Même si le débat était houleux, avec des discussions ayant tiré en longueur, force est de constater que projet de loi portant ratification de l'accord sur l'exploitation des ressources d'hydrocarbures signé entre le Sénégal et la Mauritanie vient d’être voté par la majorité à l'Assemblée nationale. Pour mémoire, l’opposition excipait d’un manque d'information sur le pourcentage exact dont bénéficie le Sénégal sur l'exploitation de ces ressources d'hydrocarbures évaluées à plus de 560 milliards de mètres cubes, réparties entre les deux pays.
La loi ainsi votée, sa ratification, selon le texte, aidera à développer efficacement le champ en misant sur la réalisation d’économies d'échelle par la mutualisation des dépenses et la création de synergies. Cela, pour faire éviter le forage de puits et la construction d'installations inutiles. Il sera également question d’assurer le partage équitable des dépenses d'investissements et des ressources. Dans ce cadre, la délimitation du périmètre de l'unité devrait tenir compte des besoins et des préoccupations des populations qui pourraient être confrontées à des difficultés d'exploitation des produits halieutiques, si on en croit le gouvernement. A cet effet, les intérêts stratégiques des pays doivent être préservés dans le souci de garantir la stabilité des relations de bon voisinage qui doivent unir les populations des deux États signataires.
source dakaractu.com
La loi ainsi votée, sa ratification, selon le texte, aidera à développer efficacement le champ en misant sur la réalisation d’économies d'échelle par la mutualisation des dépenses et la création de synergies. Cela, pour faire éviter le forage de puits et la construction d'installations inutiles. Il sera également question d’assurer le partage équitable des dépenses d'investissements et des ressources. Dans ce cadre, la délimitation du périmètre de l'unité devrait tenir compte des besoins et des préoccupations des populations qui pourraient être confrontées à des difficultés d'exploitation des produits halieutiques, si on en croit le gouvernement. A cet effet, les intérêts stratégiques des pays doivent être préservés dans le souci de garantir la stabilité des relations de bon voisinage qui doivent unir les populations des deux États signataires.
source dakaractu.com