Le ministre des pêches et de l'économie maritime, M. Nany Ould Chrougha, a tenu mercredi, en compagnie du wali de Dakhlet- Nouadhibou M. Mohamed Ould Ahmed Salem Ould Mohamed Raré, une série de réunions avec les opérateurs du secteur, dont les propriétaires des usines de fabrique de farine, d’huile de poisson et avec les armateurs.
Le directeur de la valorisation des produits de pêche au ministère, M. Mohamed Ould Barham, a inscrit, dans une déclaration faite à l’AMI, ces rencontres, dans le cadre des concertations traditionnelles, menées par le ministère depuis 2014 avec les acteurs halieutiques, suivant une nouvelle stratégie des pêches, visant à valoriser les activités du secteur.
Il a souligné également les consignes faites au cours de ces réunions, par les autorités aux propriétaires précités, afin de se conformer aux réglementations et lois en vigueur, en matière de sécurité de l’environnement marin.
« Ces usines ont joué, pendant une période de temps un rôle important, à une époque où la capacité de stockage ne dépassait pas 20.000 t/an, alors que cette dernière, est comprise aujourd'hui entre 50.000 et 60.000 T/an, », a-t-il affirmé, insistant sur la nécessité pour ces fabriques de se conformer aux normes et lois internationales en la matière.
Les armateurs ont été appelés par ailleurs, à diversifier la production et à ne pas limiter cette dernière aux usines de fabrique de farine et d’huile de poisson, a-t-il ajouté.
Le ministre s’est enquis aussi de la situation de ces usines et des problèmes qu’elles rencontrent, a-t-il conclu.
source AMI
Le directeur de la valorisation des produits de pêche au ministère, M. Mohamed Ould Barham, a inscrit, dans une déclaration faite à l’AMI, ces rencontres, dans le cadre des concertations traditionnelles, menées par le ministère depuis 2014 avec les acteurs halieutiques, suivant une nouvelle stratégie des pêches, visant à valoriser les activités du secteur.
Il a souligné également les consignes faites au cours de ces réunions, par les autorités aux propriétaires précités, afin de se conformer aux réglementations et lois en vigueur, en matière de sécurité de l’environnement marin.
« Ces usines ont joué, pendant une période de temps un rôle important, à une époque où la capacité de stockage ne dépassait pas 20.000 t/an, alors que cette dernière, est comprise aujourd'hui entre 50.000 et 60.000 T/an, », a-t-il affirmé, insistant sur la nécessité pour ces fabriques de se conformer aux normes et lois internationales en la matière.
Les armateurs ont été appelés par ailleurs, à diversifier la production et à ne pas limiter cette dernière aux usines de fabrique de farine et d’huile de poisson, a-t-il ajouté.
Le ministre s’est enquis aussi de la situation de ces usines et des problèmes qu’elles rencontrent, a-t-il conclu.
source AMI