La recrudescence du phénomène de vol de bétail suscite la colère des citoyens dans plusieurs quartiers de Nouakchott Nord et Sud et même ne cesse de faire parler d’elle. L’arrestation d’une bande de voleurs dirigée par un ex-soldat de la marine nationale, en 2015, par les policiers du commissariat de Riad 1, à la suite d’un vol de cinq moutons vendus à un boucher dans la même Moughataa, n’a pas mis fin à ce phénomène.
Le dimanche dernier, plusieurs personnes ont déclaré à notre rédaction avoir été victimes de vols répétés de bétail par une bande qui opére à bord d’un véhicule de type Mercedes 190 de couleur noire aux vitres teintées.
Selon ces personnes, les autorités doivent réagir contre ce phénomène avant qu’il ne tourne au drame. Des sanctions sévères doivent être infligées aux auteurs de ces actes dès leur arrestation, a déclaré l’une des victimes.
Un sous-officier de la marine qui a été victime d’un vol de bétail par le même gang a confié à notre reporter qu’il croyait que les services de la sécurité aller faire de l’arrestation de l’ex-marin auteur du vol de ses moutons et de son receleur une expérience dans leur combat pour davantage de sévérité dans la répression de ce type de crime.
« Il est inacceptable que ces prédateurs de l’élevage, qui font du vol de bétail une profession et causent la perte de nombreux propriétaires de têtes de bétail, s’en sortent toujours avec des peines de 2 à 3 mois au lieu des 5 à 10 ans prévus par la loi. Et nous interpellons les autorités sur la gravité de l’heure car les victimes sont à bout », a lancé dame qui a vu ses deux chèvres enlevées en plein jour devant son domicile par un groupe de trois jeunes gens à bord d’un véhicule.
Après cette dame (F.A), nous avons rencontré des femmes chefs de ménages à la recherche d’une dizaine de moutons dérobés par des jeunes enturbannés qui roulaient dans une voiture luxueuse. Et celles-ci de dire que ces jeunes cèdent leur magot selon leurs informations à des prix dérisoires à un jeune boucher qui a été arrêté lui aussi par différents commissariats de Nouakchott en 2013, 2014, 2015 et en 2016 avant d’être relâché.
Non loin d’elle (C.D) un homme qui continue toujours de chercher son petit troupeau camelins volés, il y a trois jours, depuis le parc situé devant sa maison au PK 11 à Riad de raconter:"si les autorités ne punissent ces bandes de malfaiteurs, nous allons nous organiser pour les traquer au péril de notre vie".
Par N.Soueidy
source tawary.com
Le dimanche dernier, plusieurs personnes ont déclaré à notre rédaction avoir été victimes de vols répétés de bétail par une bande qui opére à bord d’un véhicule de type Mercedes 190 de couleur noire aux vitres teintées.
Selon ces personnes, les autorités doivent réagir contre ce phénomène avant qu’il ne tourne au drame. Des sanctions sévères doivent être infligées aux auteurs de ces actes dès leur arrestation, a déclaré l’une des victimes.
Un sous-officier de la marine qui a été victime d’un vol de bétail par le même gang a confié à notre reporter qu’il croyait que les services de la sécurité aller faire de l’arrestation de l’ex-marin auteur du vol de ses moutons et de son receleur une expérience dans leur combat pour davantage de sévérité dans la répression de ce type de crime.
« Il est inacceptable que ces prédateurs de l’élevage, qui font du vol de bétail une profession et causent la perte de nombreux propriétaires de têtes de bétail, s’en sortent toujours avec des peines de 2 à 3 mois au lieu des 5 à 10 ans prévus par la loi. Et nous interpellons les autorités sur la gravité de l’heure car les victimes sont à bout », a lancé dame qui a vu ses deux chèvres enlevées en plein jour devant son domicile par un groupe de trois jeunes gens à bord d’un véhicule.
Après cette dame (F.A), nous avons rencontré des femmes chefs de ménages à la recherche d’une dizaine de moutons dérobés par des jeunes enturbannés qui roulaient dans une voiture luxueuse. Et celles-ci de dire que ces jeunes cèdent leur magot selon leurs informations à des prix dérisoires à un jeune boucher qui a été arrêté lui aussi par différents commissariats de Nouakchott en 2013, 2014, 2015 et en 2016 avant d’être relâché.
Non loin d’elle (C.D) un homme qui continue toujours de chercher son petit troupeau camelins volés, il y a trois jours, depuis le parc situé devant sa maison au PK 11 à Riad de raconter:"si les autorités ne punissent ces bandes de malfaiteurs, nous allons nous organiser pour les traquer au péril de notre vie".
Par N.Soueidy
source tawary.com