Le ministre de la culture et de l’artisanat, porte- parole du gouvernement, Dr. Mohamed Lemine Ould Cheikh et le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Dr. Sidi Ould Salem ont commenté jeudi après- midi à Nouakchott les résultats du conseil des ministres tenu quelques heures plus tôt.
Le ministre de la culture a souligné, dans son intervention, que le conseil a examiné et approuvé un certain nombre de projet de décrets et de communications dont le projet de décret créant l’autorité mauritanienne d'Assurance Qualité de l’enseignement supérieur et qui fixe les règles de son organisation et de son fonctionnement.
Le ministre a ajouté, en réponse à une question sur les causes de l’arrestation du sénateur Mohamed Ahmed Ghadde et celles à l’origine de son élargissement,que cette affaire est entre les mains de la justice et que le Parquet général a rendu public un communiqué dans lequel il a affirmé que toutes les procédures suivies depuis son arrestation jusqu’à la suspension de celle-ci, suite à la demande du Sénat, l’ont été conformément à la loi et n’ont été entachées d'aucun abus de pouvoir ni d'aucune complaisance mais étaient marquées par l’impartialité et le professionnalisme.
Il a ajouté que les choses sont claires et les articles auxquels il est fait référence sont clairs et celui qui examine les registres des tribunaux va se rendre compte que ce sont les procédures qui ont toujours été suivies lorsqu’il y a homicide involontaire. Toutefois, il devenu d’usage que lorsqu’un événement a lieu, il est généralement suivi par beaucoup de tintamarre politique souvent médiatisé. Et comme c’est souvent fondé sur des contre- vérités et des faits contraires à la réalité, il passe comme un mirage et disparaît.
Au sujet de l’existence de riz "plastifié" dont les médias se sont faits l’écho, une commission ministérielle a été constituée et une autre, technique, celle-là en dépendant a également vu le jour formée de représentants des départements concernés et est parvenue à des informations sûres et précises selon lesquelles il n’y a pas de riz « zenkelouni » ou autre qui comporte des grains en plastique et que tout le riz existant sur le marché mauritanien est propre à la consommation et répond aux critères de qualité requis ainsi que l’ont établi les enquêtes et analyses entreprises.
Il a indiqué qu’il y a un pays voisin qui a constaté l’entrée de 20 mille tonnes environ de riz impropre à la consommation, ce qui requiert de notre part, en tant que pays voisin de faire attention afin que ce riz ne vienne pas chez nous. En tout état de cause, les autorités ont pris les mesures pour que cette denrée ne traverse pas les frontières. Il appartient également aux citoyens de faire preuve de vigilance de leur côté.
A son tour, le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a, en expliquant le contenu du projet de décret portant création de l’autorité mauritanienne d'Assurance Qualité de l’enseignement supérieur et qui fixe les règles de son organisation et de son fonctionnement a précisé que ce mécanisme existe depuis trente ans dans plusieurs pays du monde en raison de la spécificité de l’enseignement supérieur par rapport aux autres secteurs de l’éducation où il y a des inspections de programmes et de performances contrairement à l’enseignement supérieur où elles n’existent pas ; mais il y a l'Assurance de la qualité et des bonnes pratiques.
Il a noté par ailleurs que ce mécanisme comporte soit la création d’une institution ou alors d’une école où il y a un système d’enseignement fondé sur l’évaluation des performances des programmes et de leur application comme c’est inscrit dans la loi : évaluation des performances des professeurs et celles des étudiants etc.
source AMI
Le ministre de la culture a souligné, dans son intervention, que le conseil a examiné et approuvé un certain nombre de projet de décrets et de communications dont le projet de décret créant l’autorité mauritanienne d'Assurance Qualité de l’enseignement supérieur et qui fixe les règles de son organisation et de son fonctionnement.
Le ministre a ajouté, en réponse à une question sur les causes de l’arrestation du sénateur Mohamed Ahmed Ghadde et celles à l’origine de son élargissement,que cette affaire est entre les mains de la justice et que le Parquet général a rendu public un communiqué dans lequel il a affirmé que toutes les procédures suivies depuis son arrestation jusqu’à la suspension de celle-ci, suite à la demande du Sénat, l’ont été conformément à la loi et n’ont été entachées d'aucun abus de pouvoir ni d'aucune complaisance mais étaient marquées par l’impartialité et le professionnalisme.
Il a ajouté que les choses sont claires et les articles auxquels il est fait référence sont clairs et celui qui examine les registres des tribunaux va se rendre compte que ce sont les procédures qui ont toujours été suivies lorsqu’il y a homicide involontaire. Toutefois, il devenu d’usage que lorsqu’un événement a lieu, il est généralement suivi par beaucoup de tintamarre politique souvent médiatisé. Et comme c’est souvent fondé sur des contre- vérités et des faits contraires à la réalité, il passe comme un mirage et disparaît.
Au sujet de l’existence de riz "plastifié" dont les médias se sont faits l’écho, une commission ministérielle a été constituée et une autre, technique, celle-là en dépendant a également vu le jour formée de représentants des départements concernés et est parvenue à des informations sûres et précises selon lesquelles il n’y a pas de riz « zenkelouni » ou autre qui comporte des grains en plastique et que tout le riz existant sur le marché mauritanien est propre à la consommation et répond aux critères de qualité requis ainsi que l’ont établi les enquêtes et analyses entreprises.
Il a indiqué qu’il y a un pays voisin qui a constaté l’entrée de 20 mille tonnes environ de riz impropre à la consommation, ce qui requiert de notre part, en tant que pays voisin de faire attention afin que ce riz ne vienne pas chez nous. En tout état de cause, les autorités ont pris les mesures pour que cette denrée ne traverse pas les frontières. Il appartient également aux citoyens de faire preuve de vigilance de leur côté.
A son tour, le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a, en expliquant le contenu du projet de décret portant création de l’autorité mauritanienne d'Assurance Qualité de l’enseignement supérieur et qui fixe les règles de son organisation et de son fonctionnement a précisé que ce mécanisme existe depuis trente ans dans plusieurs pays du monde en raison de la spécificité de l’enseignement supérieur par rapport aux autres secteurs de l’éducation où il y a des inspections de programmes et de performances contrairement à l’enseignement supérieur où elles n’existent pas ; mais il y a l'Assurance de la qualité et des bonnes pratiques.
Il a noté par ailleurs que ce mécanisme comporte soit la création d’une institution ou alors d’une école où il y a un système d’enseignement fondé sur l’évaluation des performances des programmes et de leur application comme c’est inscrit dans la loi : évaluation des performances des professeurs et celles des étudiants etc.
source AMI