Le collectif des avocats de l’État de Mauritanie, constitué partie civile dans le dossier de la décennie de gouvernance de Mohamed ould Abdel Aziz, ex chef de l’État, était face à la presse, dimanche enfin d’après midi.
Maîtres Brahim Ebety, coordonateur du collectif et bâtonnier de l’Ordre National des Avocats (ONA), Lo Gourmo, Vadily ould Raiss et leurs collègues ont fait le point après 4 jours d’un procès inédit. Qui a débuté le 25 janvier dernier.
Dans leurs différentes interventions, les avocats de la partie civile ont réfuté la thèse des violations grossières des droits de Mohamed Abdel Aziz, cheval de bataille de la défense depuis le début du procès.
Ils ont salué les conditions de démarrage d’un procès inédit dans le monde arabe et en Afrique, à travers lequel un ex-président de la République est appelé à répondre des actes de sa gouvernance.
Les avocats de la partie civile ont par ailleurs regretté les nombreuses exceptions soulevées par une défense usant de manœuvres dilatoires pour éviter de rentrer dans le fond de l’affaire.
Le collectif des avocats de la partie civile a également justifié le placement en détention de l’ex chef de l’État à la veille du veille du démarrage du procès en invoquant l’article 153 du Code de Procédure Pénale.
lecalame
Maîtres Brahim Ebety, coordonateur du collectif et bâtonnier de l’Ordre National des Avocats (ONA), Lo Gourmo, Vadily ould Raiss et leurs collègues ont fait le point après 4 jours d’un procès inédit. Qui a débuté le 25 janvier dernier.
Dans leurs différentes interventions, les avocats de la partie civile ont réfuté la thèse des violations grossières des droits de Mohamed Abdel Aziz, cheval de bataille de la défense depuis le début du procès.
Ils ont salué les conditions de démarrage d’un procès inédit dans le monde arabe et en Afrique, à travers lequel un ex-président de la République est appelé à répondre des actes de sa gouvernance.
Les avocats de la partie civile ont par ailleurs regretté les nombreuses exceptions soulevées par une défense usant de manœuvres dilatoires pour éviter de rentrer dans le fond de l’affaire.
Le collectif des avocats de la partie civile a également justifié le placement en détention de l’ex chef de l’État à la veille du veille du démarrage du procès en invoquant l’article 153 du Code de Procédure Pénale.
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