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un grain de sable pour secouer la poussière...

Gouvernement de Ould Hademine : Entre bonnes et mauvaises notes de nos Ministres

Lundi 12 Mars 2018 - 21:10

Le Premier ministre l’ingénieur Yahya Ould Hademine, nommé par Son Excellence le Président de la République Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, en août 2014 au poste convoité de Chef du gouvernement, soit une confiance régulièrement renouvelée par le Boss à son dauphin, depuis moins de 4 ans.

 

Un actif dont le Premier ministre bénéficie à l’orée d’élections législatives, municipales et régionales (conseillers régionaux) décisives pour l’avenir de la Nation, qui devront être suivies d’une élection présidentielle en 2019, avec un attachement sans cesse  rappelé à un troisième mandat pour Ould Abdel Aziz.

 

En effet, malgré un bilan globalement positif, en si peu d’années, le Premier ministre chapeaute un gouvernement composé d’excellents, passables et médiocres ministres, comme indiqué dans les notes suivantes accordées par votre journal « Houmoum –Ennass », sur la base de critères, prenant en considération le dynamisme, le labeur, l’engagement et volonté du ministre de mener à bien sa mission, dans le cadre de l’action collective du gouvernement, afin d’assurer la consécration du projet de société de Son Excellence le Chef de l’Etat Ould Abdel Aziz.

 

Les notes attribuées sont relatives à la mise en œuvre des différents plans sectoriels des trois dernières années, avec toutefois une marque accordée au Premier ministre Ould Hademine, qui poursuit lentement mais surement sa politique d’assainissement  du gouvernement, afin de se doter d’une équipe forte et travailleuse, à la hauteur des ambitions de la Nouvelle Mauritanie.

 

19/20 Yahya Ould Hademine
 

La politique du Gouvernement a parfaitement répondu aux attentes des citoyens dans les différents domaines : déclare le Premier ministre devant les députés

Le Premier ministre, Monsieur Yahya Ould Hademine, a réaffirmé, lundi, devant les députés, l’attachement du gouvernement à l’amélioration des conditions de vie des citoyens, à travers les politiques qu’il met en exécution dans les différents domaines, en application du programme du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz.

 

Le Premier ministre, qui s’exprimait devant les députés, lors d’une plénière, présidée par M. Mohamed Ould Boïlil, président de l’assemblée, a souligné que le bilan de l’exécution de la politique générale du Gouvernement 2015-2017 et les perspectives de 2018 montrent que les attentes du citoyen et ses doléances ont été satisfaites dans tous les domaines et partout dans les pays, sans aucune discrimination.

Notons par ailleurs, les sentiments de profonde reconnaissance exprimées par les habitants de la wilaya du Brakna au Premier ministre, pour avoir accompagné, de bout en bout, sur instruction du Président de la République Ould Abdel Aziz, la convalescence de feu Sid’Amine Ould Ahmed Challa, depuis son hospitalisation à Nouakchott jusqu’à le rapatriement de sa dépouille de l’étranger en passant par sa prise en charge et son évacuation en Espagne.

 

18/20  Mohamed Abdallahi Ould Ouadaa, ministre de l’équipement et des transports,
 

Un vaste réseau routier a été réalisé et des routes seront réhabilitées telles que celles (Nouakchott-Boutilimitt et Nouakchott-Rosso). Tandis que les axes Kiffa-Kankossa et Tidijikja-Atar sont achevés.

 

Sur le plan des transports, la flotte aérienne s’est dotée en moins de deux ans de deux avions de dernières marques, capables de faire de longues distances, selon les propos du ministre.

 

17/20  Moctar Ould NDjay, ministre des finances et de l’économie

 

C’est grâce à une gestion minutieusement des ressources de l’Etat, un assainissement spécifique des départements ministériels et l’élimination des doubles salaires que recevaient des fonctionnaires de la fonction publique, que des projets, des infrastructures de base et des emplois ont été créés. En plus, les fonds ont été bien gérés et investis dans des domaines au service des populations.

 

 

13/20 Isselkou Ould Ahmed Izidbih, ministre des affaires étrangères et de la coopération

 

Discret, compétent, ex Ministre à plusieurs reprises, il a su donner à ce département de Souveraineté ses lettres de noblesse. Il est bien conscient des défis à relever et s’attelle parfaitement pour être à la hauteur des ambitions placées en lui, par le Chef de l’Etat, surtout pour faire de la Mauritanie, cette vitrine de plus en plus courtisée et de plus en plus appelée à jouer un rôle prépondérant dans la sous-région et dans le monde.

 

12/20 Khadijetou M’Bareck Fall Ministre déléguée auprès du Ministre des Affaires Etrangères et de la coopération, Chargée des Affaires Maghrébines, Africaines et des Mauritaniens de l'Etranger

Elle doit noter en fonction du ministère duquel elle relève, avec des chances de soigner davantage son rendement diplomatique. Grande voyageuse, cette infatigable ministre mène un travail appréciable qui en se consolidant dans l’avenir, peut faire d’elle, encore jeune, l’une des grandes commis de l’Etat mauritanien au cours des prochaines années.

 

 

 

05/20  Pr Kâne Boubacar, ministre de la santé

Le secteur de la santé a malheureusement échoué avec ce ministre, que ni la spécialité, ni son appartenance à une communauté présentée parfois comme étant relativement correcte et laborieuse, n’ont pu aidé à sortir la santé de la médiocrité.

Le service public sanitaire est décrié et conduit la plupart des patients à recourir aux cliniques privées, à l’hôpital de Cuba à Nouadhibou sinon à l’étranger pour ceux qui ont les moyens.

Il est urgent de trouver l’homme qu’il faut à la place qu’il faut pour ce département ultra-sensible

 

 

13/20  Yahya Mint Abdaime, ministre de l’hydraulique et de l’assainissement

 

Des réseaux d’adduction d’eau potable alimentent la plupart de nos villes et villages à partir des projets d’Aftout Essahili et Cherghui. Un important réseau d’assainissement est actuellement exécuté dans la capitale Nouakchott, quelques mois avant l’hivernage, afin d’épargner cette métropole des marres.

 

Plusieurs autres actions sont menées à l’intérieur dont des forages pour venir en aide aux populations en cette année de sécheresse.

 

 

02/20 Mme Emal Mint Maouloud, ministre de l’habitat, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire

 

Le problème de déguerpissement des Kebbas se pose toujours avec acuité et le département a échoué dans ses efforts vains pour régler les litiges fonciers. Inexpérimentée, la ministre n’arrive pas à prendre les bonnes décisions, sinon, elles s’avèrent souvent mal étudiées, inappropriées et parfois même sources de complication.

 

 

 

 

10/20  Isselmou Ould Sid’El Mokhtar, ministre de l’Éducation nationale

 

Le ministre de l’Education nationale noyau du développement d’où son double rôle d’enseigner et de former contribue sans faille dans la réalisation des projets et programmes du président et du gouvernement.

L’ouverture d’écoles, de collèges et de lycées en plus du recrutement de centaines d’instituteurs et des professeurs durant l’année scolaire 2016-2017 ont décanté la situation sont quelques unes des principales réalisations entreprises par le département de l’Éducation nationale .

 

 06/20  Sidi Ould Salem, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique

 

Le ministre n’arrive pas à redresser ce département vital, surtout que son ère s’est caractérisée par une instabilité dans le ministère, d’abord avec le scandale des bourses, ensuite avec les faux diplômes qu’il a reconnu publiquement devant les députés et sur les manifs des étudiants, visant à dénoncer la réforme des bourses scolaires annoncée, dont les critères ont été qualifiés par les universitaires  « injustes », accusant Ould Salem d’improvisation et de tentatives acharnées de saper les acquis des étudiants, à travers des réformes impopulaires et sans pertinence.

Toujours à ce propos, soulignons  la récente dénonciation du Front des étudiants chargé de lutter pour les droits et les acquis des étudiants de  la situation misérable que vivent les étudiants, du fait des politiques unilatérales et improvisées destinées à confisquer les droits des étudiants mauritaniens et la destruction de leurs acquis.

 

Les étudiants ont attiré aussi l’attention sur les problèmes et les manquements qui affectent le système éducatif supérieur dans le pays, tant au niveau académique qu’administratif et celui de la qualité des services.

 

 

 

 

15/20 

Mohamed Ould Abdel Vetah, ministre de l’énergie et du pétrole

 

Le réseau d’électrification du pays s’est élargi avec ce technocrate chevronné, dans toutes les ville, avec la perspective d’électrifier le milieu rural dont plusieurs localités sont actuellement éclairées, après l’extension des réseaux électriques.

Le ministre jouit particulièrement d’une confiance du Président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, qui le sollicite régulièrement, soit pour les questions cruciales relatives à l’avenir de l’UPR  le parti au pouvoir.

Ould Abdel Vettah a drainé également beaucoup de multinationales étrangères et d’hommes d’affaires, désireux d’investir dans le pays, augurant un lendemain industriel et commercial rayonnant pour le pays.

 

 

04/20  ministre de la justice, Dia Moctar Malal

 

Le ministre n’arrive pas à insuffler un sang neuf à ce département, malgré sa longévité dans le gouvernement de Ould Hademine et bien avant dans les équipes précédentes.

Les affaires judiciaires sont toujours pendantes et les visiteurs du palais de justice de Nouakchott et des tribunaux se plaignent de la lenteur des procédures et parfois même des décisions arbitraires prises par cet appareil vital, sur des bases népotistes, tribalistes et non transparentes.

 

 

 

 

18/20 Diallo Mamadou Bathia, Ministre de la Défense Nationale

 

C’est un géant du gouvernement, rien qu’à son maintien à la tête de ce département de souveraineté depuis plusieurs années.

 Expérimenté, bosseur et patriotique, c’est incontestablement  l’un des hommes de confiance du Président de la République Ould Abdel Aziz.

 En atteste également son choix pour présider aux destinées du comité de restructuration chargé par le président Mohamed Ould Abdel Aziz de procéder à la restructuration de l’Union Pour la République, le parti au pouvoir après l’organisation de plusieurs réunions de contact avec des personnalités.

 

 

15/20 Ahmedou Ould Abdalla, ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation

Le ministre renforce son audience auprès du Président de la République et du Premier ministre, qui comptent sur lui pour assurer une organisation sans fausse note des futures élections législatives, municipales et régionales.

Et comme les grandes batailles se préparent à l’avance, son choix pour diriger ce département confronté à de nombreux défis, montre si besoin est qu’il est l’homme qu’il faut à la place qu’il faut

 

 

14/20  Ahmed Ould Ehl Daoud Ministre des Affaires Islamiques et de l'Enseignement Originel

Le ministre a marqué sa direction du département, en érigeant en système la transparence grâce aux opérations de tirage au sort organisées annuellement pour identifier les pèlerins appelés à faire le Hadj.

Un actif très bien salué  par les mauritaniens, qui l’assimilent à une fin de l’arbitraire. En effet, l’organisation de ces opérations de tirage donne lieu annuellement à la sortie d’une liste de 2.000 candidats au pèlerinage, répartis entre les wilaya au prorata du nombre des demandeurs inscrits. 

 

 

12/20 Ministre de la Fonction publique, du Travail et de la Modernisation de l'Administration

 

C’est la ministre qui détient le record de longévité dans les gouvernements de l’ère du Président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz.

Elle devait voir régulièrement sa note progresser, si elle n’était pas éclaboussée de temps à autre par des contreperformances gênantes dont la plus récente avait concerné les faux diplômes.

En effet, sur 110 diplômes faisant l’objet de réserve et examinés, 30 seulement ont été authentifiés, avait-t-elle affirmé dernièrement devant les députés, soulignant le rejet des autres titres ne satisfaisant pas aux conditions requises pour leur adoption.

Toutefois elle s’est rattrapée trop vite sur cette inadvertance pour préciser que le constat n’est pas global

 

16/20 Nany Ould Chrougha Ministre des pêches et de l'Economie maritime

Le secteur des pêches et de l’économie martitime se porte bien et nous permet même de dire qu’il en très bonne santé et fait l’objet d’une surveillance véritable, contre la surexploitation et la pêche illégale.

 

« Huits ans après (2009-2017) l’élection du président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, les indicateurs du secteur de la pêche  sont aux verts », a affirmé d’ailleurs le ministre, précisant que le secteur a connu un bond en avant durant cette période.

Ainsi, avec  de  bonnes stratégies mises  en œuvre, la production nationale brute  est passée de 90.000 tonnes /an  en 2009  à  773.000 tonnes /an  en 2016, soit une hausse  de 759% sur la période considérée.

 

Un résultat  induit  par   l’augmentation  de la main d’œuvre maritime qui est passée  de 36.000 en 2009 contre  60.000 en 2016, soit une hausse de 66,7% mais également  du nombre d’usines qui sont passées de 60 à 135 sur la même période considérée (soit une hausse de 125%).

 

Ainsi, les quantités exportées ont  enregistré une hausse de 776 %  en 2016 (3000 tonnes  de  poisson exportés  en 2009 contre 26269 en 2016).

 

En termes de devise, les exportations sont passées de 222 millions de dollars en 2009 contre 689 millions de dollars en 2016, soit une amélioration de 467 millions de dollars en valeur absolue.

 

13/20 Naha Mint Hamdi Ould Mouknass, Ministre du Commerce, de l'Industrie et du Tourisme

C’est « un oiseau rare, dans cette Mauritanie à la fois machiste et très religieuse : elle est la première et unique femme à diriger un parti politique, l’Union pour la démocratie et le progrès (UDP) en l’occurrence. « Diriger, c’est donner des ordres, explique-t-elle (Jeune Afrique).

 

La ministre arrive à cette maintenir dans tous les gouvernements mauritaniens, depuis l’élection de Ould Abdel Aziz à la Magistrature Suprême, grâce à rectitude, à sa clairvoyance, à son sérieux et à son abnégation professionnelle. Il faut aussi lui reconnaitre sa grande popularité qui fait de son parti l’un des poids lourds incontestés de la majorité présidentielle.

 

07/20 Mohamed Ould Kembou

Le rôle du Ministre délégué auprès du ministre de l'Economie et des finances chargé du Budget Mohamed Ould Kembou est figuratif, puisque tout se trame au sommet du département avec l’implacable ministre de l’économie et des finances, duquel, relèvent directement et sans main interposée les patrons du Trésor public et du budget.

C’est peut se permettre un rôle limité à l’accomplissement de tâches purement administratives comme les correspondances, les ateliers et les autres activités de second rôle

 

03/20 Ministre de l'Agriculture

La ministre est dans le collimateur. Elle avait annoncé devant le président de la République, , le 13 juillet 2016, lors de la cérémonie du lancement de la campagne agricole à Lekraa, dans le département de Keur Macène (Région de Rosso), que son département disposait des quantités suffisantes d’engrais dans ses magasins…

 

La prenant au mot, des inspecteurs découvriront que ces magasins étaient en fait vides. Un gros scandale puisque l’on parle de la disparition de 6 750 tonnes de marchandises, soit l’équivalent de 1,2 milliard d’ouguiyas, 3,5 millions de dollars.

 

Aujourd’hui, la Sonimex a été liquidée fait découvrir le pot de rose du fiasco de ce département dont les peines ne feront que commencer avec le spectre de la sécheresse qui pointe à l’horizon et la famine qui sévit déjà dans certaines zones rurales
 

16/20 Vatma Vall Mint Soueina Ministre de l'Elevage

Elle continue son ascension dans le sérail et renforce son audience auprès du Chef de l’Etat, qui a porté son choix sur cette jeune et dynamique  ministre pour faire de l’élevage l’un des moteurs véritables de l’économie nationale et la source de bien-être des populations.

Outre les campagnes de vaccination du cheptel, l’ouverture de centres du département aux postes frontaliers pour contrôler la circulation des animaux et prévoir les maladies du bétail, la ministre est consciente de l’importance de notre cheptel et la priorité accordée par la Stratégie de la Croissance Accélérée et de la Prospérité Partagée (SCAPP) à cette richesse, dans les programmes et les politiques économiques et de la croissance.

 

« La politique sectorielle de l’élevage adoptée par le Conseil des ministres, au début de cette année, place le développement des filières animales au second rang, des cinq piliers de l’élevage », a-t-elle dit, qualifiant le développement des filières animales, dont les viandes, le lait, la volaille, les peaux et autres dérivés, d’épicentre de l’élevage, sur la base duquel, s’effectue la manufacture, qui donne à son tour naissance à des entités industrielles et de transformation.

 

17/20 Mohamed Abdallahi Ould Oudaa, Ministre de l 'Equipement et des Transports

 

C’est autre ministre qui ne cesse de renforcer son capital de confiance auprès du Boss, qui ne l’a point lâché, depuis son serment de faire de la Nouvelle Mauritanie, un Etat souverain, prospère, développé et puissant.

Une mission à laquelle s’est attelée avec abnégation, le ministre, qui est régulièrement sollicité par le Président de la République,  pour mettre de l’ordre dans les départements aux missions difficiles et dirigés par des médiocres.

Rappelons que Ould Oudaa, très populaire dans le Brakna est également un chef notable bien apprécié dans sa wilaya fortement mobilisée derrière lui, depuis qu’il a décidé de se mettre à la disposition de la République pour aller de l’avant.

 

 

13/20 Seyedna Ali Ould Mohamed Khouna, Ministre de l'Emploi, de la Formation Professionnelle et des Technologies de l'Information et de la Communication

 

C’est un ministre correct. Avec lui, il faut s’attendre toujours à un bilan positif. C’est un ministre immunisé contre la gabegie et la mauvaise gestion, dont son importance pour prendre le taureau du chômage par les cornes.

Des efforts sont constamment menés dans ce sens par son département pour réduire le chômage des jeunes, en acquérant les talents et les qualifications nécessaires, pour accéder aisément au travail ainsi qu’à travers la mise en place d’une stratégie nationale pour la promotion de la formation technique et professionnelle destinée à créer une adéquation entre la formation et les besoins du marché de l’emploi, afin de propulser ce secteur et d’insérer les jeunes dans la vie active.

 

04/20 Hawa Tandia ; Ministre des Relations avec le Parlement et de la Société Civile

C’est une ministre qui brille par son éclipse, à un moment où ses collègues bravent le froid et la timidité pour défendre courageusement et chiffres à l’appui leurs bilans.

Malgré son plaidoyer devant les parlementaires sur le projet de loi sur la publicité, relevant au passage les réformes menées par le gouvernement dans le secteur de la communication, qu’il s’agisse de l’extension ou du pluralisme des medias publics ou de la garantie des libertés de la presse écrite, audiovisuelle ou électronique, ce qui fait que notre pays s’est arrogé une place de premier plan en matière de liberté d’expression sur la scène arabe, la ministre est appelée à faire mieux pour améliorer sa note très faible pour mériter un maintien dans cette équipe gouvernementale confronté à de nombreux défis.

 

 

12/20 Mohamed Lemine Ould Cheikh, Ministre de la Culture et de l'Artisanat, Porte Parole du Gouvernement

C’est un Porte-parole parfait qui réussit à tous les coups à assurer une défense courageuse de l’action du gouvernement et de la politique de l’Etat, présentant à toutes les occasions, les points de force du projet de société du Président de la République.

Les médias les plus acharnés n’ont jamais réussi à le faire trembler, trouvant auprès du ministre des réponses béton à leurs questions, parfois posées sur fond de provocation et d’embarras.

 

 

 

11/20 Amédi Camara, Ministre de l'environnement et du développement durable

 

C’est un ministre qui voyage beaucoup, poussé dans ses déplacements par la volonté de relever les nombreux défis posés à son département, dont principalement les changements climatiques, la désertification au Nord, les inondations avec la pluviométrie importante surtout au niveau du littoral où un tiers de la population mauritanienne habite, et l’ensablement de zones urbaines, de cultures, de pâturages.

 

0,5/20 Mohamed Ould Jibril, ministre de la Jeunesse et des Sports

Il est me moins noté des membres du gouvernement. Il a aggravé le classement des Mourabitounes à la FIFA, qui ont dégringolé du  Top 100, après s’être maintenus longtemps en bonne position. Cette chute est bien sûr  une conséquence de la piètre performance des Mourabitoune locaux, lors du dernier CHAN avec à la raclé trois défaites en autant de matches. La pire de leur histoire. Lors de ce grand rendez vous continental, le technicien français a perdu ses bas.

 

Corentin Martins qui n’a pas la réussite au bout des… avait été confirmé chez les A n’essuyant dés lors en dépit de la folle colère du reste légitime de tous les sportifs aucune sanction sous forme d’éviction. Il fut déchargé d’un colis qui lui semblait trop lourd (rimsports)

 

 

 

03/20 Maimouna Mint Mohamed Taghi, ministre des Affaires sociales, de l’Enfance et de la Famille

Tout s’est aggravé avec sa nomination à la tête de ce département, notamment dans les prisons des mineurs et des femmes. C’est une ministre sans expérience, montée à la faveur d’une prestation bien appréciée par des cercles de la majorité devant les députés.

Mint Taghi a échoué à faire juguler la mendicité qui s’est étendue avec elle. En effet, des hordes de mendiants mineurs ou majeurs handicapés ou non, continuent d’infester les carrefours, les marchés, les bureaux et les Mosquées, laissant une mauvaise image au pays et à la capitale, aux étrangers qui se rendent en Mauritanie.

 

14/20, Zeinebou Mint Ely Salem, ministre secrétaire générale du gouvernement

 

C’est une ministre ultra instruite et agissant à la cadence de la mondialisation et des technologies. Consciente de la nécessité de la mise à niveau périodique des ministères face à leurs responsabilités, elle a instauré la louable tradition, des réunions avec les secrétaires généraux des départements.

Ces conclaves portent sur le moindre détail à corriger pour optimiser l’action administration, depuis, le journal officiel, l’automatisation des déplacements des ministres à l’étranger, les dispositions nécessaires pour hisser le nouveau drapeau national  sur les édifices publics à l’occasion des festivités de la fête de l’indépendance nationale,  le nouvel hymne national et l’importance de sa vulgarisation au niveau des écoles afin de répandre l’amour de la patrie et le sentiment national au sein de la société. La MSGG a œuvré également en faveur d’une amélioration des passations des marchés publics, afin de renforcer la lutte contre la gabegie et la corruption et de rationaliser les ressources publiques.

 

 

 

12/20, Khadijetou M’Bareck Fall, Ministre déléguée auprès du Ministre des Affaires Etrangères et de la coopération, Chargée des Affaires Maghrébines, Africaines et des Mauritaniens de l'Etranger

 

 

 

Fonctions au rang de ministre

14/20 Nejoua Mint Kettab, Commissaire à la Sécurité Alimentaire

C’est une ministre jeune et pleine de dynamisme, qui a su donner au CSA sa réputation d’établissement public de grande utilité pour le pays, surtout en cette période de sécheresse et de calamités, qui interpellent le commissariat à s’armer de courage et d’opiniâtreté pour tenir face à tous les défis.

 

Le CSA a envoyé dernièrement des  contingents de camions chargés d'aliments de bétail à destination des différentes wilayas du pays. Cette opération vise à doter les marchés de l’intérieur en aliments de bétail à des prix subventionnés dans le cadre du Programme de soutien à l'élevage en Mauritanie.

 

00/20 Cheikh Tourab Ould Abdel Malick, commissaire aux droits de l'homme et à l'action humanitaire

Il a échoué dans sa mission et embarrassé l’Etat dans son bras de fer avec les défenseurs des droits de l’homme. Il n’a pas réussi à redorer le blason des droits de l’homme dans son pays malgré des milliards d’ouguiyas mobilisés en faveur de son département, ne parvenant pas à annihiler devant l’ONU, l’Union Européenne et les autres institutions les thèses accusant le pouvoir mauritanien  de pratiques esclavagistes et de violence des droits de l’homme défendus par L’IRA et SOS Esclaves, à travers leurs leaders Biram Ould Dah Ould Abeid et Boubacar Ould Messouad.

Le commissaire miné par des tendances hostiles les unes aux autres dilapide l’argent public à travers des séminaires inefficaces, organisés pour justifier des dépenses énormes partagées par les responsables de l’institution avec la complicité de pseudo experts.

 

 

16/20 Abdel Aziz Ould Dahi, Gouverneur de la BCM

 

Il a très bien réussi son projet de démonétisation de l’ouguiya, surtout après la vérification sur le terrain de l’objectivité de ses assurances faites aux citoyens avant l’entrée de la nouvelle monnaie nationale (MRU).

 

 En effet, les changements de la monnaie nationale, l’Ouguiya, qui visent notamment à protéger l’économie du pays et à augmenter son efficacité, en plus de l’immunisation de la monnaie contre la falsification et le blanchiment d’argent, se sont déroulés comme indiqué, puisque cette cette réforme qui permettra aussi de faciliter les échanges commerciaux, n’a pas eu d’effet sur la valeur de l’Ouguiya ni sur le pouvoir d’achat du citoyen.

La valeur des épargnes, des biens et des instruments d’investissements n’a pas été elle aussi impactée.

source taqadoum.mr

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