Le Nigeria, l’Algérie, le Maroc, le Sénégal ou encore le Tchad comptent parmi les premiers pays du continent africain à faire savoir qu’ils continuent de traiter la maladie à coronavirus avec l’hydroxychloroquine. Des annonces qui interviennent après que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décidé la suspension temporaire des essais cliniques portant sur la molécule, le temps que "la question de la sécurité soit examinée".
La mesure fait suite à la parution d’une étude dans la revue scientifique britannique The Lancet qui conclut que la chloroquine et ses dérivés, loin d’être bénéfiques, seraient même dangereux pour les patients hospitalisés et soignés avec ces médicaments seuls ou associés à d’autres molécules. L’étude divise aussi la communauté scientifique.
Une efficacité probable au début de la maladie
Ainsi, au lendemain de l’annonce de l’OMS, le Nigeria a indiqué qu’il poursuivrait ses essais cliniques sur l’hydroxychloroquine. A l’antenne de la chaîne de télévision nigériane TVC, la patronne de l’agence nigériane du médicament (Nafdac), Mojisola Adeyeye, a indiqué que l’hydroxycloroquine semblait donner des résultats probants quand elle était utilisée au début de la maladie.
lauthentic
La mesure fait suite à la parution d’une étude dans la revue scientifique britannique The Lancet qui conclut que la chloroquine et ses dérivés, loin d’être bénéfiques, seraient même dangereux pour les patients hospitalisés et soignés avec ces médicaments seuls ou associés à d’autres molécules. L’étude divise aussi la communauté scientifique.
Une efficacité probable au début de la maladie
Ainsi, au lendemain de l’annonce de l’OMS, le Nigeria a indiqué qu’il poursuivrait ses essais cliniques sur l’hydroxychloroquine. A l’antenne de la chaîne de télévision nigériane TVC, la patronne de l’agence nigériane du médicament (Nafdac), Mojisola Adeyeye, a indiqué que l’hydroxycloroquine semblait donner des résultats probants quand elle était utilisée au début de la maladie.
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