Retour à Nouakchott du ministre de l’Économie
Le ministre de l’Économie et de l'Industrie, M. Cheikh El Kebir Moulaye Taher a regagné Nouakchott lundi en provenance du Royaume d’Arabie Saoudite.
Au cours de son séjour dans ce pays, qui lui a permis de discuter les différents aspects de coopération et de partenariat entre la Mauritanie et les institutions financières islamiques, le ministre a signé avec le président exécutif de la Société Islamique de Développement du Secteur Privé (SIDSP) un accord-cadre portant sur le financement de la part mauritanienne du projet relatif au champ gazier la "tortue Ahmeyim".
M. Cheikh El Kebir Moulaye Taher a aussi signé avec la Société Internationale Islamique de Financement du commerce (ITFC) une convention de financement portant sur une enveloppe de 600 millions de dollars américains (environ 22 milliards MRU).
Ce financement, accordé pour une période de 5 ans à partir de 2020, sera consacré à la couvrir des frais d’importation des produits énergétiques de base comme le pétrole brut et les produits pétroliers et à l’octroi de lignes de crédit aux banques locales afin de soutenir le secteur privé et l’amélioration des performances de l’agriculture.
AMI
Au cours de son séjour dans ce pays, qui lui a permis de discuter les différents aspects de coopération et de partenariat entre la Mauritanie et les institutions financières islamiques, le ministre a signé avec le président exécutif de la Société Islamique de Développement du Secteur Privé (SIDSP) un accord-cadre portant sur le financement de la part mauritanienne du projet relatif au champ gazier la "tortue Ahmeyim".
M. Cheikh El Kebir Moulaye Taher a aussi signé avec la Société Internationale Islamique de Financement du commerce (ITFC) une convention de financement portant sur une enveloppe de 600 millions de dollars américains (environ 22 milliards MRU).
Ce financement, accordé pour une période de 5 ans à partir de 2020, sera consacré à la couvrir des frais d’importation des produits énergétiques de base comme le pétrole brut et les produits pétroliers et à l’octroi de lignes de crédit aux banques locales afin de soutenir le secteur privé et l’amélioration des performances de l’agriculture.
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