Le lancement des activités du projet "Temeyouz" a été annoncé aujourd’hui, jeudi, à Nouakchott, dans les locaux de l’Ecole nationale supérieure des sciences médicales. L’évènement est organisé par le ministère de la Santé et exécuté par l’organisation d’expertise française. Ce projet vise à soutenir les traitements en urgences, le centre national de transfusion sanguine (CNTS), les prestataires des services médicaux, l’amélioration des soins d’urgences, ainsi que le renforcement de la santé maternelle et infantile en Mauritanie.
Dans un mot prononcé à cette occasion, la secrétaire générale du ministère de la Santé, Mme Halima Ba, a apprécié le partenariat entre le secteur et l’organisation de l’expertise française.
Elle a indiqué que la fourniture du CNTS à Nouakchott, la création du 1er centre régional de transfusion sanguine à Kiffa, le renforcement des capacités techniques de ces deux centres, l’adoption d’un système de sécurisation de la transfusion sanguine et du transport du sang et la formation continue des sages-femmes sont des choses importantes dans le système sanitaire du pays, ce qui contribuera grandement à limiter la mortalité maternelle consécutive aux hémorragies. Lors d’une cérémonie, organisée à cet effet, elle a déclaré que la santé maternelle et infantile demeurera prioritaire.
Elle a souligné que la tenue de la première réunion de la commission d’orientation, en marge de cette cérémonie, en vue du lancement du projet, représente un signal fort de la part des différentes directions au sein du ministère de la Santé afin de garantir l’accompagnement efficace et le suivi perpétuel des diverses phases d’exécution.
Pour sa part, l’ambassadeur français, SE M. Robert Moulié, a insisté sur l’attention que porte la France au soutien des autorités mauritaniennes dans ses efforts visant à améliorer la santé maternelle et infantile. Il a affirmé que l’actuelle crise sanitaire nécessite l’existence d’un système sanitaire efficient, ainsi que l’accompagnement des services sanitaires, qui comporte le traitement en temps opportun.
Il a passé en revue le sujet de la réhabilitation du Centre national de transfusion sanguine, soulignant la création du premier centre régional de transfusion sanguine à Kiffa et le renforcement des capacités du personnel médical.
Il a assuré de l’engagement de la France à soutenir ce secteur.
La cérémonie s'est déroulée en présence du directeur général des ressources au ministère de la santé, du directeur de l'Agence Française de Développement en Mauritanie, de plusieurs membres du corps diplomatique et de responsables du secteur de la santé.
AMI
Dans un mot prononcé à cette occasion, la secrétaire générale du ministère de la Santé, Mme Halima Ba, a apprécié le partenariat entre le secteur et l’organisation de l’expertise française.
Elle a indiqué que la fourniture du CNTS à Nouakchott, la création du 1er centre régional de transfusion sanguine à Kiffa, le renforcement des capacités techniques de ces deux centres, l’adoption d’un système de sécurisation de la transfusion sanguine et du transport du sang et la formation continue des sages-femmes sont des choses importantes dans le système sanitaire du pays, ce qui contribuera grandement à limiter la mortalité maternelle consécutive aux hémorragies. Lors d’une cérémonie, organisée à cet effet, elle a déclaré que la santé maternelle et infantile demeurera prioritaire.
Elle a souligné que la tenue de la première réunion de la commission d’orientation, en marge de cette cérémonie, en vue du lancement du projet, représente un signal fort de la part des différentes directions au sein du ministère de la Santé afin de garantir l’accompagnement efficace et le suivi perpétuel des diverses phases d’exécution.
Pour sa part, l’ambassadeur français, SE M. Robert Moulié, a insisté sur l’attention que porte la France au soutien des autorités mauritaniennes dans ses efforts visant à améliorer la santé maternelle et infantile. Il a affirmé que l’actuelle crise sanitaire nécessite l’existence d’un système sanitaire efficient, ainsi que l’accompagnement des services sanitaires, qui comporte le traitement en temps opportun.
Il a passé en revue le sujet de la réhabilitation du Centre national de transfusion sanguine, soulignant la création du premier centre régional de transfusion sanguine à Kiffa et le renforcement des capacités du personnel médical.
Il a assuré de l’engagement de la France à soutenir ce secteur.
La cérémonie s'est déroulée en présence du directeur général des ressources au ministère de la santé, du directeur de l'Agence Française de Développement en Mauritanie, de plusieurs membres du corps diplomatique et de responsables du secteur de la santé.
AMI