Le gouvernement mauritanien a enregistré une légère modification marquée par le départ du Ministre, Secrétaire Général de la présidence de la République, Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, par ailleurs premier Ministre d’août 2008 à janvier 2014, selon un décret présidentiel rendu public lundi.
Ainsi, Seydina Ali Ould Mohamed Khouna, ex ministre de l'équipement et des transports, devient Ministre, Secrétaire Général de la présidence de la République.
Mohamed Abdallahi Ould Oudaa, ex ministre de l’hydraulique de l’assainissement, hérite du poste de ministre de l’équipement et des transports.
La seule entrée, dans le cadre de ce mini-mouvement, est notée au sujet Yahya Ould Abd Daim, qui arrive aux commandes du ministère de l’hydraulique et de l’assainissement.
Le départ de Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, véritable homme du sérail, et souvent cité comme « le joker » du président Mohamed Ould Abdel Aziz, frappé par la limitation des mandats, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2019, suscite de nombreuses interrogations à Nouakchott.
Cet homme va-t-il prendre la direction de l’Union Pour la République (UPR) dans la perspective de la grosse bataille du référendum pour la révision constitutionnelle ? Ou aurait–il perdu définitivement la guerre sans merci que lui livre son successeur et ennemi Yahya Ould Hademine, après son refus d’accompagner ce dernier dans sa tournée à l’Est, la semaine dernière ?
source lecalame.info
Ainsi, Seydina Ali Ould Mohamed Khouna, ex ministre de l'équipement et des transports, devient Ministre, Secrétaire Général de la présidence de la République.
Mohamed Abdallahi Ould Oudaa, ex ministre de l’hydraulique de l’assainissement, hérite du poste de ministre de l’équipement et des transports.
La seule entrée, dans le cadre de ce mini-mouvement, est notée au sujet Yahya Ould Abd Daim, qui arrive aux commandes du ministère de l’hydraulique et de l’assainissement.
Le départ de Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, véritable homme du sérail, et souvent cité comme « le joker » du président Mohamed Ould Abdel Aziz, frappé par la limitation des mandats, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2019, suscite de nombreuses interrogations à Nouakchott.
Cet homme va-t-il prendre la direction de l’Union Pour la République (UPR) dans la perspective de la grosse bataille du référendum pour la révision constitutionnelle ? Ou aurait–il perdu définitivement la guerre sans merci que lui livre son successeur et ennemi Yahya Ould Hademine, après son refus d’accompagner ce dernier dans sa tournée à l’Est, la semaine dernière ?
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