Une fille du nom d’A.B.F née en 2008 a été victime d’un viol Lundi dernier dans la salle de classe de l’Ecole Privée «Chams » qu’elle fréquente, une école située dans le quartier de Dar Naim 1 de la Wilaya Nouakchott Nord. Selon AFCF, ce viol qui a été commis par le maître de la fille, un instituteur de Français, a eu lieu aux environs de Midi, moment de pause permettant au élèves de prendre leur petit déjeuner. C’est ainsi que le maître, après avoir libéré la classe, a retenu la fille tout en prétendant de l’aider dans les difficultés rencontrées au cours la leçon du jour. Etant seul avec la fille dans la salle de classe, le maître passa à l’acte et déshonora la fille.
Ayant remarqué le retour tardif de sa fille à la maison pour récupérer son petit déjeuner, la mère finit par se rendre à l’école pour obtenir des informations concernant sa fille auprès de la direction de l’école. Au moment où la mère est arrivée à l’enceinte de l’école, elle aperçut sa fille, qui pouvait à peine se tenir debout, sortir la salle de classe. Aussitôt elle demanda à sa fille qu’est ce qui n’allait pas. Elle répondit que c’est son maître qui l’avait retenue en classe pour abuser d’elle.
Selon toujours la mère de la victime, la directrice de l’école du nom de YOWGUIHE a cherché à défendre son enseignant, l’agresseur présumé, tout en expliquant que les accusations portées à l’encontre de ce dernier sont fausses et restent sans fondement. Et d’ailleurs, la directrice a menacé porter plainte contre les parents de la victime pour leur tentative de vouloir ternir l’image de son école.
AFCF a fini par accompagner la victime à l’hôpital de la Mère et de l’Enfant pour des examens et soins. De l’hôpital, AFCF a conduit la victime au commissariat de la Brigade des Mineurs en vue de déposer une plainte contre l’agresseur.
A Nouakchott, il ya eu dans les quelques mois passés, une vague de viols en série et des incidents de victimisation graves. Ce fut récemmentle cas de viol d’une jeune adolescente dans le quartier d’Arafat de la Wilaya de Nouakchott Sud.
source AFCF Mauritanie ( FB )
Ayant remarqué le retour tardif de sa fille à la maison pour récupérer son petit déjeuner, la mère finit par se rendre à l’école pour obtenir des informations concernant sa fille auprès de la direction de l’école. Au moment où la mère est arrivée à l’enceinte de l’école, elle aperçut sa fille, qui pouvait à peine se tenir debout, sortir la salle de classe. Aussitôt elle demanda à sa fille qu’est ce qui n’allait pas. Elle répondit que c’est son maître qui l’avait retenue en classe pour abuser d’elle.
Selon toujours la mère de la victime, la directrice de l’école du nom de YOWGUIHE a cherché à défendre son enseignant, l’agresseur présumé, tout en expliquant que les accusations portées à l’encontre de ce dernier sont fausses et restent sans fondement. Et d’ailleurs, la directrice a menacé porter plainte contre les parents de la victime pour leur tentative de vouloir ternir l’image de son école.
AFCF a fini par accompagner la victime à l’hôpital de la Mère et de l’Enfant pour des examens et soins. De l’hôpital, AFCF a conduit la victime au commissariat de la Brigade des Mineurs en vue de déposer une plainte contre l’agresseur.
A Nouakchott, il ya eu dans les quelques mois passés, une vague de viols en série et des incidents de victimisation graves. Ce fut récemmentle cas de viol d’une jeune adolescente dans le quartier d’Arafat de la Wilaya de Nouakchott Sud.
source AFCF Mauritanie ( FB )