Lors d’une marche organisée dimanche, l’opposition mauritanienne brandissait des pancartes réclamant un changement et la fin du régime en place en Mauritanie, accusé de corruption.
Trois manifestations ont sillonné les artères de la capitale avant de se rencontrer au carrefour Madrid et se diriger vers la place Ibn Abass où devait se tenir le meeting.
En marge de ces manifestations, le secrétaire général de l’union des forces de progrès, Mohamed El Moustapha O. Bedreddine a déclaré que ces manifestations étaient le point de départ effectif pour une campagne de l’opposition destinée à chasser le président Mohamed O. Abdel Aziz du pouvoir et récupérer les richesses du pays qui ont été spoliés.
Dans une déclaration faite à Sahara Media, O. Bedreddine a dit que ces manifestations veulent par la même occasion réinstaurer l’indépendance du pays et la démocratie, la libération des détenus et les citoyens sous contrôle judiciaire.
Les libertés étouffées
L’artiste mauritanienne et sénatrice, Malouma mint El Meidah a exprimé son inquiétude pour les restrictions sans précédent des libertés dans le pays.
Dans une déclaration faite à Sahara Media, mint El Meidah a dit que la manifestation de l’opposition est destinée à dénoncer les atteintes aux libertés la fermeture de tous les moyens d’expression qui permettaient aux citoyens de s’exprimer.
Elle a ajouté que la Mauritanie connaît un niveau sans précédent de la restriction des libertés, des poursuites contre les citoyens dont journalistes, des parlementaires et des militants des droits de l’homme à cause de leurs opinions personnelles et politiques.
Pour la sénatrice ces poursuites sont arrivées à une étape extrêmement dangereuse, qui a fait que chacun s’inquiète désormais en l’absence d’un quelconque espoir.
Situation grave
Pour sa part le président du parti Hatem, Saleh O. Hanena, dans une déclaration à Sahara Media, a dit que la manifestation a traduit le rejet par le peuple mauritanien de la manière dont est géré le pays aujourd’hui, son refus de la corruption, la gabegie et le détournement des richesses nationales.
O. Hanena a ajouté que cette manifestation a démontré que ceux qui disaient que l’opposition mauritanienne était une opposition virtuelle s’étaient lourdement trompés, car le peuple mauritanien est sorti aujourd’hui pour s’exprimer et afficher ses ambitions et sa volonté de changement.
Pour le secrétaire général du parti INAD, membre du groupe d’opposition des « 8 », Sidi O. El Kory, l’opposition estime que le régime va dans la mauvaise direction, car il agit en dehors de la constitution et en dehors de la légalité.
O. El Kory a ajouté que le peuple mauritanien est sorti pour dire d’une seule voix qu’il rejette cette navigation à contre courant du régime dangereuse pour l’avenir du pays.
source saharamedias.net
Trois manifestations ont sillonné les artères de la capitale avant de se rencontrer au carrefour Madrid et se diriger vers la place Ibn Abass où devait se tenir le meeting.
En marge de ces manifestations, le secrétaire général de l’union des forces de progrès, Mohamed El Moustapha O. Bedreddine a déclaré que ces manifestations étaient le point de départ effectif pour une campagne de l’opposition destinée à chasser le président Mohamed O. Abdel Aziz du pouvoir et récupérer les richesses du pays qui ont été spoliés.
Dans une déclaration faite à Sahara Media, O. Bedreddine a dit que ces manifestations veulent par la même occasion réinstaurer l’indépendance du pays et la démocratie, la libération des détenus et les citoyens sous contrôle judiciaire.
Les libertés étouffées
L’artiste mauritanienne et sénatrice, Malouma mint El Meidah a exprimé son inquiétude pour les restrictions sans précédent des libertés dans le pays.
Dans une déclaration faite à Sahara Media, mint El Meidah a dit que la manifestation de l’opposition est destinée à dénoncer les atteintes aux libertés la fermeture de tous les moyens d’expression qui permettaient aux citoyens de s’exprimer.
Elle a ajouté que la Mauritanie connaît un niveau sans précédent de la restriction des libertés, des poursuites contre les citoyens dont journalistes, des parlementaires et des militants des droits de l’homme à cause de leurs opinions personnelles et politiques.
Pour la sénatrice ces poursuites sont arrivées à une étape extrêmement dangereuse, qui a fait que chacun s’inquiète désormais en l’absence d’un quelconque espoir.
Situation grave
Pour sa part le président du parti Hatem, Saleh O. Hanena, dans une déclaration à Sahara Media, a dit que la manifestation a traduit le rejet par le peuple mauritanien de la manière dont est géré le pays aujourd’hui, son refus de la corruption, la gabegie et le détournement des richesses nationales.
O. Hanena a ajouté que cette manifestation a démontré que ceux qui disaient que l’opposition mauritanienne était une opposition virtuelle s’étaient lourdement trompés, car le peuple mauritanien est sorti aujourd’hui pour s’exprimer et afficher ses ambitions et sa volonté de changement.
Pour le secrétaire général du parti INAD, membre du groupe d’opposition des « 8 », Sidi O. El Kory, l’opposition estime que le régime va dans la mauvaise direction, car il agit en dehors de la constitution et en dehors de la légalité.
O. El Kory a ajouté que le peuple mauritanien est sorti pour dire d’une seule voix qu’il rejette cette navigation à contre courant du régime dangereuse pour l’avenir du pays.
source saharamedias.net