La ministre de l’Environnement se réunit avec ambassadeur régional du Royaume Uni pour la COP 26
La Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Mme Mariem BEKAYE, a tenu, samedi, une réunion de travail consacrée à la problématique du changement climatique au niveau local avec SE Madame Janet Rogan, ambassadeur régional du Royaume Uni pour la COP 26, pour le Moyen-Orient et l'Afrique, et en présence de Mme Fatimetou Abdel Malick, présidente de la Région de Nouakchott.
Etaient présents à la réunion, les maires de Boubacar Ben Amer et président de l’Association des Maires du Tagant, M. Saleck Abdel Jelil, de Boghé, M. M.Ba Adama Moussa et M.Ahmed Bouda Ahmed Baba, Maire de Tamourt Naaj au Tagant.
Après avoir exprimé sa joie d’accueillir ensemble les représentants de l’Etat mauritanien à la COP 26, accompagnés d’élus locaux à Glasgow, Mme Rogan a mis en exergue le leadership du Royaume uni dans le domaine du développement durable et de lutte contre les changements climatiques.
Elle a rappelé, à cet effet, l’action de la présidence de son pays pour la COP 26, les enjeux et les attentes des négociations sur le climat.
Les élus locaux ont présenté la situation des collectivités locales en Mauritanie, notamment les villes qui restent les principales victimes du changement climatique et leurs conséquences dévastatrices, en particulier dans les centres urbains côtiers comme la ville de Nouakchott, mais aussi dans les communes rurales à forte dépendance des ressources naturelles conjuguée avec des phénomènes de sécheresse et de désertification.
La question est alors de savoir en quoi la double perspective pour les villes de s’engager dans un développement durable et de l’adaptation au changement climatique et susceptible de les mettre en situation de conforter leur primat sur toute autre forme d’organisations humaines et de produire des solutions novatrices.
Les deux parties convergent vers un constat commun considérant que les collectivités locales sont en mesure de mener une action transformatrice, pour réaliser les objectifs de développement durable et bâtir ainsi un monde sans carbone, résilient face aux changements climatiques et socialement justes.
Mme BEKAYE a rappelé la volonté du gouvernement mauritanien à travailler avec les collectivités locales, en adoptant une approche inclusive et axée sur l’être humain, de la planification et de la gestion des villes.
Elle considère que les infrastructures résilientes, les systèmes d’alerte rapide et les instruments financiers qui permettent d’atténuer les risques sont autant d’outils essentiels pour les villes, qui s’efforcent de s’adapter et de protéger la vie et les moyens de subsistance de leurs habitants.
Quant aux élus locaux, ils ont manifesté leur engagement pour montrer la voie à suivre pour mieux réduire les émissions à l’échelle et à la vitesse nécessaires et garantir un avenir résilient à leurs habitants, à atténuer les risques et à trouver des solutions durables.
Mme Rogan a manifesté la disponibilité de son gouvernement à assister la Mauritanie et ses collectivités locales dans leur action climatique, pour une meilleure résilience au changement climatique.
AMI
Etaient présents à la réunion, les maires de Boubacar Ben Amer et président de l’Association des Maires du Tagant, M. Saleck Abdel Jelil, de Boghé, M. M.Ba Adama Moussa et M.Ahmed Bouda Ahmed Baba, Maire de Tamourt Naaj au Tagant.
Après avoir exprimé sa joie d’accueillir ensemble les représentants de l’Etat mauritanien à la COP 26, accompagnés d’élus locaux à Glasgow, Mme Rogan a mis en exergue le leadership du Royaume uni dans le domaine du développement durable et de lutte contre les changements climatiques.
Elle a rappelé, à cet effet, l’action de la présidence de son pays pour la COP 26, les enjeux et les attentes des négociations sur le climat.
Les élus locaux ont présenté la situation des collectivités locales en Mauritanie, notamment les villes qui restent les principales victimes du changement climatique et leurs conséquences dévastatrices, en particulier dans les centres urbains côtiers comme la ville de Nouakchott, mais aussi dans les communes rurales à forte dépendance des ressources naturelles conjuguée avec des phénomènes de sécheresse et de désertification.
La question est alors de savoir en quoi la double perspective pour les villes de s’engager dans un développement durable et de l’adaptation au changement climatique et susceptible de les mettre en situation de conforter leur primat sur toute autre forme d’organisations humaines et de produire des solutions novatrices.
Les deux parties convergent vers un constat commun considérant que les collectivités locales sont en mesure de mener une action transformatrice, pour réaliser les objectifs de développement durable et bâtir ainsi un monde sans carbone, résilient face aux changements climatiques et socialement justes.
Mme BEKAYE a rappelé la volonté du gouvernement mauritanien à travailler avec les collectivités locales, en adoptant une approche inclusive et axée sur l’être humain, de la planification et de la gestion des villes.
Elle considère que les infrastructures résilientes, les systèmes d’alerte rapide et les instruments financiers qui permettent d’atténuer les risques sont autant d’outils essentiels pour les villes, qui s’efforcent de s’adapter et de protéger la vie et les moyens de subsistance de leurs habitants.
Quant aux élus locaux, ils ont manifesté leur engagement pour montrer la voie à suivre pour mieux réduire les émissions à l’échelle et à la vitesse nécessaires et garantir un avenir résilient à leurs habitants, à atténuer les risques et à trouver des solutions durables.
Mme Rogan a manifesté la disponibilité de son gouvernement à assister la Mauritanie et ses collectivités locales dans leur action climatique, pour une meilleure résilience au changement climatique.
AMI
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