Le ministre de la culture et de l’artisanat, porte- parole officiel du gouvernement Dr Mohamed Lemine Ould Cheikh et le ministre de l’intérieur et de la décentralisation, M. Ahmedou Ould Abdallah ont commenté lundi après- midi les résultats du conseil des ministres tenu quelques instants plus tôt.
Le ministre de la culture a indiqué que le conseil a examiné un certain nombre de projets de lois, de décrets et de communications dont le projet de décret convoquant le collège électoral pour le référendum du 15 juillet 2017 et le projet de décret qui fixe la grille d’avancement des officiers du Groupement Général de la Sécurité Routière (GGSR) et ses conditions d’âge.
Le ministre a expliqué dans sa réponse à une question sur la grève des prisonniers salafistes que ces derniers sont l’objet de condamnation à mort et que la vie est un des droits les plus élémentaires qu’il convient de préserver pour un individu. Dès lors que la justice a retiré ce droit pour cet individu, la réclamation d’autres droits, revendications est sans objet.
Répondant à une autre question sur la date du référendum constitutionnel, la convocation du collège électoral et le dialogue, le ministre a ajouté que le dialogue comme l’a dit le Président de la République a pris fin et ses résultats seront appliqués conformément au calendrier prévu, relevant que la porte du dialogue demeure toujours ouverte pour l’avenir et n’a du reste jamais été fermée.
A son tour, le ministre de l’intérieur a dans son explication du contenu du projet de décret convoquant le collège électoral pour le référendum du 15 juillet 2017 que l’article 09 du décret 46-2017 qui fixe les procédures de l’opération électorale référendaire spécifie que le collège électoral sera convoqué 45 jours avant le scrutin. C’est dans ce cadre qu’intervient ce décret qui convoque le collège électoral le 15 juillet 2017 pour voter le projet de loi constitutionnelle portant révision des articles 8 de la Constitution du 2 juillet 1991 et le projet de loi constitutionnelle référendaire portant révision de certaines dispositions de la Constitution du 20 juillet 1991.
« Le projet de décret a abordé plusieurs questions dont le scrutin, qui commence à 7h du matin et se termine à 19h en début de soirée », a-t-il ajouté, affirmant que la campagne électorale débute le 30 juin à 00h et prend fin le 14 juillet, à 00h.
« Les forces armées et de sécurité voteront le 14 juillet, une journée avant le scrutin, du fait que ce sont elles qui sécuriseront le déroulement du scrutin », a-t-il dit.
A propos de projet de décret fixant la grille d’avancement des officiers du Regroupement Général de la Sécurité Routière, le ministre a rappelé la création récente de ce corps, suivant la loi n° 32-2010, soulignant le décret n° 149-2011, qui détermine l’organisation spécifique de ce regroupement, du point de vue du recrutement et des avancements de ses membres.
« La loi n° 29 du décret de 2011, fixant cette grille d'avancement n'a pas donné de détails, ce que ce décret est venu combler pour ce corps sécuritaire composé d’agents et de sous-officiers qui avancent dans l’ancienneté, mais dont les services relèvent d’officiers appelés d’autres secteurs, affirmant que ce cadre juridique ne diffère pas des avancements au sein des forces armées et de sécurité.
source AMI
Le ministre de la culture a indiqué que le conseil a examiné un certain nombre de projets de lois, de décrets et de communications dont le projet de décret convoquant le collège électoral pour le référendum du 15 juillet 2017 et le projet de décret qui fixe la grille d’avancement des officiers du Groupement Général de la Sécurité Routière (GGSR) et ses conditions d’âge.
Le ministre a expliqué dans sa réponse à une question sur la grève des prisonniers salafistes que ces derniers sont l’objet de condamnation à mort et que la vie est un des droits les plus élémentaires qu’il convient de préserver pour un individu. Dès lors que la justice a retiré ce droit pour cet individu, la réclamation d’autres droits, revendications est sans objet.
Répondant à une autre question sur la date du référendum constitutionnel, la convocation du collège électoral et le dialogue, le ministre a ajouté que le dialogue comme l’a dit le Président de la République a pris fin et ses résultats seront appliqués conformément au calendrier prévu, relevant que la porte du dialogue demeure toujours ouverte pour l’avenir et n’a du reste jamais été fermée.
A son tour, le ministre de l’intérieur a dans son explication du contenu du projet de décret convoquant le collège électoral pour le référendum du 15 juillet 2017 que l’article 09 du décret 46-2017 qui fixe les procédures de l’opération électorale référendaire spécifie que le collège électoral sera convoqué 45 jours avant le scrutin. C’est dans ce cadre qu’intervient ce décret qui convoque le collège électoral le 15 juillet 2017 pour voter le projet de loi constitutionnelle portant révision des articles 8 de la Constitution du 2 juillet 1991 et le projet de loi constitutionnelle référendaire portant révision de certaines dispositions de la Constitution du 20 juillet 1991.
« Le projet de décret a abordé plusieurs questions dont le scrutin, qui commence à 7h du matin et se termine à 19h en début de soirée », a-t-il ajouté, affirmant que la campagne électorale débute le 30 juin à 00h et prend fin le 14 juillet, à 00h.
« Les forces armées et de sécurité voteront le 14 juillet, une journée avant le scrutin, du fait que ce sont elles qui sécuriseront le déroulement du scrutin », a-t-il dit.
A propos de projet de décret fixant la grille d’avancement des officiers du Regroupement Général de la Sécurité Routière, le ministre a rappelé la création récente de ce corps, suivant la loi n° 32-2010, soulignant le décret n° 149-2011, qui détermine l’organisation spécifique de ce regroupement, du point de vue du recrutement et des avancements de ses membres.
« La loi n° 29 du décret de 2011, fixant cette grille d'avancement n'a pas donné de détails, ce que ce décret est venu combler pour ce corps sécuritaire composé d’agents et de sous-officiers qui avancent dans l’ancienneté, mais dont les services relèvent d’officiers appelés d’autres secteurs, affirmant que ce cadre juridique ne diffère pas des avancements au sein des forces armées et de sécurité.
source AMI