Les travaux d'un atelier de coopération pour le renforcement du cadre national de prévention de la torture et des traitements dégradants durant la détention ont été ouverts mercredi matin à Nouakchott.
L'atelier, organisé par le mécanisme national de prévention de la torture en collaboration avec le bureau de la représentation du haut commissariat des Nations Unies pour les droits de l'homme en Mauritanie, vise à sortir avec une conception commune du rôle du mécanisme et avec une approche permettant à ce dernier de surmonter les obstacles et de l'aider à mener à bien son travail.
L'atelier, qui constitue une rencontre élargie avec les partenaires nationaux, les ministères, les directions et les secteurs concernés, sera l'occasion pour passer en revue les tes textes juridiques organisant l'action du mécanisme et de présenter des exposés portant sur l'importance de la coopération entre les secteurs et le mécanisme, notamment en ce qui concerne la délimitation des domaines d'action du mécanisme.
Dans un mot prononcé pour la circonstance, Dr Mohamed Lemine Ould Haless, président du mécanisme, a indiqué que le mécanisme national de prévention de la torture assume de grandes responsabilités dans le cadre du renforcement de la culture de la prévention de la torture et de la pratique des droits de l'homme, à travers la sensibilisation des acteurs concernés sur les méfaits de la torture et des autres sortes de traitements inhumains et dégradants.
Il a ajouté que l'atelier qui regroupe les membres du mécanisme national de prévention de la torture et des représentants de tous les secteurs concernés a pour objectif de permettre à ces derniers d'échanger les expériences et d'examiner les défis ainsi que de connaître le rôle qui est le leur et les nombreuses responsabilités qui leur incombent, ce qui aura des répercussions positives sur leur travail.
Il a remercié les ministères de la justice et de l'intérieur et de la décentralisation ainsi que le commissariat aux droits de l'homme et à l'action humanitaire et la commission nationale des droits de l'homme pour leur collaboration avec le mécanisme pour la protection des droits des détenus et l'amélioration de leurs conditions dans les lieux de leur détention.
Il a aussi remercié le bureau de la représentation du haut commissariat des Nations Unies pour les droits de l'homme en Mauritanie pour sa collaboration fructueuse et l'accompagnement des efforts du mécanisme.
Pour sa part, le représentant du bureau de la représentation du Haut commissariat des Nations Unies pour les droits de l'homme en Mauritanie, M. Ekhard Strauss, a félicité la Mauritanie pour la création du mécanisme national de prévention de la torture, suite à la ratification du protocole facultatif de la convention sur la lutte contre la torture et les autres traitements inhumains et dégradants.
Il a précisé que la réussite du mécanisme dans sa mission exige la conjugaison des efforts des instances nationales et internationales actives dans le domaine des droits de l'homme, exprimant, à ce sujet, la volonté de son commissariat d'appuyer les efforts du mécanisme pour lui permettre de mener à bien sa mission.
L'ouverture de l'atelier s'est déroulée en présence du commissaire aux droits de l'homme et à l'action humanitaire, du procureur général près la Cour suprême, de la présidente de la commission nationale des droits de l'homme et du bâtonnier de l'Ordre national des Avocats.
source AMI
L'atelier, organisé par le mécanisme national de prévention de la torture en collaboration avec le bureau de la représentation du haut commissariat des Nations Unies pour les droits de l'homme en Mauritanie, vise à sortir avec une conception commune du rôle du mécanisme et avec une approche permettant à ce dernier de surmonter les obstacles et de l'aider à mener à bien son travail.
L'atelier, qui constitue une rencontre élargie avec les partenaires nationaux, les ministères, les directions et les secteurs concernés, sera l'occasion pour passer en revue les tes textes juridiques organisant l'action du mécanisme et de présenter des exposés portant sur l'importance de la coopération entre les secteurs et le mécanisme, notamment en ce qui concerne la délimitation des domaines d'action du mécanisme.
Dans un mot prononcé pour la circonstance, Dr Mohamed Lemine Ould Haless, président du mécanisme, a indiqué que le mécanisme national de prévention de la torture assume de grandes responsabilités dans le cadre du renforcement de la culture de la prévention de la torture et de la pratique des droits de l'homme, à travers la sensibilisation des acteurs concernés sur les méfaits de la torture et des autres sortes de traitements inhumains et dégradants.
Il a ajouté que l'atelier qui regroupe les membres du mécanisme national de prévention de la torture et des représentants de tous les secteurs concernés a pour objectif de permettre à ces derniers d'échanger les expériences et d'examiner les défis ainsi que de connaître le rôle qui est le leur et les nombreuses responsabilités qui leur incombent, ce qui aura des répercussions positives sur leur travail.
Il a remercié les ministères de la justice et de l'intérieur et de la décentralisation ainsi que le commissariat aux droits de l'homme et à l'action humanitaire et la commission nationale des droits de l'homme pour leur collaboration avec le mécanisme pour la protection des droits des détenus et l'amélioration de leurs conditions dans les lieux de leur détention.
Il a aussi remercié le bureau de la représentation du haut commissariat des Nations Unies pour les droits de l'homme en Mauritanie pour sa collaboration fructueuse et l'accompagnement des efforts du mécanisme.
Pour sa part, le représentant du bureau de la représentation du Haut commissariat des Nations Unies pour les droits de l'homme en Mauritanie, M. Ekhard Strauss, a félicité la Mauritanie pour la création du mécanisme national de prévention de la torture, suite à la ratification du protocole facultatif de la convention sur la lutte contre la torture et les autres traitements inhumains et dégradants.
Il a précisé que la réussite du mécanisme dans sa mission exige la conjugaison des efforts des instances nationales et internationales actives dans le domaine des droits de l'homme, exprimant, à ce sujet, la volonté de son commissariat d'appuyer les efforts du mécanisme pour lui permettre de mener à bien sa mission.
L'ouverture de l'atelier s'est déroulée en présence du commissaire aux droits de l'homme et à l'action humanitaire, du procureur général près la Cour suprême, de la présidente de la commission nationale des droits de l'homme et du bâtonnier de l'Ordre national des Avocats.
source AMI