a direction de la communication de l’assemblée nationale a formellement démenti mercredi les informations publiées par la confédération générale des travailleurs, CGTM, selon lesquelles la présidence de l’assemblée nationale avait limogé un responsable syndical pour avoir distribué un communiqué syndical dans l’enceinte de l’institution.
Dans sa mise au point, la direction de la communication de l’assemblée nationale réaffirme la détermination du bureau de l’assemblée nationale, plus qu’à un autre moment, de poursuivre les réformes entamées depuis le début de cette législature et qui auront, sans aucun doute, des répercussions positives sur l’institution et sur ses employés.
Elle réaffirme aussi avoir respecté à chaque fois les textes en vigueur dans le pays, particulièrement ceux qui organisent les libertés publiques garanties par la constitution, y compris les libertés syndicales, rappelant que les travailleurs de l’assemblée nationale ont adhéré à deux centrales syndicales, la confédération générale des travailleurs de Mauritanie et le confédération libre des travailleurs de Mauritanie.
A propos du premier cas évoqué, le renvoi temporaire d’un travailleur pour une durée de 7 jours, la direction de la communication évoque un manquement professionnel, sanctionné par l’article 10 du code du travail : non exécution des tâches qui lui sont imparties, désobéissance à ses supérieurs hiérarchiques et agression d’un responsable de la sécurité interne.
Evoquant le deuxième cas, la direction de la communication de l’assemblée nationale précise que le responsable relevé de ses fonctions était un chef de division, poste occupé depuis quelques mois seulement et non pas depuis quelques années comme l’a déclaré la CGTM.
Il aurait commis des fautes passibles de sanctions en vertu de l’article 12 du règlement de base des employés de l’assemblée nationale.
Le communiqué appelle enfin les centrales syndicales à s’assurer à chaque fois des informations rapportées par leurs délégués syndicaux afin d’éviter l’amalgame et de porter préjudice à la notoriété d’une institution de la république, comme l’assemblée nationale.
source saharamedias.net
Dans sa mise au point, la direction de la communication de l’assemblée nationale réaffirme la détermination du bureau de l’assemblée nationale, plus qu’à un autre moment, de poursuivre les réformes entamées depuis le début de cette législature et qui auront, sans aucun doute, des répercussions positives sur l’institution et sur ses employés.
Elle réaffirme aussi avoir respecté à chaque fois les textes en vigueur dans le pays, particulièrement ceux qui organisent les libertés publiques garanties par la constitution, y compris les libertés syndicales, rappelant que les travailleurs de l’assemblée nationale ont adhéré à deux centrales syndicales, la confédération générale des travailleurs de Mauritanie et le confédération libre des travailleurs de Mauritanie.
A propos du premier cas évoqué, le renvoi temporaire d’un travailleur pour une durée de 7 jours, la direction de la communication évoque un manquement professionnel, sanctionné par l’article 10 du code du travail : non exécution des tâches qui lui sont imparties, désobéissance à ses supérieurs hiérarchiques et agression d’un responsable de la sécurité interne.
Evoquant le deuxième cas, la direction de la communication de l’assemblée nationale précise que le responsable relevé de ses fonctions était un chef de division, poste occupé depuis quelques mois seulement et non pas depuis quelques années comme l’a déclaré la CGTM.
Il aurait commis des fautes passibles de sanctions en vertu de l’article 12 du règlement de base des employés de l’assemblée nationale.
Le communiqué appelle enfin les centrales syndicales à s’assurer à chaque fois des informations rapportées par leurs délégués syndicaux afin d’éviter l’amalgame et de porter préjudice à la notoriété d’une institution de la république, comme l’assemblée nationale.
source saharamedias.net