Les travaux du deuxième atelier du projet éco-étiquetage et certification du poulpe mauritanien, organisé par la société mauritanienne pour la commercialisation de poisson (SMCP) en collaboration avec l’organisation mondiale pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), ont débuté mercredi à Nouakchott.
L’atelier, de trois jours, aborde les différents enjeux liés à l’éco-étiquetage et certification du poulpe mauritanien, les conditions de son obtention, les mécanismes suivis et le calendrier approprié.
Les participants discuteront également des avantages offerts par cet éco-étiquetage, notamment la possibilité d'accéder à des marchés internationaux privés très rentables pour les producteurs.
S’exprimant à cette occasion, le ministre des pêches et de l’économie maritime, M. Nani Ould Chrougha a souligné que l'intérêt accordé aux mollusques ne provenait pas du vide, car le Président de la République Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a décidé de limiter son exploitation aux mauritaniens en tant que stock stratégique du pays.
Il a par la suite indiqué que dans ce contexte cette richesse a occupé une place de choix, où des séminaires et des rencontres ont été organisés pour trouver une solution appropriée qui préserve cette richesse et assure sa pérennité, expliquant que l’organisation de cet atelier s’inscrit dans le cadre de la Stratégie Nationale de Gestion Responsable pour un Développement Durable des Pêches et de l’Economie Maritime 2015-2019, qui a porté dans son troisième axe sur le renforcement de l’intégration du secteur dans l'économie nationale. Il est également une traduction honnête des efforts visant à préserver le stock stratégique de mollusques, en particulier le poulpe, a-t-il ajouté.
Le ministre a précisé que la Mauritanie occupe, grâce à l’éco-étiquetage, la place qui lui est sied en termes de réputation commerciale et d'intérêt accordé au produit mauritanien sur les différents marchés internationaux.
Il a également passé en revue les efforts consentis par les pouvoirs publics dans le domaine des infrastructures nécessaires au développement des industries de la pêche, en plus de l'élaboration d'un plan clair pour la gestion ordonnée des quotas et l’élargissement des missions de la SMCP pour couvrir toutes les pêcheries et la mise en place d’une commission chargée de la fixation des prix.
Le ministre a noté que ces efforts permettront l'émergence d'une renaissance sans précédent au niveau du secteur de la pêche susceptible de créer la prospérité et de stimuler le développement, appelant les acteurs et les praticiens à bien planifier et à bien gérer cette renaissance.
Il a enfin remercié la FAO pour l’appui généreux qui n’a cessé d’accorder à la Mauritanie, en particulier dans le domaine de l’éco-étiquetage et certification du poulpe mauritanien.
Pour sa part, le représentant du Programme Alimentaire Mondial (PAM) à Nouakchott, représentant de la FAO, Jean-Noël Janelle a passé en revue l'importance du secteur de la pêche en Mauritanie, qui joue un rôle essentiel dans le développement économique et social, indiquant que le secteur a connu une croissance rapide ces dernières années et notant que la Mauritanie est l'un des premiers pays de la sous-région, qui ont élaboré des stratégies nationales pour le développement de la pêche.
Il a ensuite ajouté que la FAO continue d'améliorer les capacités de recherche et la gestion des ressources marines afin d'améliorer la qualité de la pêche du poulpe, ce qui permettra à la Mauritanie de développer des approches et des bases pour la qualité relative des pêcheries de poulpes au niveau de la pêche traditionnelle et industrielle.
La cérémonie d’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence des ministres de l’emploi, de la formation professionnelles et des TIC et de l’environnement et développement durable, du ministre délégué auprès du ministre de l’économie et des finances chargé du budget et du directeur général de la SMCP.
source AMI
L’atelier, de trois jours, aborde les différents enjeux liés à l’éco-étiquetage et certification du poulpe mauritanien, les conditions de son obtention, les mécanismes suivis et le calendrier approprié.
Les participants discuteront également des avantages offerts par cet éco-étiquetage, notamment la possibilité d'accéder à des marchés internationaux privés très rentables pour les producteurs.
S’exprimant à cette occasion, le ministre des pêches et de l’économie maritime, M. Nani Ould Chrougha a souligné que l'intérêt accordé aux mollusques ne provenait pas du vide, car le Président de la République Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a décidé de limiter son exploitation aux mauritaniens en tant que stock stratégique du pays.
Il a par la suite indiqué que dans ce contexte cette richesse a occupé une place de choix, où des séminaires et des rencontres ont été organisés pour trouver une solution appropriée qui préserve cette richesse et assure sa pérennité, expliquant que l’organisation de cet atelier s’inscrit dans le cadre de la Stratégie Nationale de Gestion Responsable pour un Développement Durable des Pêches et de l’Economie Maritime 2015-2019, qui a porté dans son troisième axe sur le renforcement de l’intégration du secteur dans l'économie nationale. Il est également une traduction honnête des efforts visant à préserver le stock stratégique de mollusques, en particulier le poulpe, a-t-il ajouté.
Le ministre a précisé que la Mauritanie occupe, grâce à l’éco-étiquetage, la place qui lui est sied en termes de réputation commerciale et d'intérêt accordé au produit mauritanien sur les différents marchés internationaux.
Il a également passé en revue les efforts consentis par les pouvoirs publics dans le domaine des infrastructures nécessaires au développement des industries de la pêche, en plus de l'élaboration d'un plan clair pour la gestion ordonnée des quotas et l’élargissement des missions de la SMCP pour couvrir toutes les pêcheries et la mise en place d’une commission chargée de la fixation des prix.
Le ministre a noté que ces efforts permettront l'émergence d'une renaissance sans précédent au niveau du secteur de la pêche susceptible de créer la prospérité et de stimuler le développement, appelant les acteurs et les praticiens à bien planifier et à bien gérer cette renaissance.
Il a enfin remercié la FAO pour l’appui généreux qui n’a cessé d’accorder à la Mauritanie, en particulier dans le domaine de l’éco-étiquetage et certification du poulpe mauritanien.
Pour sa part, le représentant du Programme Alimentaire Mondial (PAM) à Nouakchott, représentant de la FAO, Jean-Noël Janelle a passé en revue l'importance du secteur de la pêche en Mauritanie, qui joue un rôle essentiel dans le développement économique et social, indiquant que le secteur a connu une croissance rapide ces dernières années et notant que la Mauritanie est l'un des premiers pays de la sous-région, qui ont élaboré des stratégies nationales pour le développement de la pêche.
Il a ensuite ajouté que la FAO continue d'améliorer les capacités de recherche et la gestion des ressources marines afin d'améliorer la qualité de la pêche du poulpe, ce qui permettra à la Mauritanie de développer des approches et des bases pour la qualité relative des pêcheries de poulpes au niveau de la pêche traditionnelle et industrielle.
La cérémonie d’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence des ministres de l’emploi, de la formation professionnelles et des TIC et de l’environnement et développement durable, du ministre délégué auprès du ministre de l’économie et des finances chargé du budget et du directeur général de la SMCP.
source AMI