La ministre de l'agriculture assiste à une réunion des Ministre arabes chargés du secteur Agricole
La ministre de l'agriculture, Mme Lemina Mint Kotob Ould Moma a assisté, mercredi, en marge de la Conférence bisannuelle de l'Organisation de la FAO tenue à Rome du 3 au 8 Juillet 2017, à une réunion regroupant les Ministres de l’Agriculture des pays arabes, le Secrétaire Général de la ligue arabe, le Directeur Général de l’Organisation Arabe pour le Développement Agricole et le Directeur Généal de la FAO.
Cette réunion a pour but de chercher des solutions innovantes afin de lutter contre les pénuries d'eau face au changement climatique au niveau de la région du Proche-Orient et de l’Afrique du Nord.
Au cours de cette réunion, Madame la Ministre de a présenté l’expérience de la Mauritanie et notamment les efforts engagés par les pouvoirs publics dans le domaine de la gestion de nos ressources hydriques.
En effet et malgré le caractère désertique de notre pays, la Ministre a mis en exergue la mise en œuvre, par le gouvernement, des grands projets d’alimentation des populations en eau potable notamment l’alimentation de la ville de Nouakchott, des wilayas de l’Est notamment le Hodh charghi et du triangle de l’espoir en plus du projet agricole de l’Aftout Sahli pour la mise en valeur de plusieurs milliers d’hectares grâce à un chenal creusé sur 55 km.
Enfin, la Ministre a constaté que la Mauritanie ne figure pas parmi les pays arabes à qui profite le projet en cours d’exécution par la FAO et qui s’inscrit dans le cadre de l’Initiative régionale visant à lutter contre les pénuries d'eau au Proche-Orient et en Afrique du Nord et propose ainsi à la FAO d’intégrer notre pays dans ce projet.
Les autres interventions des ministres, du DG de la FAO et du DG de l’OADA ont fait état de la faible disponibilité en ressources hydrauliques renouvelables par habitant, au niveau de cette région, s'élevant à près de 600 mètres cubes chaque année soit seulement 10 pour cent de la moyenne mondiale et dépassant à peine les 100 mètres cubes pour certains pays.
La croissance démographique et les effets du changement climatique ajouteront une pression supplémentaire sur la disponibilité en eau dans un futur proche. Le changement climatique, en particulier, représente une menace sérieuse.
Dans ce cadre, il est primordial, soulignent les ministres, de promouvoir des méthodes qui utiliseront moins d'eau, de manière plus efficace, dans l'agriculture et dans la production agricole en général.
Pour ce faire et en collaboration avec la Ligue des Etats arabes, la FAO a lancé en 2013 une Initiative régionale visant à lutter contre les pénuries d'eau au Proche-Orient et en Afrique du Nord, dont l'objectif est de renforcer les efforts de coordination des pays.
source AMI
Cette réunion a pour but de chercher des solutions innovantes afin de lutter contre les pénuries d'eau face au changement climatique au niveau de la région du Proche-Orient et de l’Afrique du Nord.
Au cours de cette réunion, Madame la Ministre de a présenté l’expérience de la Mauritanie et notamment les efforts engagés par les pouvoirs publics dans le domaine de la gestion de nos ressources hydriques.
En effet et malgré le caractère désertique de notre pays, la Ministre a mis en exergue la mise en œuvre, par le gouvernement, des grands projets d’alimentation des populations en eau potable notamment l’alimentation de la ville de Nouakchott, des wilayas de l’Est notamment le Hodh charghi et du triangle de l’espoir en plus du projet agricole de l’Aftout Sahli pour la mise en valeur de plusieurs milliers d’hectares grâce à un chenal creusé sur 55 km.
Enfin, la Ministre a constaté que la Mauritanie ne figure pas parmi les pays arabes à qui profite le projet en cours d’exécution par la FAO et qui s’inscrit dans le cadre de l’Initiative régionale visant à lutter contre les pénuries d'eau au Proche-Orient et en Afrique du Nord et propose ainsi à la FAO d’intégrer notre pays dans ce projet.
Les autres interventions des ministres, du DG de la FAO et du DG de l’OADA ont fait état de la faible disponibilité en ressources hydrauliques renouvelables par habitant, au niveau de cette région, s'élevant à près de 600 mètres cubes chaque année soit seulement 10 pour cent de la moyenne mondiale et dépassant à peine les 100 mètres cubes pour certains pays.
La croissance démographique et les effets du changement climatique ajouteront une pression supplémentaire sur la disponibilité en eau dans un futur proche. Le changement climatique, en particulier, représente une menace sérieuse.
Dans ce cadre, il est primordial, soulignent les ministres, de promouvoir des méthodes qui utiliseront moins d'eau, de manière plus efficace, dans l'agriculture et dans la production agricole en général.
Pour ce faire et en collaboration avec la Ligue des Etats arabes, la FAO a lancé en 2013 une Initiative régionale visant à lutter contre les pénuries d'eau au Proche-Orient et en Afrique du Nord, dont l'objectif est de renforcer les efforts de coordination des pays.
source AMI
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