Les travaux d’un atelier national multi-acteurs pour une gouvernance foncière responsable, pour le bien-être commun, organisé par le ministère de l'économie et des finances en collaboration avec la FAO, l'Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR) et la commission technique pour la réhabilitation foncière en Mauritanie, ont été ouverts mercredi à Rosso.
L’atelier, qui regroupe des représentants des secteurs publics concernés, des parlementaires et des acteurs de la société civile, vise à informer les opérateurs sur les orientations et les choix volontaires, pour une gouvernance responsable des systèmes fonciers, à appliquer sur les terres et les milieux marin et forestier, ainsi qu’à échanger sur le processus de la réorganisation foncière, lancée par le gouvernement, depuis quelques années.
Le Wali du Trarza, M. Sall Saidou Alassane, a qualifié cette rencontre d’opportunité pour débattre la problématique foncière, afin de doter le pays d’une référence d’orientation et d’un cadre d'échange et de dialogue, pour une gouvernance foncière responsable et paisible.
Il a salué également la FAO et l'Initiative précitée et leurs partenaires au développement, en particulier l'Allemagne, la Belgique, la Suisse, le Danemark et la Suède, pour leurs efforts, pour la tenue de cet important atelier.
Le directeur général des domaines et du patrimoine de l’Etat au ministère de l'économie et des finances, M. Mohamed Yahya Mohamed Yahya, a loué dans son intervention faite à cette rencontre, les efforts déployés par notre pays dans le domaine de la réorganisation foncière, mettant en exergue les gros capitaux investis dans le secteur ; motivant l’objectif non encore réalisé de l’autosuffisance alimentaire, par la persistance de problèmes fonciers.
« Ce qui a conduit, dit-il, les pouvoirs publics à consentir davantage d’efforts pour surmonter ces obstacles, en se concertant avec les acteurs et les propriétaires fonciers ».
Le représentant Résident de la FAO en Mauritanie, Dr Atmane Mravili, a souligné dans son discours à cet atelier, les défis majeurs posés à la Mauritanie, à l’instar des Etats de l’Afrique de l’Ouest, dans le domaine de la gouvernance foncière, « qui est devenue un problème aigu, dans le bassin du fleuve Sénégal, où l'insécurité alimentaire et les difficultés foncières constituent d’importants obstacles », a-t-il ajouté, appelant les participants à dégager des recommandations pratiques, sous forme de programmes, afin d’éclairer les autorités politiques sur les règles convenues dans la gouvernance foncière.
Le coordonnateur du projet « une gouvernance foncière améliorée pour une prospérité partagée dans le bassin du fleuve Sénégal », le Professeur Ibrahima Diallo, a conditionné la réalisation de l’objectif de l’autosuffisance durable et équilibrée des populations rurales, par la solution des problèmes fonciers.
« Le projet qui comprend à Mauritanie, le Sénégal, le Mali et la Guinée Conakry, vise à se concerter avec tous les acteurs pour instaurer une gouvernance foncière responsable, pour assurer le bien-être économique et social et une vie décente à la population rurale », a-t-il conclu.
source AMI
L’atelier, qui regroupe des représentants des secteurs publics concernés, des parlementaires et des acteurs de la société civile, vise à informer les opérateurs sur les orientations et les choix volontaires, pour une gouvernance responsable des systèmes fonciers, à appliquer sur les terres et les milieux marin et forestier, ainsi qu’à échanger sur le processus de la réorganisation foncière, lancée par le gouvernement, depuis quelques années.
Le Wali du Trarza, M. Sall Saidou Alassane, a qualifié cette rencontre d’opportunité pour débattre la problématique foncière, afin de doter le pays d’une référence d’orientation et d’un cadre d'échange et de dialogue, pour une gouvernance foncière responsable et paisible.
Il a salué également la FAO et l'Initiative précitée et leurs partenaires au développement, en particulier l'Allemagne, la Belgique, la Suisse, le Danemark et la Suède, pour leurs efforts, pour la tenue de cet important atelier.
Le directeur général des domaines et du patrimoine de l’Etat au ministère de l'économie et des finances, M. Mohamed Yahya Mohamed Yahya, a loué dans son intervention faite à cette rencontre, les efforts déployés par notre pays dans le domaine de la réorganisation foncière, mettant en exergue les gros capitaux investis dans le secteur ; motivant l’objectif non encore réalisé de l’autosuffisance alimentaire, par la persistance de problèmes fonciers.
« Ce qui a conduit, dit-il, les pouvoirs publics à consentir davantage d’efforts pour surmonter ces obstacles, en se concertant avec les acteurs et les propriétaires fonciers ».
Le représentant Résident de la FAO en Mauritanie, Dr Atmane Mravili, a souligné dans son discours à cet atelier, les défis majeurs posés à la Mauritanie, à l’instar des Etats de l’Afrique de l’Ouest, dans le domaine de la gouvernance foncière, « qui est devenue un problème aigu, dans le bassin du fleuve Sénégal, où l'insécurité alimentaire et les difficultés foncières constituent d’importants obstacles », a-t-il ajouté, appelant les participants à dégager des recommandations pratiques, sous forme de programmes, afin d’éclairer les autorités politiques sur les règles convenues dans la gouvernance foncière.
Le coordonnateur du projet « une gouvernance foncière améliorée pour une prospérité partagée dans le bassin du fleuve Sénégal », le Professeur Ibrahima Diallo, a conditionné la réalisation de l’objectif de l’autosuffisance durable et équilibrée des populations rurales, par la solution des problèmes fonciers.
« Le projet qui comprend à Mauritanie, le Sénégal, le Mali et la Guinée Conakry, vise à se concerter avec tous les acteurs pour instaurer une gouvernance foncière responsable, pour assurer le bien-être économique et social et une vie décente à la population rurale », a-t-il conclu.
source AMI