L’imprimerie Nationale connait une pénurie de papiers à l’origine de l’arrêt de la parution de tous les organes de la presse privée écrite depuis 2 semaines, qui prend une nouvelle dimension ce mercredi, avec la non-parution des quotidiens gouvernementaux «Chaab-en langue Arabe » et « Horizons-version en français ».
Cette institution fait face à d’énormes difficultés financières et ses employés n’ont pas encore perçu les salaires du mois de novembre.
Suivant divers témoignages, l’imprimerie réclame à l’Etat une enveloppe de 300 millions d’ouguiyas (plus de 700.000 dollars us) pour différents services et prestations fournis à des entités publiques mais restés impayés.
Devant cette situation, les éditeurs de la presse privée dénoncent une mise à mort du pluralisme à l’approche de la cruciale élection présidentielle de 2019, qui devrait théoriquement installer la Mauritanie dans le cercle où une alternance démocratique et pacifique serait possible en lieu et place des putschs militaires et interminables révolutions de palais.
source lecalame.info
Cette institution fait face à d’énormes difficultés financières et ses employés n’ont pas encore perçu les salaires du mois de novembre.
Suivant divers témoignages, l’imprimerie réclame à l’Etat une enveloppe de 300 millions d’ouguiyas (plus de 700.000 dollars us) pour différents services et prestations fournis à des entités publiques mais restés impayés.
Devant cette situation, les éditeurs de la presse privée dénoncent une mise à mort du pluralisme à l’approche de la cruciale élection présidentielle de 2019, qui devrait théoriquement installer la Mauritanie dans le cercle où une alternance démocratique et pacifique serait possible en lieu et place des putschs militaires et interminables révolutions de palais.
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