Alléger le montant de sa facture en détournant l’alimentation par un branchement pirate ,ou s’éclairer sans frais en se branchant sur la ligne du voisin… Certaines personnes sont tentées de faire du détournement d’énergie pour alléger leurs factures. Qu’il s’agisse de vol d’électricité ou d’eau, ce délit est désormais puni par une loi adoptée ce jeudi en conseil des ministres.
En effet, le conseil des ministres a adopté ce jeudi un décret portant répression des fraudeurs d’eau et d’électricité .
A en croire cette décision, toute personne impliquée dans les branchements frauduleux encoure désormais des sanctions.
En attendant l’application des dispositions de ce texte, les questions se posent quant a la nature des sanctions qui seront prises a l’encontre des fraudeurs. Si les fraudeurs devront s’inquiéter a l’avenir que dire des responsables et agents de la société dont certains couvrent de tels forfaits.
Pour Diakité chaudronnier de son état , que nous contacté << Avant de fermer les ateliers de paisibles citoyens, il faut diminuer le prix de l’électricité. Ensuite ,il faut s’attaquer aux agents de la somelec qui ont parfois 10 adresses qu'ils traitent pour bloquer, ou tripatouiller les compteurs moyennant un pécule mensuel , c'est la qu'il faut sévir>.Pour yahya boulanger, << Il faut d'abord commencer à assainir la SOMELEC elle même avant d'entamer quoique ce soit si non l'action qui sera entreprise pour endiguer la fraude sera contrecarrée par des arbitrages quotidiens devant les centres de la société .>>
Pour d’autre usagers, tous les efforts réalisés peuvent être vains si la condition de base n’est pas posée : l’élimination des pertes sur le réseau électrique, aussi bien des pertes techniques en améliorant notre réseau, que les pertes non techniques , en augmentant la pression sur les fraudeurs.
Aussi, Une pédagogie de la sanction s’impose , car l’un des grands problèmes de notre société est la relation entre sens de la responsabilité et sentiment de fraude.
Il n’est donc pas étrange qu’au niveau de l’électricité, dans le pays, on retrouve les mêmes problèmes de fonctionnement asymétrique de la société. On est réfractaire au paiement de ce que l’on considère comme un bien public car, « voler l’État n’est pas toujours assimilé a du vol ».
source rimeco.com
En effet, le conseil des ministres a adopté ce jeudi un décret portant répression des fraudeurs d’eau et d’électricité .
A en croire cette décision, toute personne impliquée dans les branchements frauduleux encoure désormais des sanctions.
En attendant l’application des dispositions de ce texte, les questions se posent quant a la nature des sanctions qui seront prises a l’encontre des fraudeurs. Si les fraudeurs devront s’inquiéter a l’avenir que dire des responsables et agents de la société dont certains couvrent de tels forfaits.
Pour Diakité chaudronnier de son état , que nous contacté << Avant de fermer les ateliers de paisibles citoyens, il faut diminuer le prix de l’électricité. Ensuite ,il faut s’attaquer aux agents de la somelec qui ont parfois 10 adresses qu'ils traitent pour bloquer, ou tripatouiller les compteurs moyennant un pécule mensuel , c'est la qu'il faut sévir>.Pour yahya boulanger, << Il faut d'abord commencer à assainir la SOMELEC elle même avant d'entamer quoique ce soit si non l'action qui sera entreprise pour endiguer la fraude sera contrecarrée par des arbitrages quotidiens devant les centres de la société .>>
Pour d’autre usagers, tous les efforts réalisés peuvent être vains si la condition de base n’est pas posée : l’élimination des pertes sur le réseau électrique, aussi bien des pertes techniques en améliorant notre réseau, que les pertes non techniques , en augmentant la pression sur les fraudeurs.
Aussi, Une pédagogie de la sanction s’impose , car l’un des grands problèmes de notre société est la relation entre sens de la responsabilité et sentiment de fraude.
Il n’est donc pas étrange qu’au niveau de l’électricité, dans le pays, on retrouve les mêmes problèmes de fonctionnement asymétrique de la société. On est réfractaire au paiement de ce que l’on considère comme un bien public car, « voler l’État n’est pas toujours assimilé a du vol ».
source rimeco.com