Les violences contre les femmes gagnent du terrain c’est le constat qui se dégage à l’issue d’un point de presse organisé par l’Association de femmes chefs de familles (AFCF) sous la houlette de sa vice-présidente en l’occurrence Salimata Sy dans le cadre de la Journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes ce samedi 25 novembre.
L’association par la voix de sa vice-présidente a «saisi l’occasion pour exprimer encore une fois (sa) solidarité avec les femmes victimes des violences abominables, des atrocités inouïes et d’attirer l’attention des gouvernants sur ces exactions d’un autre âge qui constituent des menaces sur les acquis et réalisations faites en matière de promotion des droits des femmes dans notre pays».
«La notion de violence Définir la notion de violence n’est pas aisée, car elle est complexe et peut être abordée de différents points de vue », dit la vice-présidente.
«La Déclaration des Nations Unies sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes (1993), définit la violence à l’égard des femmes comme : tous actes de violence dirigés contre le sexe féminin, et causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privé», rappelle Salimata Sy.
« La même déclaration signale que la violence à l’égard des femmes traduit des rapports de force historiquement inégaux entre hommes et femmes, lesquels ont abouti à la domination et à la discrimination exercées par les premiers et freiné la promotion des secondes », ajoute la vice-présidente avant d’énumérer les types de violences dont sont victimes les femmes notamment les violences physiques ; psychologiques ; sexuelles ; sociales et économiques. Enfin Salimata Sy et l’AFCF appelent les autorités à œuvrer afin que certains articles du code de statut personnel doivent être alignés sur les normes internationales et la loi criminalisant toutes les formes de violences, les violences qui sont devenues pratiquement notre quotidien, cette loi doit être promulguée sur la base d’une concertation entre les pouvoirs publics et la société civile.
source rmibiladi.com
L’association par la voix de sa vice-présidente a «saisi l’occasion pour exprimer encore une fois (sa) solidarité avec les femmes victimes des violences abominables, des atrocités inouïes et d’attirer l’attention des gouvernants sur ces exactions d’un autre âge qui constituent des menaces sur les acquis et réalisations faites en matière de promotion des droits des femmes dans notre pays».
«La notion de violence Définir la notion de violence n’est pas aisée, car elle est complexe et peut être abordée de différents points de vue », dit la vice-présidente.
«La Déclaration des Nations Unies sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes (1993), définit la violence à l’égard des femmes comme : tous actes de violence dirigés contre le sexe féminin, et causant ou pouvant causer aux femmes un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, y compris la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privé», rappelle Salimata Sy.
« La même déclaration signale que la violence à l’égard des femmes traduit des rapports de force historiquement inégaux entre hommes et femmes, lesquels ont abouti à la domination et à la discrimination exercées par les premiers et freiné la promotion des secondes », ajoute la vice-présidente avant d’énumérer les types de violences dont sont victimes les femmes notamment les violences physiques ; psychologiques ; sexuelles ; sociales et économiques. Enfin Salimata Sy et l’AFCF appelent les autorités à œuvrer afin que certains articles du code de statut personnel doivent être alignés sur les normes internationales et la loi criminalisant toutes les formes de violences, les violences qui sont devenues pratiquement notre quotidien, cette loi doit être promulguée sur la base d’une concertation entre les pouvoirs publics et la société civile.
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