Les travaux d’une session de formation des formateurs et formatrices en droits de conflits armés et en droits humains ont débuté, lundi à Nouakchott.
La rencontre, dont l’ouverture a été supervisée par le ministre de la Défense nationale, M. Hanenna Ould Sidi, en présence du Chef d’Etat-major général des armées, général de division Mohamed Bamba Megeut, fait partie de l’appui de à la Force Conjointe du G5 Sahel, financé par l’Union européenne.
Le projet d’appui vise à placer les droits de l’homme au cœur des réponses sécuritaires régionales.
Cette formation a pour objectif de renforcer les connaissances et aptitudes des instructeurs concernant les règles essentielles relatives aux droits humains, droit international humanitaire, droit international des réfugiés et d’autres thématiques pertinentes dans ce domaine.
S’exprimant pour l’occasion, l’Amiral Ahmed Seyid Benaouf, commandant du troisième bureau d’Etat-major général des armées s’est réjoui du démarrage de la formation, organisée dans le cadre du partenariat avec la Force Conjointe du G5 Sahel.
Il a, par la suite, remercié l’ambassadeur de l’UE en Mauritanie pour cette initiative qui affirme la volonté de la Mauritanie à intégrer les thématiques des droits de l’homme dans la préparation académique des unités et la formation des cadres.
Pour sa part, l’ambassadeur chef de délégation de l’UE en Mauritanie, SEM. Giacomodo Durazzo, a rappelé que le respect des Droits Humains commence tout d’abord par la connaissance, la formation et l’engagement des autorités politiques et des institutions à les mettre en œuvre.
Il a, ensuite, fait remarquer cette formation est une première au G5 Sahel car il s’agit pour la première fois d’une approche intégré qui incorpore non seulement le bataillon mauritanien de la Force conjointe mais également les formateurs du Centre de maintien de la paix et de l’enseignement opérationnel (CMPEO), en charge de la formation du Mauribat, des instructeurs du Collège Défense, de l’Ecole des Officiers à Atar, de l’Ecole des Sous-officiers à Kiffa et de l’Ecole de la Gendarmerie ainsi que des Officiers de l’Etat-major du prochain Mauribat et la responsable de l’équipe «Female Engagement Team».
«Par cette formation, la Mauritanie se positionne comme un précurseur pour les formations intégrées qui répondent à un besoin de trouver des réponses structurelles pour inclure les droits humains dans toute planification et exécution opérationnel. Je tiens à vous dire que cette expérience pilote est désormais considérée comme un exemple dans la région du partenariat entre l'UE et les pays du G5 Sahel», a-t-il précisé.
Pour sa part, le coordinateur du projet d’appui à la force conjointe G5 Sahel, M. Julien Attakla-Ayinon, a précisé que la formation illustre la volonté de la Mauritanie d'ancrer la question des droits de l'homme dans la préparation opérationnelle de nos unités et dans la formation de nos cadres.
Il a également salué la présence parmi les stagiaires de deux militaires féminins qui vont bénéficier de cette formation et seront dans les mois à venir partie intégrante de notre bataillon engagé au sein de la MINUSCA en République de Centrafrique au sein de la « Female Engagement Team».
AMI
La rencontre, dont l’ouverture a été supervisée par le ministre de la Défense nationale, M. Hanenna Ould Sidi, en présence du Chef d’Etat-major général des armées, général de division Mohamed Bamba Megeut, fait partie de l’appui de à la Force Conjointe du G5 Sahel, financé par l’Union européenne.
Le projet d’appui vise à placer les droits de l’homme au cœur des réponses sécuritaires régionales.
Cette formation a pour objectif de renforcer les connaissances et aptitudes des instructeurs concernant les règles essentielles relatives aux droits humains, droit international humanitaire, droit international des réfugiés et d’autres thématiques pertinentes dans ce domaine.
S’exprimant pour l’occasion, l’Amiral Ahmed Seyid Benaouf, commandant du troisième bureau d’Etat-major général des armées s’est réjoui du démarrage de la formation, organisée dans le cadre du partenariat avec la Force Conjointe du G5 Sahel.
Il a, par la suite, remercié l’ambassadeur de l’UE en Mauritanie pour cette initiative qui affirme la volonté de la Mauritanie à intégrer les thématiques des droits de l’homme dans la préparation académique des unités et la formation des cadres.
Pour sa part, l’ambassadeur chef de délégation de l’UE en Mauritanie, SEM. Giacomodo Durazzo, a rappelé que le respect des Droits Humains commence tout d’abord par la connaissance, la formation et l’engagement des autorités politiques et des institutions à les mettre en œuvre.
Il a, ensuite, fait remarquer cette formation est une première au G5 Sahel car il s’agit pour la première fois d’une approche intégré qui incorpore non seulement le bataillon mauritanien de la Force conjointe mais également les formateurs du Centre de maintien de la paix et de l’enseignement opérationnel (CMPEO), en charge de la formation du Mauribat, des instructeurs du Collège Défense, de l’Ecole des Officiers à Atar, de l’Ecole des Sous-officiers à Kiffa et de l’Ecole de la Gendarmerie ainsi que des Officiers de l’Etat-major du prochain Mauribat et la responsable de l’équipe «Female Engagement Team».
«Par cette formation, la Mauritanie se positionne comme un précurseur pour les formations intégrées qui répondent à un besoin de trouver des réponses structurelles pour inclure les droits humains dans toute planification et exécution opérationnel. Je tiens à vous dire que cette expérience pilote est désormais considérée comme un exemple dans la région du partenariat entre l'UE et les pays du G5 Sahel», a-t-il précisé.
Pour sa part, le coordinateur du projet d’appui à la force conjointe G5 Sahel, M. Julien Attakla-Ayinon, a précisé que la formation illustre la volonté de la Mauritanie d'ancrer la question des droits de l'homme dans la préparation opérationnelle de nos unités et dans la formation de nos cadres.
Il a également salué la présence parmi les stagiaires de deux militaires féminins qui vont bénéficier de cette formation et seront dans les mois à venir partie intégrante de notre bataillon engagé au sein de la MINUSCA en République de Centrafrique au sein de la « Female Engagement Team».
AMI