La ministre déléguée auprès du ministre des affaires étrangères et de la coopération, chargée des affaires maghrébines, africaines et des mauritaniens de l’étranger, Mme Khadijetou M’Bareck Fall, qui représente notre pays au niveau du dialogue international sur l’immigration organisé par l’organisation internationale de la migration (OIM) a fait une intervention dans le cadre de l’atelier de travail préparatoire de la charte internationale sur la migration qui a démarré hier dans le Palais des nations à Genève.
La ministre a passé en revue mardi à Genève, devant le Groupe de Haut niveau sur la protection et l’autonomisation des migrants, l’expérience de la Mauritanie en matière de gestion de la migration. Elle a jeté la lumière sur les efforts déployés par le gouvernement au cours des dernières années pour atténuer les conditions de précarité des migrants dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie nationale de gestion de la migration par les pouvoirs publics.
La ministre a précisé que « la Mauritanie partage l’avis qui dit que tout gouvernement, quelque soient les moyens disponibles, ne peut pas seul faire face de manière satisfaisante à la problématique de la migration dans toute sa complexité », soulignant que la coopération internationale et les partenariats avec tous les acteurs y compris les organisations internationales et le secteur privé ainsi que la société civile locale sont les seuls aptes à garantir une action efficiente dans le traitement et la gestion des questions de la migration.
La ministre a présenté un certain nombre de recommandations importantes et exhorté les participants à poursuivre et approfondir le dialogue multipartite pour développer les réponses appropriées aux plans mondial, régional et national afin de d’aider les pays exposés au phénomène à renforcer leurs capacités dans le domaine de la gestion de la migration.
L’atelier a connu la participation, outre Mme la ministre, des ambassadeurs Ahemdy Ould Hakki, directeur des mauritaniens de l’étranger et des affaires consulaires, Mohamed Saleck Ould Ahmed Banemou, directeur de la communication et de la documentation en plus de SEM. Harouna Traoré, chargé d’affaire de la mission mauritanienne à Genève.
source AMI
La ministre a passé en revue mardi à Genève, devant le Groupe de Haut niveau sur la protection et l’autonomisation des migrants, l’expérience de la Mauritanie en matière de gestion de la migration. Elle a jeté la lumière sur les efforts déployés par le gouvernement au cours des dernières années pour atténuer les conditions de précarité des migrants dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie nationale de gestion de la migration par les pouvoirs publics.
La ministre a précisé que « la Mauritanie partage l’avis qui dit que tout gouvernement, quelque soient les moyens disponibles, ne peut pas seul faire face de manière satisfaisante à la problématique de la migration dans toute sa complexité », soulignant que la coopération internationale et les partenariats avec tous les acteurs y compris les organisations internationales et le secteur privé ainsi que la société civile locale sont les seuls aptes à garantir une action efficiente dans le traitement et la gestion des questions de la migration.
La ministre a présenté un certain nombre de recommandations importantes et exhorté les participants à poursuivre et approfondir le dialogue multipartite pour développer les réponses appropriées aux plans mondial, régional et national afin de d’aider les pays exposés au phénomène à renforcer leurs capacités dans le domaine de la gestion de la migration.
L’atelier a connu la participation, outre Mme la ministre, des ambassadeurs Ahemdy Ould Hakki, directeur des mauritaniens de l’étranger et des affaires consulaires, Mohamed Saleck Ould Ahmed Banemou, directeur de la communication et de la documentation en plus de SEM. Harouna Traoré, chargé d’affaire de la mission mauritanienne à Genève.
source AMI