Nouakchott, la capitale de la Mauritanie, a accueilli, du 15 au 19 octobre 2023, sa première édition du Festival international du cinéma. L’événement, qui a réuni des films de 13 pays, a été un succès, tant sur le plan artistique que culturel.
La cérémonie d’ouverture, qui s’est déroulée au Palais du peuple, a été marquée par la projection d’un film documentaire sur la naissance de Nouakchott. Le festival a ensuite proposé une programmation riche et variée. 28 films projetés : de la fiction, des documentaires, des courts métrages et des films d’animation.
Parmi les films les plus remarqués, on peut citer « Sewdetou », un film mauritanien qui a remporté le Grand Prix du festival. Sewdetou raconte l’histoire d’une jeune esclave noire qui subit des violences verbales et physiques au sein d’une communauté nomade maure. A noter aussi que le film marocain « l’Esclave » d’Abdelilah El Jaouhari a remporté le grand prix du jury.
10 000 spectateurs pour une première
Le festival a également été l’occasion de rencontres entre professionnels du cinéma et de discussions autour de l’avenir du cinéma mauritanien. Un atelier de formation à la réalisation de films a également été organisé pour les jeunes cinéastes mauritaniens.
Au total, le festival a attiré plus de 10 000 spectateurs. Il a constitué un événement important pour la culture mauritanienne et a contribué à faire connaître le cinéma mauritanien. Il reste à ouvrir désormais plus de salles de cinéma en Mauritanie.
financialafrik
La cérémonie d’ouverture, qui s’est déroulée au Palais du peuple, a été marquée par la projection d’un film documentaire sur la naissance de Nouakchott. Le festival a ensuite proposé une programmation riche et variée. 28 films projetés : de la fiction, des documentaires, des courts métrages et des films d’animation.
Parmi les films les plus remarqués, on peut citer « Sewdetou », un film mauritanien qui a remporté le Grand Prix du festival. Sewdetou raconte l’histoire d’une jeune esclave noire qui subit des violences verbales et physiques au sein d’une communauté nomade maure. A noter aussi que le film marocain « l’Esclave » d’Abdelilah El Jaouhari a remporté le grand prix du jury.
10 000 spectateurs pour une première
Le festival a également été l’occasion de rencontres entre professionnels du cinéma et de discussions autour de l’avenir du cinéma mauritanien. Un atelier de formation à la réalisation de films a également été organisé pour les jeunes cinéastes mauritaniens.
Au total, le festival a attiré plus de 10 000 spectateurs. Il a constitué un événement important pour la culture mauritanienne et a contribué à faire connaître le cinéma mauritanien. Il reste à ouvrir désormais plus de salles de cinéma en Mauritanie.
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