L’inflation a marqué une nette accélération sur les six premiers mois de l’année. L’indice du prix des aliments, base essentielle du panier de la ménagère, a augmenté de 0.4% au cours du mois de juin.
Cette augmentation résulte de l’accroissement des « produits alimentaires, boissons non alcoolisées » (+0,5%), « communication » (+2,2%) et « articles d’habillement et chaussures » (+0,3%).
En glissement annuel, l’indice harmonisé des prix a enregistré une augmentation de 3,4% et une stagnation au cours des trois derniers mois, selon les projections de l’office national des statistiques.
Cette flambée des prix suscite des remous au sein de la population . Alors que les commerçants et les gouvernants s’accusent mutuellement (absence de petite monnaie), les populations ploient sous cette situation de plus en plus intenable.
De part ses nouveaux statuts , les responsables de la banque centrale, désormais arc-boutés sur les indicateurs de l’inflation ont-ils des réponses adéquates a ces tensions inflationnistes qui normalement sont alimentées soit par la pénurie de devises, les faibles revenus des exportations dans les comptes publics, la dévaluation de la monnaie nationale ou la hausse des prix du pétrole.
Une chose est sûre , les pouvoirs publics ne paraissent plus vraiment redouter une remontée de l’inflation .
L’indice qui permet cette constatation, c’est la réforme en cours du régime de change. Les observateurs s’accordent sur le fait qu’une telle réforme ne manquera pas de générer un surcroît d’inflation.
Fall Mohamed
source AMI
Cette augmentation résulte de l’accroissement des « produits alimentaires, boissons non alcoolisées » (+0,5%), « communication » (+2,2%) et « articles d’habillement et chaussures » (+0,3%).
En glissement annuel, l’indice harmonisé des prix a enregistré une augmentation de 3,4% et une stagnation au cours des trois derniers mois, selon les projections de l’office national des statistiques.
Cette flambée des prix suscite des remous au sein de la population . Alors que les commerçants et les gouvernants s’accusent mutuellement (absence de petite monnaie), les populations ploient sous cette situation de plus en plus intenable.
De part ses nouveaux statuts , les responsables de la banque centrale, désormais arc-boutés sur les indicateurs de l’inflation ont-ils des réponses adéquates a ces tensions inflationnistes qui normalement sont alimentées soit par la pénurie de devises, les faibles revenus des exportations dans les comptes publics, la dévaluation de la monnaie nationale ou la hausse des prix du pétrole.
Une chose est sûre , les pouvoirs publics ne paraissent plus vraiment redouter une remontée de l’inflation .
L’indice qui permet cette constatation, c’est la réforme en cours du régime de change. Les observateurs s’accordent sur le fait qu’une telle réforme ne manquera pas de générer un surcroît d’inflation.
Fall Mohamed
source AMI