Pour sa dix-septième édition, le Festival Assalamalekum propulsé par Monza au hit des grands Festivals musicaux panafricains, rencontre actuellement une plein succès, avec des moments intenses où le talent des musiciens et des rappeurs du continent rythme les nuits mauritaniennes. Au delà du spectacle et du plaisir partagé, c’est un moment de mobilisation en faveur de la souveraineté culturelle d’une Afrique unie et réconciliée avec elle-même.
C’est le message que délivrait, dès l’ouverture du Festival, des partenaires historiques tels que Didier Awadi, le pape du Rap sénégalais, dont l’inspiration sans cesse renouvelée fait une des références de la culture panafricaine, et plus encore la présence d’une très forte délégation d’artistes algériens, le Festival Assalamalekum 2024 ayant choisi de mettre l’Algérie à l’honneur. Un symbole d’autant plus marquant en cette année où la Mauritanie exerce la Présidence de l’Union Africaine, et où l’Algérie vient d’être élue au Comité intergouvernemental du Patrimoine Immatériel de l’Humanité, en pleine Conférence générale de l’UNESCO.
Un message avant tout artistique, jetant des ponts culturels vibrants en décibels entre deux pays frères, la Mauritanie et l’Algérie, riches d’une histoire commune et bien décidés à écrire ensemble l’avenir.
Le grand concert « 1,2,3, Viva l’Algérie » remporta à Nouakchott un plein succès en cette première semaine de Festival, marquant avec ferveur la pertinence de ce choix artistique : le Stade Olympique de Nouakchott a accueilli le 11 juin 2024, un mega-concert où se retrouvaient les artistes algériens et mauritaniens de haut-vol, devant des dizaines de milliers de fans des musiques urbaines : à l’affiche, DJ Moulaye, DJ Palermo et Abdou Salam d’Algérie, DJ Dhaker et Authentique Mauritanie, Bilou XIV du Sénégal. Pari réussi pour une programmation hors du commun, projetant sous les étoiles du ciel mauritanien des décibels aussi déchaînés que fraternels.
DJ Moulaye, l’un des artistes algériens présents cette année à Nouakchott
Pourtant l’enjeu d’Assalamalekum Festival dépasse année après année ces moments de communion à la fois populaire et artistique : par les ateliers organisés, par les rencontres et les dialogues suscités, c’est aussi un moment de mobilisation pour la production musicale du continent, qui prouve à la fois sa vitalité et sa capacité à se développer à l’international. La force d’entraînement des artistes engage une démarche de production et de diffusion qui donne à la culture africaine une capacité de projection par delà les frontières et au-delà des mers.
Djalil Palermo, un autre représentant de la jeune scène algérienne
C’est tout le sens du travail inlassable que réalise Monza pour donner plus de moyens aux créateurs du continent africain, que ce soit via les accords conclus sous l’égide de l’UNESCO ou par les partenariats négociés avec des bailleurs de fonds internationaux tels l’AFD. Car la musique est aussi une industrie culturelle dynamique capable de contribuer au développement d’une Afrique souveraine, consciente et féconde ! Longue vie au Festival Assalamalekum, qui se poursuit cette année jusqu’au 21 juin, date du Solstice d’été, célébrée mondialement comme le jour de la Fête de la Musique !
Crédit photos Mehdi Sadeddine DZ
afrik.com
C’est le message que délivrait, dès l’ouverture du Festival, des partenaires historiques tels que Didier Awadi, le pape du Rap sénégalais, dont l’inspiration sans cesse renouvelée fait une des références de la culture panafricaine, et plus encore la présence d’une très forte délégation d’artistes algériens, le Festival Assalamalekum 2024 ayant choisi de mettre l’Algérie à l’honneur. Un symbole d’autant plus marquant en cette année où la Mauritanie exerce la Présidence de l’Union Africaine, et où l’Algérie vient d’être élue au Comité intergouvernemental du Patrimoine Immatériel de l’Humanité, en pleine Conférence générale de l’UNESCO.
Un message avant tout artistique, jetant des ponts culturels vibrants en décibels entre deux pays frères, la Mauritanie et l’Algérie, riches d’une histoire commune et bien décidés à écrire ensemble l’avenir.
Le grand concert « 1,2,3, Viva l’Algérie » remporta à Nouakchott un plein succès en cette première semaine de Festival, marquant avec ferveur la pertinence de ce choix artistique : le Stade Olympique de Nouakchott a accueilli le 11 juin 2024, un mega-concert où se retrouvaient les artistes algériens et mauritaniens de haut-vol, devant des dizaines de milliers de fans des musiques urbaines : à l’affiche, DJ Moulaye, DJ Palermo et Abdou Salam d’Algérie, DJ Dhaker et Authentique Mauritanie, Bilou XIV du Sénégal. Pari réussi pour une programmation hors du commun, projetant sous les étoiles du ciel mauritanien des décibels aussi déchaînés que fraternels.
DJ Moulaye, l’un des artistes algériens présents cette année à Nouakchott
Pourtant l’enjeu d’Assalamalekum Festival dépasse année après année ces moments de communion à la fois populaire et artistique : par les ateliers organisés, par les rencontres et les dialogues suscités, c’est aussi un moment de mobilisation pour la production musicale du continent, qui prouve à la fois sa vitalité et sa capacité à se développer à l’international. La force d’entraînement des artistes engage une démarche de production et de diffusion qui donne à la culture africaine une capacité de projection par delà les frontières et au-delà des mers.
Djalil Palermo, un autre représentant de la jeune scène algérienne
C’est tout le sens du travail inlassable que réalise Monza pour donner plus de moyens aux créateurs du continent africain, que ce soit via les accords conclus sous l’égide de l’UNESCO ou par les partenariats négociés avec des bailleurs de fonds internationaux tels l’AFD. Car la musique est aussi une industrie culturelle dynamique capable de contribuer au développement d’une Afrique souveraine, consciente et féconde ! Longue vie au Festival Assalamalekum, qui se poursuit cette année jusqu’au 21 juin, date du Solstice d’été, célébrée mondialement comme le jour de la Fête de la Musique !
Crédit photos Mehdi Sadeddine DZ
afrik.com