Nouakchott s’apprête à vibrer au rythme de la 17ème édition du Festival Assalamalekum, dont le lancement officiel a lieu aujourd’hui en Mauritanie. En prélude à cet événement culturel majeur dont l’Algérie est le partenaire d’honneur, les organisateurs ont tenu une conférence de presse hier à la mairie de Tevrak Zeina, l’un des partenaires du festival.
Kane Elimane, alias Monza, président du festival, a dirigé les débats, entouré de plusieurs invités de marque. Parmi eux, Didier Awadi, célèbre musicien sénégalais, Farid Merabet, directeur de Longitude Communication, et Baraka Merzaya, influenceuse algérienne et ambassadrice de bonne volonté de l’Union Européenne en Algérie.
Kane Elimane, alias Monza, président du festival, a dirigé les débats, entouré de plusieurs invités de marque. Parmi eux, Didier Awadi, célèbre musicien sénégalais, Farid Merabet, directeur de Longitude Communication, et Baraka Merzaya, influenceuse algérienne et ambassadrice de bonne volonté de l’Union Européenne en Algérie.
Une collaboration culturelle entre la Mauritanie et l’Algérie
Organisé par Assalamalekoum Cultures en collaboration avec ZAZA Productions, et soutenu par le Ministère de la Culture, de la Jeunesse, des Sports et de la Relation avec le Parlement, ainsi que les mairies de Tevragh Zeina et de Maghama, cette édition du festival met l’Algérie à l’honneur. Cette invitation spéciale souligne l’importance de la coopération culturelle entre la Mauritanie et l’Algérie, en particulier dans les domaines de la jeunesse, de la culture et du sport. Et plus globalement précise Monza, c’est une réappropriation de l’histoire africaine. Et Farid Merabet met en avant l’occasion de casser les frontières et de prôner la solidarité entre africains.
Un Festival au service de la diversité et du dialogue
Le festival Assalamalekoum, depuis sa création en 2008, s’est imposé comme un rendez-vous incontournable pour la jeunesse mauritanienne et africaine. il promeut la diversité culturelle et le dialogue interculturel à travers la musique, la danse, le théâtre, le cinéma et d’autres formes artistiques. Chaque année, il attire en moyenne 20 000 personnes, rassemblant artistes et public autour de la valorisation du patrimoine artistique mauritanien et africain.
Monza a souligné que cette édition, placée sous le signe de la solidarité et de la fraternité africaines, se distinguera par son déplacement dans la localité de Maghama, son fief. Elle mettra également en exergue le mandat du président mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani à la tête de l’Union Africaine, marquant ainsi l’engagement du festival à valoriser la création artistique, la formation, l’entrepreneuriat et l’ouverture vers le monde rural.
Organisé par Assalamalekoum Cultures en collaboration avec ZAZA Productions, et soutenu par le Ministère de la Culture, de la Jeunesse, des Sports et de la Relation avec le Parlement, ainsi que les mairies de Tevragh Zeina et de Maghama, cette édition du festival met l’Algérie à l’honneur. Cette invitation spéciale souligne l’importance de la coopération culturelle entre la Mauritanie et l’Algérie, en particulier dans les domaines de la jeunesse, de la culture et du sport. Et plus globalement précise Monza, c’est une réappropriation de l’histoire africaine. Et Farid Merabet met en avant l’occasion de casser les frontières et de prôner la solidarité entre africains.
Un Festival au service de la diversité et du dialogue
Le festival Assalamalekoum, depuis sa création en 2008, s’est imposé comme un rendez-vous incontournable pour la jeunesse mauritanienne et africaine. il promeut la diversité culturelle et le dialogue interculturel à travers la musique, la danse, le théâtre, le cinéma et d’autres formes artistiques. Chaque année, il attire en moyenne 20 000 personnes, rassemblant artistes et public autour de la valorisation du patrimoine artistique mauritanien et africain.
Monza a souligné que cette édition, placée sous le signe de la solidarité et de la fraternité africaines, se distinguera par son déplacement dans la localité de Maghama, son fief. Elle mettra également en exergue le mandat du président mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani à la tête de l’Union Africaine, marquant ainsi l’engagement du festival à valoriser la création artistique, la formation, l’entrepreneuriat et l’ouverture vers le monde rural.
Une première pour l’échange interculturel Algéro-Mauritanien
Farid Merabet, représentant de Longitude Communication, a mis en lumière les similitudes entre les cultures algérienne et mauritanienne, soulignant que la participation de l’Algérie constitue une belle opération d’échange interculturel entre les deux pays. Une délégation de 35 artistes algériens, dirigée par le responsable de l’Office National de la Culture et de l’Information (ONCI), participera à cet événement, prônant la solidarité entre Africains.
Didier Awadi, icône du hip-hop sénégalais, a exprimé son enthousiasme pour le festival, le qualifiant de moment privilégié pour l’exercice du panafricanisme. Il profitera de l’occasion pour présenter son dernier court métrage « Quand on refuse on dit non », qui sera projeté mercredi. Ce film, qui aborde la problématique de la souveraineté, promet de susciter des réflexions profondes parmi les spectateurs.
Monza a conclu en remerciant les autorités mauritaniennes pour leur soutien moral et organisationnel. Il a exprimé son souhait que, par la culture, l’Afrique dépasse le registre de la victimisation et affirme pleinement ses valeurs, permettant ainsi de profiter des retombées de l’économie de la culture.
La 17ème édition du Festival Assalamalekum s’annonce donc riche en événements et en échanges culturels, avec une programmation variée incluant des concerts, des expositions, des résidences de création et des panels de discussion, réunissant plus de 45 artistes et 20 000 participants.
afrik.com
Didier Awadi, icône du hip-hop sénégalais, a exprimé son enthousiasme pour le festival, le qualifiant de moment privilégié pour l’exercice du panafricanisme. Il profitera de l’occasion pour présenter son dernier court métrage « Quand on refuse on dit non », qui sera projeté mercredi. Ce film, qui aborde la problématique de la souveraineté, promet de susciter des réflexions profondes parmi les spectateurs.
Monza a conclu en remerciant les autorités mauritaniennes pour leur soutien moral et organisationnel. Il a exprimé son souhait que, par la culture, l’Afrique dépasse le registre de la victimisation et affirme pleinement ses valeurs, permettant ainsi de profiter des retombées de l’économie de la culture.
La 17ème édition du Festival Assalamalekum s’annonce donc riche en événements et en échanges culturels, avec une programmation variée incluant des concerts, des expositions, des résidences de création et des panels de discussion, réunissant plus de 45 artistes et 20 000 participants.
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