Les travaux des journées de réflexion sur la prise en charge de la grossesse dite forfait obstétrical organisées par le programme national de santé reproductive en collaboration avec les partenaires du secteur de la santé ont démarré mercredi à Nouakchott.
L’atelier vise à présenter des solutions et de nature à stimuler la méthode de la prise en charge de la grossesse pour en relever les prestations et limiter ce faisant le taux de mortalité des mères et des nouveaux nés.
Le ministre de la santé, Dr Mohamed Nedhirou Ould Hamed a, dans son mot pour l’occasion, souligné les décès des mères et nouveaux nés représente une préoccupation mondiale en particulier dans notre zone africaine où le taux de mortalité reste encore élevé.
Les dépenses en matière de santé, poursuit-il, constituent le premier facteur déterminant la pauvreté au niveau international pour les franges vulnérables de la société, relevant que son département a mis en place le système du forfait obstétrical en 2001 avec la contribution de l’Agence Française de Développement (AFD).
Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, ajoute –t- il, accorde une importance majeure à la santé de la mère et de l’enfant, ce que traduit la politique du gouvernement qui vient d’être adoptée par le Parlement et qui vise, entre autres objectifs, à garantir l’accès aux service de santé, notamment la grossesse et la naissance, en adéquation avec le niveau financier des franges vivant dans la précarité.
Le directeur de l’AFD a, quant à lui, indiqué que la Mauritanie œuvre depuis 20 ans pour garantir la prise en charge de la grossesse, notant qu'elle a, en 2008, accordé un intérêt particulier à ce programme exprimant ainsi un engagement de partenariat dans le domaine de la santé, renouvelé en 2017 aux fins de contribuer à faire baisser la mortalité des mères et nouveaux nés à travers le renforcement du système de santé mauritanien.
Prennent part à cet atelier les directions centrales, les chefs de programmes de santé en plus des walis de Nouakchott.
La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence de représentants des partenaires de la santé en Mauritanie.
AMI
L’atelier vise à présenter des solutions et de nature à stimuler la méthode de la prise en charge de la grossesse pour en relever les prestations et limiter ce faisant le taux de mortalité des mères et des nouveaux nés.
Le ministre de la santé, Dr Mohamed Nedhirou Ould Hamed a, dans son mot pour l’occasion, souligné les décès des mères et nouveaux nés représente une préoccupation mondiale en particulier dans notre zone africaine où le taux de mortalité reste encore élevé.
Les dépenses en matière de santé, poursuit-il, constituent le premier facteur déterminant la pauvreté au niveau international pour les franges vulnérables de la société, relevant que son département a mis en place le système du forfait obstétrical en 2001 avec la contribution de l’Agence Française de Développement (AFD).
Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, ajoute –t- il, accorde une importance majeure à la santé de la mère et de l’enfant, ce que traduit la politique du gouvernement qui vient d’être adoptée par le Parlement et qui vise, entre autres objectifs, à garantir l’accès aux service de santé, notamment la grossesse et la naissance, en adéquation avec le niveau financier des franges vivant dans la précarité.
Le directeur de l’AFD a, quant à lui, indiqué que la Mauritanie œuvre depuis 20 ans pour garantir la prise en charge de la grossesse, notant qu'elle a, en 2008, accordé un intérêt particulier à ce programme exprimant ainsi un engagement de partenariat dans le domaine de la santé, renouvelé en 2017 aux fins de contribuer à faire baisser la mortalité des mères et nouveaux nés à travers le renforcement du système de santé mauritanien.
Prennent part à cet atelier les directions centrales, les chefs de programmes de santé en plus des walis de Nouakchott.
La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence de représentants des partenaires de la santé en Mauritanie.
AMI