Ould Abdel Aziz, dans laquelle, ils demandent à ce qu’il donne des instructions aux autorités concernées pour qu’une solution soit trouvée à ce problème récurent.
source tawary.com
Selon les protestataires, ce calvaire se résume à la continuité des délestages qui ont perturbé la vie des habitants et les activités économiques et commerciales de la ville. D’ailleurs, tous les secteurs publics et privés sont bloqués, précisent-ils.
"C’est le septième jour que Boutilimit est dans le noir et aucune information, ni explication n’ont été fournies aux abonnés sur cette coupure prolongée de la part du chef d’agence qui demeure introuvable" selon le récit des protestataires.
« Ça suffit ! Trouvez une solution urgente et définitive à ce problème ! Limogez l’actuel chef d’agence de la Somelec ! L’électricité avant les élections ! » Tels sont les mots écrits sur les slogans brandis par les manifestants.
Et le porte parole des jeunes venus dévoiler la mauvaise situation dans laquelle, se trouve Boutilimit depuis quelques jours a déclaré à notre reporter qu’ils ont une lettre adressée au président Mr Mohamed Ould Abdel Aziz, dans laquelle, ils demandent à ce qu’il donne des instructions aux autorités concernées pour qu’une solution soit trouvée à ce problème récurent.
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