Le Conseil d’Orientation et de Coordination de la Cellule d’Analyse des Informations Financières (CANIF-une institution sous l’autorité du gouverneur de la Banque Centrale de Mauritanie/BCM), a décidé de licencier une dizaine d’agents il y a quelques mois.
Les intéressés ont été avisés de cette mesure à l’occasion d’une rencontre organisée le 09 mai, et saisis par courrier individuel en date du 25 septembre 2018.
Une note à travers laquelle l’employeur annonçait « la résiliation du contrat de travail suite à la réorganisation des missions de la commission » au double plan interne et « au sens des articles 55 du Code du Travail et 30 de la Convention collective ».
Dans le même courrier, il est précisé « que les droits seront réglés conformément aux lois en vigueur »et que les agents licenciés « sontdispensés de l’exécution du préavis ».
La date de licenciement a pris effet le 01 octobre 2018.
Mais depuis, les agents déflatés, des pères et mères de familles, attendent de rentrer dans leurs droits légitimes, conformément aux dispositions du Code du Travail, de la Convention Collective, et des engagements de l’employeurs expressément rappelés dans le courrier du 25 septembre 2018.
Et pourtant, ces individus soutiennent que la BCM a versé les fonds destinés au paiement de leurs droits. Le blocage serait ainsi le fait du SG de la CANIF, accusé de jouer sur les nerfs des désormais ex agents de l’institution.
Créée en 2005, dans la foulée de l’engagement de la Mauritanie à lutter efficacement contre le blanchiment de l’argent et le financement du terrorisme, la Cellule d’Analyse des Informations Financières (CANIF) est plongée dans une léthargie qui évolue progressivement vers un coma mortel depuis quelques années, du fait d’un management désastreux.
Des agents abandonnés à eux-mêmes et totalement démotivés par une absence totale d’activités. Paradoxe inexplicable au moment où les plus hautes autorités affichent la volonté de mettre la Mauritanie aux normes du Groupe d’Actions Financières (GAFI).
source lecalame.info
Les intéressés ont été avisés de cette mesure à l’occasion d’une rencontre organisée le 09 mai, et saisis par courrier individuel en date du 25 septembre 2018.
Une note à travers laquelle l’employeur annonçait « la résiliation du contrat de travail suite à la réorganisation des missions de la commission » au double plan interne et « au sens des articles 55 du Code du Travail et 30 de la Convention collective ».
Dans le même courrier, il est précisé « que les droits seront réglés conformément aux lois en vigueur »et que les agents licenciés « sontdispensés de l’exécution du préavis ».
La date de licenciement a pris effet le 01 octobre 2018.
Mais depuis, les agents déflatés, des pères et mères de familles, attendent de rentrer dans leurs droits légitimes, conformément aux dispositions du Code du Travail, de la Convention Collective, et des engagements de l’employeurs expressément rappelés dans le courrier du 25 septembre 2018.
Et pourtant, ces individus soutiennent que la BCM a versé les fonds destinés au paiement de leurs droits. Le blocage serait ainsi le fait du SG de la CANIF, accusé de jouer sur les nerfs des désormais ex agents de l’institution.
Créée en 2005, dans la foulée de l’engagement de la Mauritanie à lutter efficacement contre le blanchiment de l’argent et le financement du terrorisme, la Cellule d’Analyse des Informations Financières (CANIF) est plongée dans une léthargie qui évolue progressivement vers un coma mortel depuis quelques années, du fait d’un management désastreux.
Des agents abandonnés à eux-mêmes et totalement démotivés par une absence totale d’activités. Paradoxe inexplicable au moment où les plus hautes autorités affichent la volonté de mettre la Mauritanie aux normes du Groupe d’Actions Financières (GAFI).
source lecalame.info