La Mauritanie est un pays pauvre aux capacités et ressources économiques très limitées, souffrant également de l’absence d’infrastructures, a affirmé, le Président mauritanien Mohamed Ould Cheikh Ghazouani, qui a motivé cet état de sous-développement, par l’inefficacité des politiques publiques.
Le président a fait ces aveux à l’occasion d’une rencontre, tenue le jeudi 7 avril courant, au Centre international des conférences à Nouakchott, avec les opérateurs économiques privés mauritaniens, sous le thème : “Pour une Mauritanie productive, renforçons les partenariats public-privé”.
L’État a importé 100 000 tonnes de blé environ, mais une fois les 3/4 arrivés dans le pays, les autorités se sont trouvées confrontées à un gros problème lié aux difficultés de conditionnement, de stockage et de transport ; la capacité de traitement, d’emmagasinement et de transport national étant limitée.
« Si la situation est-elle, quant sera-t-il, s’il s’agit de notre capacité de production », s’est interrogé Ould Ghazouani.
« Reconnaitre ces réalités, ne veut pas dire que nous nous avons vaincus ou acceptons le fait accompli, bien au contraire, cela nous servira de catalyseur pour le passage du pays dans les rangs des pays en développement”.
J’ai voulu parler avec les opérateurs économiques sur “les moyens les plus efficaces pour conjuguer les efforts de l’Etat et du secteur privé, afin d’atténuer ces crises sur notre pays ainsi que pour prendre l’initiative et construire des capacités autonomes qui renforcent notre autosuffisance et nos potentialités à l’avenir, pour faire face aux chocs externes.
senalioune
Le président a fait ces aveux à l’occasion d’une rencontre, tenue le jeudi 7 avril courant, au Centre international des conférences à Nouakchott, avec les opérateurs économiques privés mauritaniens, sous le thème : “Pour une Mauritanie productive, renforçons les partenariats public-privé”.
L’État a importé 100 000 tonnes de blé environ, mais une fois les 3/4 arrivés dans le pays, les autorités se sont trouvées confrontées à un gros problème lié aux difficultés de conditionnement, de stockage et de transport ; la capacité de traitement, d’emmagasinement et de transport national étant limitée.
« Si la situation est-elle, quant sera-t-il, s’il s’agit de notre capacité de production », s’est interrogé Ould Ghazouani.
« Reconnaitre ces réalités, ne veut pas dire que nous nous avons vaincus ou acceptons le fait accompli, bien au contraire, cela nous servira de catalyseur pour le passage du pays dans les rangs des pays en développement”.
J’ai voulu parler avec les opérateurs économiques sur “les moyens les plus efficaces pour conjuguer les efforts de l’Etat et du secteur privé, afin d’atténuer ces crises sur notre pays ainsi que pour prendre l’initiative et construire des capacités autonomes qui renforcent notre autosuffisance et nos potentialités à l’avenir, pour faire face aux chocs externes.
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