El Wely Sidi Heiba
Il est inadmissible que les irréductibles de l’hypocrisie continuent au parti et dans l’hémisphère de chanter haut et fort, bien à tort, les fausses louanges d’une décennie de gabegie et d’injustice. Un constat amer bien établi par la force de cette persévérance, hélas, propre au pays des grandes contradictions.
Ces irréductibles tentent encore, -dans un ultime déclin- de brouiller les cartes en semant le doute dans les esprits fragiles des citoyens, par le fredonnement au faux air toujours impétueux de ce qu’ils ne cessent d’appeler les grandes réalisations de la décennie.
Mais à y voir de près la décennie si chantée est décevante et la gabegie y a atteint un record jamais égalé en ce pays où elle fait légion depuis l’indépendance.
Si les richesses du pays (or, fer, cuivre, terre rare, pétrole fini, agriculture et poissons cédés à l’étranger) ont été copieusement pillées, leurs maigres rétributions au trésor public ont été copieusement distribuées entre une minorité de prédateurs (proches et laudateurs) qui les ont investi, plus est, dans les domaines publics usurpés à l’Etat (écoles, surfaces publics, casernes militaires, littoral, stade et autres) et transformés en marchés et immeubles.
Il faut le rappeler à juste titre que Nouakchott, si frénétiquement citée comme capitale métamorphosée la décennie durant, offre une image de ville hideuse sans infrastructures dignes. Il suffit pour cela de la comparer à Bamako, Dakar, Djibouti pour se rendre à cette âpre et décapante réalité.
Quant à l’injustice, elle bat son plein et les inégalités si criantes, que la première promesse faite par le président élu Mohamed Ould Cheikh Ghazouani a été de s’atteler sans plus tarder à ce fléau pour l’atténuer avant de l’éradiquer définitivement par une meilleure répartition des richesses du pays, le gaz en perspective.
C’est dire l’urgence pour le président de la république de faire face à ces irréductibles qui tentent de toute la force de leur désespoir de maintenir un statu quo ravageur et de ramener, par une ultime bataille perdue d’avance, à la barre les timoniers adeptes des naufrages cauchemardesques.
Ces irréductibles tentent encore, -dans un ultime déclin- de brouiller les cartes en semant le doute dans les esprits fragiles des citoyens, par le fredonnement au faux air toujours impétueux de ce qu’ils ne cessent d’appeler les grandes réalisations de la décennie.
Mais à y voir de près la décennie si chantée est décevante et la gabegie y a atteint un record jamais égalé en ce pays où elle fait légion depuis l’indépendance.
Si les richesses du pays (or, fer, cuivre, terre rare, pétrole fini, agriculture et poissons cédés à l’étranger) ont été copieusement pillées, leurs maigres rétributions au trésor public ont été copieusement distribuées entre une minorité de prédateurs (proches et laudateurs) qui les ont investi, plus est, dans les domaines publics usurpés à l’Etat (écoles, surfaces publics, casernes militaires, littoral, stade et autres) et transformés en marchés et immeubles.
Il faut le rappeler à juste titre que Nouakchott, si frénétiquement citée comme capitale métamorphosée la décennie durant, offre une image de ville hideuse sans infrastructures dignes. Il suffit pour cela de la comparer à Bamako, Dakar, Djibouti pour se rendre à cette âpre et décapante réalité.
Quant à l’injustice, elle bat son plein et les inégalités si criantes, que la première promesse faite par le président élu Mohamed Ould Cheikh Ghazouani a été de s’atteler sans plus tarder à ce fléau pour l’atténuer avant de l’éradiquer définitivement par une meilleure répartition des richesses du pays, le gaz en perspective.
C’est dire l’urgence pour le président de la république de faire face à ces irréductibles qui tentent de toute la force de leur désespoir de maintenir un statu quo ravageur et de ramener, par une ultime bataille perdue d’avance, à la barre les timoniers adeptes des naufrages cauchemardesques.
El Wely Sidi Heiba