Les travaux d’un atelier de validation de la démarche d’éco-étiquetage et de certification du poulpe en Mauritanie ont débuté vendredi matin à Nouakchott.
L’atelier qui dure deux jours est organisé par le département des pêches et de l’économie maritime par le biais de la société mauritanienne de commercialisation du poisson en collaboration avec la FAO.
Dans un mot prononcé pour la circonstance, le ministre des pêches et de l’économie maritime, M. Nany Ould Chrougha a indiqué que la validation du plan d’action conçu au cours des travaux des deux ateliers précédents représente le lancement d’un processus qui permettra l’étiquetage et la certification du poulpe en Mauritanie.
Il a insisté sur l’importance qu’accorde le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz à la pêche du poulpe, car étant une richesse stratégique visée par plus de 90% de notre flotte nationale et représentant un taux de 20% des quantités exportées et 70% de la valeur des exportations, soulignant que la décision du Président de la République de limiter la pêche du poulpe aux seuls mauritaniens découle de sa connaissance de l’importance très grande de ce type de pêche.
Le ministre a noté qu’il a été remarqué au cours des dernières années l’existence d’un taux appréciable avoisinant les 27% des exportations de qualité pas très bonne, soulignant que la stratégie de gestion responsable pour un développement durable des pêches et de l’économie maritime 2015-2019 s’est intéressée à améliorer la qualité du produit à travers tout son processus, débutant de la pêche du poulpe et aboutissant à son traitement, son stockage et son exportation.
Il a souligné que cette démarche permettra d’intégrer le secteur dans le circuit économique national dans le but d’élever du niveau de ses revenus au profit du pays, précisant que cela ne pourra se réaliser qu’en donnant à nos produits, surtout ceux destinés à l’exportation, la plus grande valeur ajoutée possible, ce qui est l’objectif de l’actuel atelier.
Le ministre a enfin remercié la FAO pour l’appui généreux qu’elle n’a cessé d’apporter à la Mauritanie, notamment en ce qui concerne la certification du poulpe mauritanien.
Pour sa part, le coordinateur du système des agences des Nations Unies en Mauritanie, représentant de la FAO par intérim, M. Mario Samaja, a indiqué que cet atelier vise à augmenter la valeur ajoutée du poulpe et à mettre en place une conception contribuant à une démarche conduisant à la certification de ce produit.
Il a affirmé que son organisation est engagée à accompagner la Mauritanie pour l’aboutissement de cette démarche.
La cérémonie d’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence de la ministre du commerce, de l’industrie et du tourisme, Mme Khadijetou M’Bareck Fall, du directeur général de la société mauritanienne de commercialisation du poisson et de plusieurs autres responsables au ministère des pêches et de l’économie maritime.
source AMI
L’atelier qui dure deux jours est organisé par le département des pêches et de l’économie maritime par le biais de la société mauritanienne de commercialisation du poisson en collaboration avec la FAO.
Dans un mot prononcé pour la circonstance, le ministre des pêches et de l’économie maritime, M. Nany Ould Chrougha a indiqué que la validation du plan d’action conçu au cours des travaux des deux ateliers précédents représente le lancement d’un processus qui permettra l’étiquetage et la certification du poulpe en Mauritanie.
Il a insisté sur l’importance qu’accorde le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz à la pêche du poulpe, car étant une richesse stratégique visée par plus de 90% de notre flotte nationale et représentant un taux de 20% des quantités exportées et 70% de la valeur des exportations, soulignant que la décision du Président de la République de limiter la pêche du poulpe aux seuls mauritaniens découle de sa connaissance de l’importance très grande de ce type de pêche.
Le ministre a noté qu’il a été remarqué au cours des dernières années l’existence d’un taux appréciable avoisinant les 27% des exportations de qualité pas très bonne, soulignant que la stratégie de gestion responsable pour un développement durable des pêches et de l’économie maritime 2015-2019 s’est intéressée à améliorer la qualité du produit à travers tout son processus, débutant de la pêche du poulpe et aboutissant à son traitement, son stockage et son exportation.
Il a souligné que cette démarche permettra d’intégrer le secteur dans le circuit économique national dans le but d’élever du niveau de ses revenus au profit du pays, précisant que cela ne pourra se réaliser qu’en donnant à nos produits, surtout ceux destinés à l’exportation, la plus grande valeur ajoutée possible, ce qui est l’objectif de l’actuel atelier.
Le ministre a enfin remercié la FAO pour l’appui généreux qu’elle n’a cessé d’apporter à la Mauritanie, notamment en ce qui concerne la certification du poulpe mauritanien.
Pour sa part, le coordinateur du système des agences des Nations Unies en Mauritanie, représentant de la FAO par intérim, M. Mario Samaja, a indiqué que cet atelier vise à augmenter la valeur ajoutée du poulpe et à mettre en place une conception contribuant à une démarche conduisant à la certification de ce produit.
Il a affirmé que son organisation est engagée à accompagner la Mauritanie pour l’aboutissement de cette démarche.
La cérémonie d’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence de la ministre du commerce, de l’industrie et du tourisme, Mme Khadijetou M’Bareck Fall, du directeur général de la société mauritanienne de commercialisation du poisson et de plusieurs autres responsables au ministère des pêches et de l’économie maritime.
source AMI