Le directeur régional de l’éducation nationale (DREN) au Guidimakha, Mr Dah Ould Didiya, reste déterminé dans la lutter contre le laisser-aller dans le secteur de l’enseignement à son niveau.
Ancien patron de la direction des examens et de l’évaluation et directeur de l’enseignement fondamental au MEN, un grand connaisseur des escalades de l’enseignement continue à traiter les choses au sérieux comme il l’a toujours fait.
Connu par sa fermeté devant les décisions allant dans le bon fonctionnement de l’enseignement et les droits des enfants. Dah pour ceux qui le connaissent est un homme rigoureux et juste, car il n’est pas facile quand il s’agit des décisions injustes et anormales.
Pour Dah, disait, un proche, "il faut accomplir d'abord le devoir au juste et réclamer après ses droits".
Affecté au Guidimkha pour y passer surement le reste de sa carrière, cet homme très modeste ne baisse pas les armes devant ceux qui aspirent à la vie facile sans travailler.
Tout dernièrement, un instituteur, suspendu depuis décembre de l’année dernière pour abandon de poste, il réapparait à la Dren et affirme être prêt à rejoindre son poste de travail,l'Ecole Ehel Ali 1 dans la commune d'Ajar,70 km de la capitale régionale.
Avec sa note de service, il s’y rend à la tombée de la nuit du 30 janvier dernier, sans bagages et en costume cravate.
Accueilli à bras ouverts par le directeur, sur pieds, il réclame une lettre de présence pour que sa suspension soit levée.
Alors, le directeur, lui explique que la lettre sera établie et transmise dès qu’il reprenne service régulièrement. Des explications mal digérées par cet enseignant qui fut directeur dans plusieurs localités, mais évincé pour des mesures disciplinaires.
Informé, le Dren, réaffirme sa position, en disant que la suspension ne sera levée qu'après reprise sérieuse du travail.
Face à cette mesure, il revint chez le directeur et lui demanda de lui établir une lettre soit disant qu’il détient un dossier médical qui atteste qu’il est cardiaque et ne pouvant qu'à Nouadhibou.
Devant le chef du village, il menace le directeur pour lui avoir refusé ses services en lui disant qu’il n’est pas « fait pour prendre la craie ». Mais le directeur garda son sang froid devant toutes les menaces et intimidations dont il a été l’objet. Il finit par quitter le village sous prétexte qu'il ne peut enseigner!
Il faut signaler que l’école Ehel Ali 1 compte quatre divisions pédagogiques tenues par le directeur depuis octobre.
En somme, nous rappelons que Ould Didiya a pu mettre fin à plusieurs cas d'absences irrégulières et d'abandons de poste depuis qu’il au Guidimakhasans blesser, ni réveiller les démons.
Malgré le manque de moyens de transport, il se rend dans les établissements les plus reculés pour s'informer de près sur la situation des élèves, des enseignants et des établissements.
source Tawary.com
Ancien patron de la direction des examens et de l’évaluation et directeur de l’enseignement fondamental au MEN, un grand connaisseur des escalades de l’enseignement continue à traiter les choses au sérieux comme il l’a toujours fait.
Connu par sa fermeté devant les décisions allant dans le bon fonctionnement de l’enseignement et les droits des enfants. Dah pour ceux qui le connaissent est un homme rigoureux et juste, car il n’est pas facile quand il s’agit des décisions injustes et anormales.
Pour Dah, disait, un proche, "il faut accomplir d'abord le devoir au juste et réclamer après ses droits".
Affecté au Guidimkha pour y passer surement le reste de sa carrière, cet homme très modeste ne baisse pas les armes devant ceux qui aspirent à la vie facile sans travailler.
Tout dernièrement, un instituteur, suspendu depuis décembre de l’année dernière pour abandon de poste, il réapparait à la Dren et affirme être prêt à rejoindre son poste de travail,l'Ecole Ehel Ali 1 dans la commune d'Ajar,70 km de la capitale régionale.
Avec sa note de service, il s’y rend à la tombée de la nuit du 30 janvier dernier, sans bagages et en costume cravate.
Accueilli à bras ouverts par le directeur, sur pieds, il réclame une lettre de présence pour que sa suspension soit levée.
Alors, le directeur, lui explique que la lettre sera établie et transmise dès qu’il reprenne service régulièrement. Des explications mal digérées par cet enseignant qui fut directeur dans plusieurs localités, mais évincé pour des mesures disciplinaires.
Informé, le Dren, réaffirme sa position, en disant que la suspension ne sera levée qu'après reprise sérieuse du travail.
Face à cette mesure, il revint chez le directeur et lui demanda de lui établir une lettre soit disant qu’il détient un dossier médical qui atteste qu’il est cardiaque et ne pouvant qu'à Nouadhibou.
Devant le chef du village, il menace le directeur pour lui avoir refusé ses services en lui disant qu’il n’est pas « fait pour prendre la craie ». Mais le directeur garda son sang froid devant toutes les menaces et intimidations dont il a été l’objet. Il finit par quitter le village sous prétexte qu'il ne peut enseigner!
Il faut signaler que l’école Ehel Ali 1 compte quatre divisions pédagogiques tenues par le directeur depuis octobre.
En somme, nous rappelons que Ould Didiya a pu mettre fin à plusieurs cas d'absences irrégulières et d'abandons de poste depuis qu’il au Guidimakhasans blesser, ni réveiller les démons.
Malgré le manque de moyens de transport, il se rend dans les établissements les plus reculés pour s'informer de près sur la situation des élèves, des enseignants et des établissements.
source Tawary.com