Les travaux de la 4ème réunion ordinaire du réseau des instituts maghrébins des sciences de la mer, organisée par le ministère des pêches et de l’économie maritime, représenté par l’Institut Mauritanien des Recherches céanographiques et des Pêches (IMROP) et la FAO, sous le thème "l’innovation pour undéveloppement durable des captures et de l’aquaculture", ont été ouverts mardi à Nouakchott.
Le ministre des Pêches et de l'Economie maritime, M. Nani Ould Chrougha, a mis en exergue à cette occasion, les considérables ressources maritimes dont regorgent les côtes de l’espace maghrébin, d’où l’importance de capitaliser cette réunion de trois jours pour examiner les domaines de la coopération commune, élaborer un plan d'action portant sur l’amélioration des écosystèmes marins, mettre en place des programmes conjoints de recherche scientifique et examiner les systèmes d’exploitation, de gestion et des impacts négatifs des changements climatiques sur l'environnement afin d'anticiper et d'éviter tout effondrement possible de ces ressources.
« Le thème de la réunion intervient, dit-il, en exécution du programme de Son Excellence le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, qui accorde une attention particulière au domaine des sciences et de l'innovation, comme condition indispensable pour arriver à un développement durable, en particulier dans le domaine des
ressources marines ».
Il a loué également le rôle du réseau des instituts maghrébins des sciences de la mer pour dégager les politiques optimales de gestion des richesses de cet espace, conformément aux objectifs fixés, remerciant les partenaires pour l’appui apporté à cette rencontre, en
particulier la FAO, principal bailleur du réseau.
Le directeur général de l'IMROP, M. Mohamed Hafedh Ould Ejiouen, a présenté le réseau, soulignant qu’il s’agit d’un organisme scientifique créé en 2012 à Casablanca au Maroc, afin de développer la coopération scientifique et technologique des Etats membres, passant
en revue les activités qu’il a réalisées au cours des dernières années.
« Le travail commun peut conduire à des horizons plus prometteuses, afin d’impulser le réseau, en particulier pour ce qui concerne l’autonomie financière et le développement de la plateforme électronique », a-t-il ajouté.
Le coordinateur du Programme des Nations Unies en Mauritanie et Représentant par intérim de la FAO, M. Mario Samaja, a souligné dans son mot, l’importance de cette réunion ; qui s’harmonise avec les objectifs de développement en Afrique du Nord, adoptés par la
Conférence des Nations unies sur le développement durable 2012, dite Rio+20.
« Ces objectifs se concentrent sur les mers et les océans en tant que ressources riches pour créer des opportunités d'emplois et assurer l’alimentation », a-t-il déclaré.
« Notre organisme est déterminé à soutenir les pays afin d’atteindre leurs objectifs de développement, notamment le renforcement de la coopération régionale dans les domaines de la gestion durable des captures », a-t-il dit.
La cérémonie s’est déroulée en présence de la ministre de l’élevage Mme Vatma Vall Mint Soueinae et de personnalités scientifiques de renom dans le domaine des sciences de la mer, ainsi que de représentants d'organisations régionales et internationales, notamment
du Réseau inter-islamique de science et technologie de l'océanographie.
source AMI
Le ministre des Pêches et de l'Economie maritime, M. Nani Ould Chrougha, a mis en exergue à cette occasion, les considérables ressources maritimes dont regorgent les côtes de l’espace maghrébin, d’où l’importance de capitaliser cette réunion de trois jours pour examiner les domaines de la coopération commune, élaborer un plan d'action portant sur l’amélioration des écosystèmes marins, mettre en place des programmes conjoints de recherche scientifique et examiner les systèmes d’exploitation, de gestion et des impacts négatifs des changements climatiques sur l'environnement afin d'anticiper et d'éviter tout effondrement possible de ces ressources.
« Le thème de la réunion intervient, dit-il, en exécution du programme de Son Excellence le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, qui accorde une attention particulière au domaine des sciences et de l'innovation, comme condition indispensable pour arriver à un développement durable, en particulier dans le domaine des
ressources marines ».
Il a loué également le rôle du réseau des instituts maghrébins des sciences de la mer pour dégager les politiques optimales de gestion des richesses de cet espace, conformément aux objectifs fixés, remerciant les partenaires pour l’appui apporté à cette rencontre, en
particulier la FAO, principal bailleur du réseau.
Le directeur général de l'IMROP, M. Mohamed Hafedh Ould Ejiouen, a présenté le réseau, soulignant qu’il s’agit d’un organisme scientifique créé en 2012 à Casablanca au Maroc, afin de développer la coopération scientifique et technologique des Etats membres, passant
en revue les activités qu’il a réalisées au cours des dernières années.
« Le travail commun peut conduire à des horizons plus prometteuses, afin d’impulser le réseau, en particulier pour ce qui concerne l’autonomie financière et le développement de la plateforme électronique », a-t-il ajouté.
Le coordinateur du Programme des Nations Unies en Mauritanie et Représentant par intérim de la FAO, M. Mario Samaja, a souligné dans son mot, l’importance de cette réunion ; qui s’harmonise avec les objectifs de développement en Afrique du Nord, adoptés par la
Conférence des Nations unies sur le développement durable 2012, dite Rio+20.
« Ces objectifs se concentrent sur les mers et les océans en tant que ressources riches pour créer des opportunités d'emplois et assurer l’alimentation », a-t-il déclaré.
« Notre organisme est déterminé à soutenir les pays afin d’atteindre leurs objectifs de développement, notamment le renforcement de la coopération régionale dans les domaines de la gestion durable des captures », a-t-il dit.
La cérémonie s’est déroulée en présence de la ministre de l’élevage Mme Vatma Vall Mint Soueinae et de personnalités scientifiques de renom dans le domaine des sciences de la mer, ainsi que de représentants d'organisations régionales et internationales, notamment
du Réseau inter-islamique de science et technologie de l'océanographie.
source AMI