Le parti Tewassoul a ouvert vendredi les travaux de son troisième congrès, en présence des différents acteurs de la scène politique mauritanienne mais aussi de personnalités politiques mondiales.
Le parti, d’obédience islamique, a pu réunir au palais des congrès les dirigeants des partis de l’opposition aux côtés de ceux de la majorité présidentielle, une occasion qui a pu réunir autant de dirigeants des deux camps.
Le parti Tewassoul est le parti d’opposition le plus représenté au parlement ayant pris part aux élections législatives de 2013 que les autres partis d’opposition avaient boycotté.
L’importance du congrès de cette formation politique, réside en l’élection d’un nouveau président, qui doit succéder à Mohamed Jemil Mansour, que les textes du parti empêchent de briguer un nouveau mandat après en avoir mené à terme deux, depuis la création du parti en 2007.
A plusieurs reprises le parti avait réaffirmé qu’il ne reportera pas la date de son congrès et qu’il ne prolongera pas le mandat de Jemil Mansour.
Pour succéder au président sortant plusieurs noms ont circulé, dont les plus importants sont ceux du député Mohamed Goulam O. El Hadj Cheikh et Cheikhani O. Beïba.
Trois jours durant plus de 1000 congressistes examineront multiples documents relatifs à l’organisation interne du parti et éliront ses instances dirigeantes dont le bureau exécutif, le conseil de la Choura et le conseil national.
Le parti a remercié les autorités mauritaniennes pour ce qu’il a appelé les facilités obtenues pour l’organisation du congrès, des facilités appréciées par le président du conseil de la Choura à l’ouverture des travaux.
source saharamedias.net
Le parti, d’obédience islamique, a pu réunir au palais des congrès les dirigeants des partis de l’opposition aux côtés de ceux de la majorité présidentielle, une occasion qui a pu réunir autant de dirigeants des deux camps.
Le parti Tewassoul est le parti d’opposition le plus représenté au parlement ayant pris part aux élections législatives de 2013 que les autres partis d’opposition avaient boycotté.
L’importance du congrès de cette formation politique, réside en l’élection d’un nouveau président, qui doit succéder à Mohamed Jemil Mansour, que les textes du parti empêchent de briguer un nouveau mandat après en avoir mené à terme deux, depuis la création du parti en 2007.
A plusieurs reprises le parti avait réaffirmé qu’il ne reportera pas la date de son congrès et qu’il ne prolongera pas le mandat de Jemil Mansour.
Pour succéder au président sortant plusieurs noms ont circulé, dont les plus importants sont ceux du député Mohamed Goulam O. El Hadj Cheikh et Cheikhani O. Beïba.
Trois jours durant plus de 1000 congressistes examineront multiples documents relatifs à l’organisation interne du parti et éliront ses instances dirigeantes dont le bureau exécutif, le conseil de la Choura et le conseil national.
Le parti a remercié les autorités mauritaniennes pour ce qu’il a appelé les facilités obtenues pour l’organisation du congrès, des facilités appréciées par le président du conseil de la Choura à l’ouverture des travaux.
source saharamedias.net