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Sinya Mohamed Saleck, ou Sinya Bocoum, une activiste de la société civile, ayant pignon sur rue à Nouakchott, a créé un centre d’accueil pour aider à l’insertion des jeunes filles et femmes en situation difficile, dont le parcours de vie est souvent marqué par les violences en tout genre.
Le centre d’accueil pour aider à l’insertion des jeunes filles et femmes en situation difficile est une institution privée implantée à Dar Naim, une commune de la banlieue Nord de Nouakchott, la capitale mauritanienne. Un centre qui suscite l’intérêt de partenaires extérieurs, notamment de Belgique, du Luxembourg et de Tunisie.
Sinya Mohamed Saleck présente "un centre d’insertion des jeunes filles en situation difficile, créée en 2005, reconnue depuis 2006, qui permet de donner un métier et des outils d’insertion dans la vie, grâce à l’apprentissage de la couture, teinture, coiffure, pâtisserie et divers autres métiers de nature à créer des Activités génératrices de revenus (AGR)" au profit de bénéficiaires dont les familles sont en situation précaire.
Elle évoque le partenariat avec des Organisations de la société civile (OSC) basées en Belgique, au Luxembourg et en Tunisie.
Jemal Youssoufi, directeur de la Compagnie des nouveaux disparus (CND), implantée en Belgique et au Luxembourg, active en faveur de la démocratie culturelle, se trouve en Mauritanie depuis une semaine, dans le cadre de la mise en place d’un forum pour l’inter-culturalité et les préparatifs d’une importante rencontre prévue en Belgique au mois de juin 2021.
Cet acteur apprécie particulièrement le travail de Sinya et de toutes ces femmes "courageuses" qui luttent sans relâche.
Une des bénéficiaires, Marcelline Konan, Ivoirienne mariée à un Mauritanien, est confrontée à une violence morale et à des difficultés matérielles dans son couple. Elle évoque un quotidien difficile qui a des conséquences sur la vie de son fils, aujourd'hui en difficulté scolaire, sans le soutien de son père, démissionnaire face à ses responsabilités.
Par De notre correspondant à Nouakchott Amadou Seck
afriquele360.ma
Sinya Mohamed Saleck, ou Sinya Bocoum, une activiste de la société civile, ayant pignon sur rue à Nouakchott, a créé un centre d’accueil pour aider à l’insertion des jeunes filles et femmes en situation difficile, dont le parcours de vie est souvent marqué par les violences en tout genre.
Le centre d’accueil pour aider à l’insertion des jeunes filles et femmes en situation difficile est une institution privée implantée à Dar Naim, une commune de la banlieue Nord de Nouakchott, la capitale mauritanienne. Un centre qui suscite l’intérêt de partenaires extérieurs, notamment de Belgique, du Luxembourg et de Tunisie.
Sinya Mohamed Saleck présente "un centre d’insertion des jeunes filles en situation difficile, créée en 2005, reconnue depuis 2006, qui permet de donner un métier et des outils d’insertion dans la vie, grâce à l’apprentissage de la couture, teinture, coiffure, pâtisserie et divers autres métiers de nature à créer des Activités génératrices de revenus (AGR)" au profit de bénéficiaires dont les familles sont en situation précaire.
Elle évoque le partenariat avec des Organisations de la société civile (OSC) basées en Belgique, au Luxembourg et en Tunisie.
Jemal Youssoufi, directeur de la Compagnie des nouveaux disparus (CND), implantée en Belgique et au Luxembourg, active en faveur de la démocratie culturelle, se trouve en Mauritanie depuis une semaine, dans le cadre de la mise en place d’un forum pour l’inter-culturalité et les préparatifs d’une importante rencontre prévue en Belgique au mois de juin 2021.
Cet acteur apprécie particulièrement le travail de Sinya et de toutes ces femmes "courageuses" qui luttent sans relâche.
Une des bénéficiaires, Marcelline Konan, Ivoirienne mariée à un Mauritanien, est confrontée à une violence morale et à des difficultés matérielles dans son couple. Elle évoque un quotidien difficile qui a des conséquences sur la vie de son fils, aujourd'hui en difficulté scolaire, sans le soutien de son père, démissionnaire face à ses responsabilités.
Par De notre correspondant à Nouakchott Amadou Seck
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