La Fondation Habib Ould Mahfoudh a organisé à l’Hôtel de ville d’Atar sa cérémonie annuelle pour la distribution de récompenses aux meilleurs articles de presse de l’année en cours en langue arabe et en langue françaises.
Le prix Habib Ould Mahfoudh pour le meilleur article écrit en arabe a échu à M. Mohamed Salem Ould Yahya, tandis que son collègue, M. Yéro Amel Ndiaye, a reçu, lui, le prix Habib Ould Mahfoudh du meilleur article écrit en français.
L’édition 2020 de cette cérémonie annuelle, comme ses précédentes, fut l’occasion de faire un portrait du défunt, d’évoquer les immenses qualités humaines de journaliste hors du commun qui était d’une sagacité phénoménale et avait une plume lumineuse.
Ce fut aussi l’occasion de présenter les actions culturelles et caritatives menées par la fondation Habib Ould Mahfoudh depuis le décès de ce dernier en 2001.
Lors de la cérémonie, des textes enregistrés lus par des journalistes contemporains, ont été exposés à l’auditoire afin de jeter la lumière sur le parcours exemplaire de ce journaliste aux qualités sublimes qui menait un combat acharné contre toutes les tares.
Des récompenses ont été aussi offertes à certains éminents érudits de la ville d’Atar, qui furent unanimes à saluer le talent de celui qui écrivit sur l’Adrar et sur Atar.
L’adjoint au maire, M. Melainine Ould Saadbouh, s’est réjoui de ce que sa commune ait accueilli l’édition 2020 de cet évènement grandiose, d’autant qu’il est ébahi par la personnalité de Habib Ould Mahfoudh, qui eut à enseigner pendant des années dans cette ville, marquant ses élèves.
De son côté, Mme Toutou Mint Habib Ould Mahfoudh, a adressé ses remerciements aux habitants de la ville, comme à sa mairie pour la noblesse des sentiments exprimés à l’égard du défunt, promettant d’organiser les prochaines éditions dans d’autres villes du pays.
La cérémonie s’est déroulée en présence du hakem mouçaid de la moughataa d’Atar, de la présidente de la Fondation Habib Ould Mahfoudh, Mme Taghla Mint Abeidalla, du président d’honneur de la fondation, M. Sidna Ould Abdel Vettah, et nombre de cadres de la Fondation Habib Ould Mahfoudh, en plus des chefs des services régionaux, de fans du célèbre écrivain, d’intellectuels et de journalistes.
AMI
Le prix Habib Ould Mahfoudh pour le meilleur article écrit en arabe a échu à M. Mohamed Salem Ould Yahya, tandis que son collègue, M. Yéro Amel Ndiaye, a reçu, lui, le prix Habib Ould Mahfoudh du meilleur article écrit en français.
L’édition 2020 de cette cérémonie annuelle, comme ses précédentes, fut l’occasion de faire un portrait du défunt, d’évoquer les immenses qualités humaines de journaliste hors du commun qui était d’une sagacité phénoménale et avait une plume lumineuse.
Ce fut aussi l’occasion de présenter les actions culturelles et caritatives menées par la fondation Habib Ould Mahfoudh depuis le décès de ce dernier en 2001.
Lors de la cérémonie, des textes enregistrés lus par des journalistes contemporains, ont été exposés à l’auditoire afin de jeter la lumière sur le parcours exemplaire de ce journaliste aux qualités sublimes qui menait un combat acharné contre toutes les tares.
Des récompenses ont été aussi offertes à certains éminents érudits de la ville d’Atar, qui furent unanimes à saluer le talent de celui qui écrivit sur l’Adrar et sur Atar.
L’adjoint au maire, M. Melainine Ould Saadbouh, s’est réjoui de ce que sa commune ait accueilli l’édition 2020 de cet évènement grandiose, d’autant qu’il est ébahi par la personnalité de Habib Ould Mahfoudh, qui eut à enseigner pendant des années dans cette ville, marquant ses élèves.
De son côté, Mme Toutou Mint Habib Ould Mahfoudh, a adressé ses remerciements aux habitants de la ville, comme à sa mairie pour la noblesse des sentiments exprimés à l’égard du défunt, promettant d’organiser les prochaines éditions dans d’autres villes du pays.
La cérémonie s’est déroulée en présence du hakem mouçaid de la moughataa d’Atar, de la présidente de la Fondation Habib Ould Mahfoudh, Mme Taghla Mint Abeidalla, du président d’honneur de la fondation, M. Sidna Ould Abdel Vettah, et nombre de cadres de la Fondation Habib Ould Mahfoudh, en plus des chefs des services régionaux, de fans du célèbre écrivain, d’intellectuels et de journalistes.
AMI