Ce vendredi soir, au Musée national de Nouakchott, une table-ronde était organisée, sous le thème : « La littérature comme horizon humain reliant les cultures », modérée par le responsable du ministère de la Culture, Cheikh Mouadh Ould Sidi Abdallah.
La table, qui s’inscrit dans le cadre des activités de la 14e édition du Forum « Traversées Mauritanides » au titre de l’année 2023, a réuni plusieurs écrivains et universitaires, dont le professeur d’histoire à l’Université de Nouakchott, Torba Mint Amar, l’écrivain Cheikh Nouh, le romancier irakien Najm Wali, ainsi que le chercheur Mohamed Ould Bouleiba.
Ould Bouleiba a présenté une communication dans laquelle il a abordé la traduction et son rôle dans la consolidation des relations interculturelles, passant en revue son expérience personnelle. C’est ainsi qu’il a évoqué ses débuts qui remontent aux années 80, lorsqu’il traduisait une partie d’un livre d’un écrivain français qui a été publié en 1985 dans la revue Al-Ma’rifa de l’époque. Il s’intéresse à ces relations littéraires internationales et espère que la nation arabe ne manquera pas la pensée développée par d’autres nations.
Quant à Mint Amar, elle a mis en lumière le corps de la femme dans le roman arabe et africain. Par le passé, dans les sociétés arabes, les poètes chantaient le corps de la femme, en exaltaient la beauté. La société était galante et non romanesque. Le roman contemporain est né, avec de nombreuses recherches sur le soi, la libération et la résilience face aux défis sociaux, mettant en lumière des exemples tels que le roman « Je vis », de la regrettée romancière libanaise Leila Baalbek, écrit dans les années 1950.
Quant au poète et romancier Cheikh Nouh, il a présenté une communication sur la relation entre le Nord et le Sud et la littérature comme pont vers la convergence, en prenant comme modèle le livre « Lettres du Sahara ». Il a dit que ce qui l’a frappé dans ce livre, c’est que le désert n’est pas seulement un endroit où la nature se msnifeste dans sa force, mais il représente un espace plein de vie, de beauté. La nature y est d’une incroyable richesse culturelle et sociale, depuis la nuit des temps jusqu’à aujourd’hui.
Les débats ont été clos sur l’intervention du romancier irakien Najm Wali, intitulée « Transmission de la littérature, l’universalité des sujets littéraires ».
taqadoumy
La table, qui s’inscrit dans le cadre des activités de la 14e édition du Forum « Traversées Mauritanides » au titre de l’année 2023, a réuni plusieurs écrivains et universitaires, dont le professeur d’histoire à l’Université de Nouakchott, Torba Mint Amar, l’écrivain Cheikh Nouh, le romancier irakien Najm Wali, ainsi que le chercheur Mohamed Ould Bouleiba.
Ould Bouleiba a présenté une communication dans laquelle il a abordé la traduction et son rôle dans la consolidation des relations interculturelles, passant en revue son expérience personnelle. C’est ainsi qu’il a évoqué ses débuts qui remontent aux années 80, lorsqu’il traduisait une partie d’un livre d’un écrivain français qui a été publié en 1985 dans la revue Al-Ma’rifa de l’époque. Il s’intéresse à ces relations littéraires internationales et espère que la nation arabe ne manquera pas la pensée développée par d’autres nations.
Quant à Mint Amar, elle a mis en lumière le corps de la femme dans le roman arabe et africain. Par le passé, dans les sociétés arabes, les poètes chantaient le corps de la femme, en exaltaient la beauté. La société était galante et non romanesque. Le roman contemporain est né, avec de nombreuses recherches sur le soi, la libération et la résilience face aux défis sociaux, mettant en lumière des exemples tels que le roman « Je vis », de la regrettée romancière libanaise Leila Baalbek, écrit dans les années 1950.
Quant au poète et romancier Cheikh Nouh, il a présenté une communication sur la relation entre le Nord et le Sud et la littérature comme pont vers la convergence, en prenant comme modèle le livre « Lettres du Sahara ». Il a dit que ce qui l’a frappé dans ce livre, c’est que le désert n’est pas seulement un endroit où la nature se msnifeste dans sa force, mais il représente un espace plein de vie, de beauté. La nature y est d’une incroyable richesse culturelle et sociale, depuis la nuit des temps jusqu’à aujourd’hui.
Les débats ont été clos sur l’intervention du romancier irakien Najm Wali, intitulée « Transmission de la littérature, l’universalité des sujets littéraires ».
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