Le président en exercice du Forum National pour la Démocratie et l’Unité (FNDU-vaste rassemblement de l’opposition), Mohamed Ould Maouloud, également leader de l’Union des Forces de Progrès (UFP), a annoncé que le Groupe des 8 (G8), dont la coalition est membre, est favorable à une participation aux prochaines échéances électorales prévues en Mauritanie, dans le cadre d’un processus concerté, vendredi au cours d’une conférence de presse.
Le G8 est un regroupement de partis politiques, diverses organisations et personnalités indépendantes mis sur pied en juin 2017, en vue de faire échec à un projet de révision constitutionnelle qui a été adopté par voie référendaire début août dernier.
Le G8 considère qu’un processus électoral concerté permettrait au pays de sortir de la crise dans laquelle il se débat depuis plusieurs années.
En 2018 et 2019, la Mauritanie sera le théâtre d’une série d’élections: des législatives, régionales, municipales et une présidentielle.
Le président en exercice du FNDU a cependant appelé les autorités « à arrêter les opérations d’implantation de l’Union Pour la République (UPR-principal parti de la majorité), qui mobilisent toute l’administration publique au plus haut niveau, et qui se traduisent par des achats massifs de pièces d’identité des citoyens, un détournement de consciences et une corruption à grande échelle.
Des pratiques tendant à faire accréditer dans l’esprit des citoyens que la politique se réduit à la manipulation, à la corruption et aux mensonges. Une vision de nature à compromettre l’avenir de la Mauritanie ».
Mohamed Ould Maouloud a, par la suite, abordé la question de la limitation des mandats du président de la République pour mettre en garde « tous qui ceux qui parlent de troisième mandat, car dans le cas de la Mauritanie, cette revendication relève d’un crime d’atteinte à l’ordre constitutionnel. Ici, contrairement à plusieurs pays africains, la loi fondamentale protège et verrouille les dispositions relatives à la limitation des mandats et au principe de l’alternance, qui ne peuvent faire l’objet de révision ».
source lecalame.info
Le G8 est un regroupement de partis politiques, diverses organisations et personnalités indépendantes mis sur pied en juin 2017, en vue de faire échec à un projet de révision constitutionnelle qui a été adopté par voie référendaire début août dernier.
Le G8 considère qu’un processus électoral concerté permettrait au pays de sortir de la crise dans laquelle il se débat depuis plusieurs années.
En 2018 et 2019, la Mauritanie sera le théâtre d’une série d’élections: des législatives, régionales, municipales et une présidentielle.
Le président en exercice du FNDU a cependant appelé les autorités « à arrêter les opérations d’implantation de l’Union Pour la République (UPR-principal parti de la majorité), qui mobilisent toute l’administration publique au plus haut niveau, et qui se traduisent par des achats massifs de pièces d’identité des citoyens, un détournement de consciences et une corruption à grande échelle.
Des pratiques tendant à faire accréditer dans l’esprit des citoyens que la politique se réduit à la manipulation, à la corruption et aux mensonges. Une vision de nature à compromettre l’avenir de la Mauritanie ».
Mohamed Ould Maouloud a, par la suite, abordé la question de la limitation des mandats du président de la République pour mettre en garde « tous qui ceux qui parlent de troisième mandat, car dans le cas de la Mauritanie, cette revendication relève d’un crime d’atteinte à l’ordre constitutionnel. Ici, contrairement à plusieurs pays africains, la loi fondamentale protège et verrouille les dispositions relatives à la limitation des mandats et au principe de l’alternance, qui ne peuvent faire l’objet de révision ».
source lecalame.info