Les travaux d’un atelier de lancement des services essentiels pour les femmes et filles victimes de violences, organisé conjointement par le ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille et le fonds des nations pour la population (FNUAP) ont démarré lundi.
L’atelier de trois jours vise à former les acteurs dans le domaine de lutte contre les violences, particulièrement la violence basée sur le genre, pour leur permettre d’acquérir les connaissances nécessaires et de s’offrir les services essentiels afin de prendre en charge les femmes et filles victimes de violences.
Il vise également à adopter des mesures préventives et correctives permettant aux policiers, médecins, avocats, juges, experts psychologiques et sociaux et acteurs de la société civile de coordonner leurs efforts pour intégrer leurs victimes et éviter les complications graves résultant de leur exposition à des expériences violentes.
Le secrétaire général du ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille, M. Mohamed Mahmoud Ould Ahmed Ould Sidi Yahya a, à cette occasion, passé en revue quelques-unes des réalisations accomplies par le gouvernement mauritanien ces dernières années dans tous les domaines qui ont permis d’améliorer le niveau de vie des femmes et de les protéger contre les violences, en particulier la violence basée sur le genre.
Il a par la suite ajouté que son département œuvre, depuis quelque temps, pour l’élaboration d’une approche multiforme face aux phénomènes de violences faites aux femmes et aux filles, à travers des campagnes continues de sensibilisation et de mobilisation pour mettre en garde contre les violences et leurs effets néfastes sur la famille.
Pour sa part, la représentante du FNUAP en Mauritanie, Mme Cécile Compaoré Zongrana a précisé que cet atelier s’inscrit dans le cadre du Programme conjoint mondial des Nations Unies sur les services essentiels pour les femmes et les filles victimes de violences exécuté par ONU Femmes, le FNUAP et le PNUD.
Elle a par la suite noté que le FNUAP prend en charge l’exécution de ce programme dans les 8 pays suivants : le Guatemala, le Mozambique, la Tunisie, le Pérou, la Mauritanie, le Mali, le Nigeria et la République centrafricaine.
La cérémonie de démarrage de l’atelier s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de la justice, du conseiller chargé de la communication au ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille et de plusieurs acteurs du domaine.
source AMI
L’atelier de trois jours vise à former les acteurs dans le domaine de lutte contre les violences, particulièrement la violence basée sur le genre, pour leur permettre d’acquérir les connaissances nécessaires et de s’offrir les services essentiels afin de prendre en charge les femmes et filles victimes de violences.
Il vise également à adopter des mesures préventives et correctives permettant aux policiers, médecins, avocats, juges, experts psychologiques et sociaux et acteurs de la société civile de coordonner leurs efforts pour intégrer leurs victimes et éviter les complications graves résultant de leur exposition à des expériences violentes.
Le secrétaire général du ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille, M. Mohamed Mahmoud Ould Ahmed Ould Sidi Yahya a, à cette occasion, passé en revue quelques-unes des réalisations accomplies par le gouvernement mauritanien ces dernières années dans tous les domaines qui ont permis d’améliorer le niveau de vie des femmes et de les protéger contre les violences, en particulier la violence basée sur le genre.
Il a par la suite ajouté que son département œuvre, depuis quelque temps, pour l’élaboration d’une approche multiforme face aux phénomènes de violences faites aux femmes et aux filles, à travers des campagnes continues de sensibilisation et de mobilisation pour mettre en garde contre les violences et leurs effets néfastes sur la famille.
Pour sa part, la représentante du FNUAP en Mauritanie, Mme Cécile Compaoré Zongrana a précisé que cet atelier s’inscrit dans le cadre du Programme conjoint mondial des Nations Unies sur les services essentiels pour les femmes et les filles victimes de violences exécuté par ONU Femmes, le FNUAP et le PNUD.
Elle a par la suite noté que le FNUAP prend en charge l’exécution de ce programme dans les 8 pays suivants : le Guatemala, le Mozambique, la Tunisie, le Pérou, la Mauritanie, le Mali, le Nigeria et la République centrafricaine.
La cérémonie de démarrage de l’atelier s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de la justice, du conseiller chargé de la communication au ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille et de plusieurs acteurs du domaine.
source AMI