Le Président de la République, M. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a participé, jeudi, par visioconférence, aux travaux d’un sommet global de la vaccination 2020, convoqué par le Premier ministre britannique, M. Boris Johnson.
La rencontre a pour but de mobiliser au moins 7,4 milliards de dollars pour vacciner 300 millions d'enfants supplémentaires dans les pays les plus pauvres du monde d'ici 2025.
Elle a réuni plus de 50 pays dont au moins 35 chefs d'État, ainsi que des dirigeants d'organisations du secteur privé et de la société civile.
A cette occasion, le Président de la République a souligné le rôle capital que joue la vaccination dans le renforcement des systèmes de santé publique, particulièrement dans les pays en voie de développement.
« La vaccination constitue, indubitablement, une des mesures de santé publique les plus efficaces. Elle permet annuellement d’éviter des millions de décès, et de réduire sensiblement les coûts de prise en charge », a ajouté le Président de la République.
Parlant du cas de la Mauritanie, le Président de la République a indiqué que la vaccination avait permis de juguler, en 2015, le tétanos maternel et néonatal chez les femmes enceintes ou en âge de procréer, que la polio est en voie d’éradication et que le taux de mortalité infanto-juvénile en régression continue.
Le Président de la République a enfin salué la contribution significative de l’alliance globale pour les vaccins et l’immunisation (GAVI) à l’amélioration de la couverture vaccinale, et a souligné qu’elle est d’un apport appréciable dans le renforcement de l’efficacité globale des systèmes de santé.
Quant au Premier ministre britannique, M. Boris Johnson, il a invité les participants à rejoindre le son pays pour renforcer cette alliance vitale et inaugurer une nouvelle ère de coopération mondiale en matière de santé, qui constitue aujourd’hui une entreprise commune essentielle à notre vie.
Les organisateurs estiment que ce financement vital permettra, non seulement de protéger les enfants contre des maladies mortelles comme la polio, la diphtérie et la rougeole et de sauver jusqu'à 8 millions de vies, mais aussi de contribuer à la relance de l’économie mondiale après la pandémie de coronavirus.
Les experts de la santé soulignent que la vaccination de millions d'enfants contre d'autres maladies mortelles, protégera les systèmes de santé des pays les plus pauvres, afin qu'ils puissent faire face à la hausse des cas de coronavirus.
AMI
La rencontre a pour but de mobiliser au moins 7,4 milliards de dollars pour vacciner 300 millions d'enfants supplémentaires dans les pays les plus pauvres du monde d'ici 2025.
Elle a réuni plus de 50 pays dont au moins 35 chefs d'État, ainsi que des dirigeants d'organisations du secteur privé et de la société civile.
A cette occasion, le Président de la République a souligné le rôle capital que joue la vaccination dans le renforcement des systèmes de santé publique, particulièrement dans les pays en voie de développement.
« La vaccination constitue, indubitablement, une des mesures de santé publique les plus efficaces. Elle permet annuellement d’éviter des millions de décès, et de réduire sensiblement les coûts de prise en charge », a ajouté le Président de la République.
Parlant du cas de la Mauritanie, le Président de la République a indiqué que la vaccination avait permis de juguler, en 2015, le tétanos maternel et néonatal chez les femmes enceintes ou en âge de procréer, que la polio est en voie d’éradication et que le taux de mortalité infanto-juvénile en régression continue.
Le Président de la République a enfin salué la contribution significative de l’alliance globale pour les vaccins et l’immunisation (GAVI) à l’amélioration de la couverture vaccinale, et a souligné qu’elle est d’un apport appréciable dans le renforcement de l’efficacité globale des systèmes de santé.
Quant au Premier ministre britannique, M. Boris Johnson, il a invité les participants à rejoindre le son pays pour renforcer cette alliance vitale et inaugurer une nouvelle ère de coopération mondiale en matière de santé, qui constitue aujourd’hui une entreprise commune essentielle à notre vie.
Les organisateurs estiment que ce financement vital permettra, non seulement de protéger les enfants contre des maladies mortelles comme la polio, la diphtérie et la rougeole et de sauver jusqu'à 8 millions de vies, mais aussi de contribuer à la relance de l’économie mondiale après la pandémie de coronavirus.
Les experts de la santé soulignent que la vaccination de millions d'enfants contre d'autres maladies mortelles, protégera les systèmes de santé des pays les plus pauvres, afin qu'ils puissent faire face à la hausse des cas de coronavirus.
AMI