Des syndicats de travailleurs mauritaniens ont dénoncé jeudi ce qu’ils ont appelé « le rétrécissement » par les autorités des libertés syndicales et la violation des droits de manifestations pacifiques et des droits et des chartes du travail en vigueur dans le pays et dans les conventions internationales.
La CGTM, la CGTM et CLTM et la CNTM ont déclaré avoir suivi avec inquiétude l’arrestation par les autorités mauritaniennes à Aioun, dans l’est du pays du coordinateur régional de la confédération nationale des travailleurs de Mauritanie, Itawel Oumrou O. Sidi Mohamed et cinq de ses collègues syndicalistes.
Deux jours après leur arrestation, deux d’entre eux ont été placé sous contrôle judiciaire sur ordre du juge d’instruction du tribunal de la wilaya.
Dans un communiqué commun publié jeudi, les centrales syndicales rejettent toute restriction des libertés syndicales ou individuelles ou tout autre droit que confèrent la loi à des individus ou des groupes, réaffirmant par ailleurs leur rejet de la violation des lois et chartes de travail nationales et internationales et notamment les accords de l’organisation internationale du travail N° 98 ET 87 approuvés par la Mauritanie.
Les centrales syndicales ont condamné et dénoncé l’important recul des libertés syndicales et l’utilisation de l’autorité judiciaire pour sévir contre les syndicalistes qui n’ont cessé de lutter pour défendre les droits des travailleurs.
source saharamedias.net
La CGTM, la CGTM et CLTM et la CNTM ont déclaré avoir suivi avec inquiétude l’arrestation par les autorités mauritaniennes à Aioun, dans l’est du pays du coordinateur régional de la confédération nationale des travailleurs de Mauritanie, Itawel Oumrou O. Sidi Mohamed et cinq de ses collègues syndicalistes.
Deux jours après leur arrestation, deux d’entre eux ont été placé sous contrôle judiciaire sur ordre du juge d’instruction du tribunal de la wilaya.
Dans un communiqué commun publié jeudi, les centrales syndicales rejettent toute restriction des libertés syndicales ou individuelles ou tout autre droit que confèrent la loi à des individus ou des groupes, réaffirmant par ailleurs leur rejet de la violation des lois et chartes de travail nationales et internationales et notamment les accords de l’organisation internationale du travail N° 98 ET 87 approuvés par la Mauritanie.
Les centrales syndicales ont condamné et dénoncé l’important recul des libertés syndicales et l’utilisation de l’autorité judiciaire pour sévir contre les syndicalistes qui n’ont cessé de lutter pour défendre les droits des travailleurs.
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