Plusieurs dizaines d’amateurs du Tir à la cible traditionnelle n’ont pas pu cacher leur désarroi à propos du mal qui gangrène ce sport. Un mal qu’ils qualifient de « manigance ».
Alors disent-ils, « ce jeu si aimable ne mérite pas d’être vilipendé. Du coup, le tir à la cible traditionnelle est l’un des jeux qui enrichissent et valorisent la culture et la tradition du pays ».
Une inquiétude magistrale s’est manifestée lorsque 14 équipes dont 9 officielles ont été sélectionnées pour participer à la huitième édition du festival des villes anciennes qui se déroule actuellement dans la cité de Oualata. Cela prouve que c’est une mascarade, ont-ils précisé.
Ce qui se passe présentement éclaircit les "pratiques" de l’actuel bureau et c’est contrairement, à la participation début 2014 de 48 équipes aux jeux enrichissant le festival des villes anciennes à Oualata, expliquent-ils.
Selon Mr Sid’Ahmed Oud Hamady, président de l’Équipe "la Résistance" et porte parole des équipes, au temps de l’ex-président de la Fédération du tir à la cible traditionnelle, Mr Mohamed Salem Ould Ely Vall, 78 équipes avaient participé, fin 2014, à l’Edition du festival.
La situation actuelle du tir à la cible traditionnelle est le fruit amer de l’élection "falsifiée" du bureau imposée par l’ex-ministre de la culture, Me Hindou Mint Ainina, affirme Ould Hamady, . L’élection de l’actuel bureau avait provoqué le départ en masse de plusieurs équipes et le gel des activités pour certaines, a-t-il signifié à dans une version d'Essaha.info.
Il a rappelé que le clientélisme est l’un des facteurs qui ronge ce sport qui est l’une des valeurs de notre tradition. Ensuite, Ould Hamady, a noté que le sort qui a été réservé aux différends au sein de la fédération, présentés à la justice, est un signal fort de l’échec du bureau de la fédération.
Parmi les décisions prises à l’unanimité de l’actuel bureau, le versement de 120000UM-A par chaque membre annuellement au lieu de 60000UM-A et 150000UM-A contrairement à 80000UM-A comme cotisation pour participer aux compétitions. Plus pire, le montant de la précieuse carte de membre est rehaussé à 5000UM au lieu de 2000um.
Et Ould Hamady de noter dans ses propos que les montants des prix qu’octroyer l’ancien bureau variaient entre un et trois millions d’UM-A. Alors que l’actuel pour l’instant fait aucune déclaration sur les montants des prix qui seront offerts aux gagnants. Cela dénote des inconvénients des mesures entreprises, dit-il.
« Si une approche juste et transparente n’est pas apportée, la Coupe du Président de la République risque de connaitre une mauvaise organisation et un apport insignifiant de la part des joueurs », note un responsable.
En somme, les adeptes du sport Tir à la cible traditionnelle déclarent qu’il mérite une grande considération et une revalorisation dans le but de le sauvegarder de la part des hommes intègres du fait qu’il contribue au développement économique des cités anciennes et à l’éveil des équipes montantes.
source tawary.com
Alors disent-ils, « ce jeu si aimable ne mérite pas d’être vilipendé. Du coup, le tir à la cible traditionnelle est l’un des jeux qui enrichissent et valorisent la culture et la tradition du pays ».
Une inquiétude magistrale s’est manifestée lorsque 14 équipes dont 9 officielles ont été sélectionnées pour participer à la huitième édition du festival des villes anciennes qui se déroule actuellement dans la cité de Oualata. Cela prouve que c’est une mascarade, ont-ils précisé.
Ce qui se passe présentement éclaircit les "pratiques" de l’actuel bureau et c’est contrairement, à la participation début 2014 de 48 équipes aux jeux enrichissant le festival des villes anciennes à Oualata, expliquent-ils.
Selon Mr Sid’Ahmed Oud Hamady, président de l’Équipe "la Résistance" et porte parole des équipes, au temps de l’ex-président de la Fédération du tir à la cible traditionnelle, Mr Mohamed Salem Ould Ely Vall, 78 équipes avaient participé, fin 2014, à l’Edition du festival.
La situation actuelle du tir à la cible traditionnelle est le fruit amer de l’élection "falsifiée" du bureau imposée par l’ex-ministre de la culture, Me Hindou Mint Ainina, affirme Ould Hamady, . L’élection de l’actuel bureau avait provoqué le départ en masse de plusieurs équipes et le gel des activités pour certaines, a-t-il signifié à dans une version d'Essaha.info.
Il a rappelé que le clientélisme est l’un des facteurs qui ronge ce sport qui est l’une des valeurs de notre tradition. Ensuite, Ould Hamady, a noté que le sort qui a été réservé aux différends au sein de la fédération, présentés à la justice, est un signal fort de l’échec du bureau de la fédération.
Parmi les décisions prises à l’unanimité de l’actuel bureau, le versement de 120000UM-A par chaque membre annuellement au lieu de 60000UM-A et 150000UM-A contrairement à 80000UM-A comme cotisation pour participer aux compétitions. Plus pire, le montant de la précieuse carte de membre est rehaussé à 5000UM au lieu de 2000um.
Et Ould Hamady de noter dans ses propos que les montants des prix qu’octroyer l’ancien bureau variaient entre un et trois millions d’UM-A. Alors que l’actuel pour l’instant fait aucune déclaration sur les montants des prix qui seront offerts aux gagnants. Cela dénote des inconvénients des mesures entreprises, dit-il.
« Si une approche juste et transparente n’est pas apportée, la Coupe du Président de la République risque de connaitre une mauvaise organisation et un apport insignifiant de la part des joueurs », note un responsable.
En somme, les adeptes du sport Tir à la cible traditionnelle déclarent qu’il mérite une grande considération et une revalorisation dans le but de le sauvegarder de la part des hommes intègres du fait qu’il contribue au développement économique des cités anciennes et à l’éveil des équipes montantes.
source tawary.com